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Pays Saloperie et sida mental

Californie : il n’y aura JAMAIS de retour à la normale

La perversion de la pensée que nous commençions à voir émerger ici ou là est en train d’être formalisée.

En effet, la question qu’on se pose tous est : quel est le end game ? A part le vaccin ?

Quand, et sur quels critères les gouvernements complices mettront fin aux “mesures” anti-Covid ? Quelle est la métrique ?

(exemple la Thaïlande prise dans son piège du zéro cas).

La Californie, état américain à la pointe de la covidémence, vient de formaliser la chose.

Le gouverneur -un bon démocrate bien neuneu évidémment- édite le nouveau cadre pour le retour à la normale économique, c’est-à-dire la réouverture des businesses.

Niveau de menace, nombre de nouveaux cas par jour (par 100 000), et le taux de positivité des tests.

Donc pour atteindre le niveau “minimal” (comprendre de menace), lorsque la “plupart” des businesses peuvent ouvrir sans restrictions…. Il faut moins d’un nouveau cas par jour, par 100 000. 😉

Ce qui compte tenu de la nature de ce dont nous parlons, le couillonavirus, est… impossible (on l’a encore vu avec la Thailande fière d’annoncer son 100ème jour sans infection… boum le lendemain un cas était confirmé dans une prison, cette affaire venant après celle de la Nouvelle-Zélande sans oublier les tests PCR foireux).

Enfin, pour mettre la situation en perspective, le gouverneur affirme que 87 % de la population californienne… est au stade “violet” (le pire, “widespread “)… !

Rappelons enfin que tout le cirque de cet été (“deuxième vague“, et l’explosion des “nouveaux cas” asymptomatiques) utilisé comme prétexte pour de nouvelles mesures anti-Covid… repose sur un changement de paradigme.

En mars, les covidéments parlaient d'”aplatir la courbe” (lire ici), pour éviter que les systèmes de santé s’effondrent… Maintenant, c’est plus aucune infection !

Et comme cet objectif est absurde d’un point de vue épidémiologique, et même simplement biologique… ergo…. on se retrouve avec une “guerre” contre le couillonavirus (mot utilisé en premier par Xi Jinping, puis repris par Macron par exemple) qui ressemble de plus en plus à la “guerre contre le terrorisme” (vous vous souvenez ?)

Voire même la “guerre contre la drogue“.

Toujours le même délire constructiviste, simplement recarrossé et adapté aux goûts et manies du jour… 😉

G.Orwell avait parfaitement pensé cela, il y a 70 ans, avec le concept de guerre permanente (entre les 3 blocs dans le roman).

Une paix vraiment permanente serait exactement comme une guerre permanente. Cela, bien que la majorité des membres du Parti ne le comprenne que dans un sens superficiel, est la signification profonde du slogan du Parti : la guerre, c’est la paix.

(1984)

 

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Humour Saloperie et sida mental

La SPILF tire sur le spliff et porte plainte contre Didier Raoult

“T’en veux ? C’est de la bonne !”

La SPILF, comprendre la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française, a décidé qu’on ne parlait pas assez d’elle.

Zut alors.

Une pitoyable lettre ouverte pour critiquer le grand Raoult, signée par quelques mandarins essorés et publiée laborieusement en juin par Le Monde (bien entendu), avait fait pschiit.

Ou prout. Ou spliff. Voire -c’est ma propre thèse- SGEG. 😉

Cette association, financée entre autres par Gilead (on garde le meilleur pour la fin), a donc décidé d’attaquer le professeur Raoult, frontalement, en déposant plainte devant l’Ordre des Médecins. Ses membres estiment que Raoult a “violé neuf articles du code de déontologie médicale“. (source Valeurs Actuelles).

Le journal précise que ce genre de fantaisie prend 10 mois minimum à traiter.

On va bien s’amuser.

En attendant, et comme il est de règle dans le monde médical (wink wink) il convient désormais d’étaler sur la table les fameux… “conflits d’intérêts“.

Après tout, on est scientifique car rigoureux, ou on ne l’est pas, n’est-ce pas ? 😉

Prêt(e) pour la grande poilade ?

La SPILF/SPLIFF/SGEG a reçu depuis 2012 et jusqu’au 31/12/2019, un total de 858 300 euros (90 déclarations au total) en provenance de l’industrie pharmaceutique/labos/médicale.

Voici le palmarès. Que du beau linge !

Ce pognon de dingue se divise en 3 grandes masses : avantages, conventions et rémunérations.

Miam miam, le nombre de rémunérations est en forte hausse, bravo !

Ces données sont dispo sur le site https://transparence.sante.gouv.fr

Mais la recherche n’est pas facile. Car la SPILF/SPLIFF/SGEG apparaît sous… 9 graphies différentes. Et ça l’informatique n’aime pas pour faire des cumuls… 😉

Le site https://www.eurosfordocs.fr est beaucoup plus performant et  vous donnera en prime de magnifiques graphiques (mais une adresse de courrier électronique en gmail.com est nécessaire).

Le détail de chaque ligne (date, type, montant, société source) est indiqué également.

Etre à ce point bas de plafond… ça interpelle au niveau du vécu.

En attendant, quand vous entendrez parler (?) de la SPILF… tirez sur le joint et pensez très fort à “Gilead“… 😉

“My God, it’s full of stars !” (pour les incultes : 2001 l’Odyssée du Virus)
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Pays Saloperie et sida mental

Canada, sexe : “avec le masque” ou mieux encore “solo”

Les Canadiens sont des gens perturbés. Ils s’intéressent de très près au sexe… dans le cadre couillonaviral.

Ce fut d’abord le CDC du pays qui fit une sortie au sujet des”glory holes” (lire ici pour édification zygomatique)…

Aujourd’hui, c’est au tour de la Chief Public Health Officer (l’équivalent du croque-mort Salomon en France), de ramener sa fraise.

Et vu la photo du docteur Theresa Tam, on comprend que le sexe puisse être une question délicate…

“Areuh, gouzy, wouf wouf, buzzz, gruik, prout, tabernacle”.
C’était un message officiel relatif à la santé publique au Canada.

Skip kissing and consider wearing a mask when having sex to protect yourself from catching the coronavirus.

Super. On dormira mieux ce soir.

Et le docteur de continuer sur une fabuleuse note onaniste…

“The lowest risk sexual activity during COVID-19 involves yourself alone,” she added.

(source Global News)

C’est pas énorme ça, hein ?

Merci docteur pour vos conseils éclairés !

Enfin, une question fondamentale qui vous démangeait toutes et tous.

«Selon les données actuelles, le risque de transmission du nouveau coronavirus par le sperme ou les sécrétions vaginales est très faible», a fait valoir la Dr Tam.

(source Journal de Montréal)

Il va sans dire pour que toutes les questions couillonavirales, Tam est une covidémente pur jus.

Son salaire est entre 225 000 et 265 000 dollars (canadiens semble t-il).