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Saloperie et sida mental

Manipulation au Figaro

Jour après jour, les médias participent à la covidémence.

Ils relaient avec zèle, avec gourmandise même, les campagnes de propagande et de désinformation du gouvernement.

Un exemple ce jour dans le Figaro, avec une preuve éclatante de leur malhonnêteté.

Titre :

Coronavirus en France : ces chiffres de l’épidémie qui inquiètent le gouvernement

Zut alors, le gouvernement est “inquiet“.

Chapô :

Les chiffres de Santé Publique France indiquent une augmentation des patients en soins intensifs ainsi qu’une augmentation du taux de personnes testées positives.

On passe sur le deuxième indicateur qui est grotesque (si vous faites 1000 ou 100 000 tests, on comprend bien que cet indicateur aura une toute autre signification… En clair, il est impossible de le suivre, et de le comparer sur le temps, avec un nombre de tests variable, l’arnaque est là).

Par contre le premier est important. Et encore on pourrait chipoter. En réanimation ou en soins intensifs ? Il y a quand même une différence.

Donc, le gouvernement est inquiet car le nombre de patients en réa ou soins intensifs augmente.

Là, lecteur, c’est bien normal, tu commences à perdre tes boulons sous l’effet de la trouille.

Puis vient une infographie pour illustrer l’affirmation du titre et du chapô.

La démonstration est claire : ça monte, et brutalement même ! Liliane fais les valises ! On part à Moscou, euh à Auckland !

L’expression que vous cherchez est : “sérieuse dissonance cognitive” ! 😉

Bon, d’accord, l’échelle de temps en abscisse peut écraser la lecture. Donc le Figaro fait un zoom, avec un deuxième graphe, cette fois du 1er au 11 août. On va voir ce qu’on va voir !

C’est pas bien de faire commencer l’échelle en ordonnée… à 340 ! Comme disait Raffarin, celui qui a insisté pour fourguer le labo P4 aux communistes chinois de Wuhan… “La route est droite mais la pente est forte” !

Technique de manip’ à 3 francs 50. Minable. En commençant l’échelle à zéro, c’est sûr que le graphique aurait une toute autre gueule, n’est-ce pas ?

L’inquiétante augmentation apparaîtrait pour ce qu’elle est, réellement : ridicule, marginale.

Dit autrement : entre le 1er août et le 11 août… Le nombre total de patients en réa ou soins intensifs… a augmenté de…. 23 (attention ça va aller très vite : 367-344 = 23).

23 personnes, dont nous ne savons rien, comme d’habitude, concernant leur dossier médical (pathologies pré existantes), leur âge, leur ethnie, etc.

23 personnes sur une population de 67 millions de personnes.

Voilà.

Et donc à cause de cela, le gouvernement est “inquiet“. Et exige que vous le soyez également.

Vous la sentez bien la grosse “épidémie” ?

Et Le Figaro, impardonnable, répète cet empilement d’âneries, et pire même met en scène la désinformation couillonavirale.

Pas un red’ chef pour réagir ? Pour remettre les choses et les ordres de grandeur en perspective ? Pas un chef de rubrique pour faire son boulot ? Plus un seul esprit critique encore capable de faire une règle de trois ? Et les secrétaires de rédaction ? Elle sont déjà remplacées par Google Traduction ?

Qui donne les ordres ? Qui écrit de telles conneries ? Qui relit les copies ?

Ou alors, il n’y a plus que des stagiaires neuneus et glandus à la rédaction ?

Y’a t-il encore seulement une rédaction ?

“Mon nom est Covibozo Le Clown, je suis con comme une enclume et je suis rédacteur stagiaire bénévole au Figaro coefficient 4 et demi sur la convention collective des péripatéticiennes, et j’approuve ce message”
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Le confinement a tué… et tuera encore

Caramba ! Encore raté !

Nous savions tous -du moins les gens sains et intelligents- que le con-finement se prêterait à l’analyse de Frédéric Bastiat : il y a ce qu’on voit, et ce qu’on ne voit pas.

Le con-finement, nous dit-on, a sauvé des vies. Ce n’est absolument pas établi. L’idée première était d'”aplatir la courbe” (lire ici).

Le con-finement a tué en fait. Des milliers de pauvres gens qui ont eu le mauvais goût de ne pas être infectés par le couillonavirus… et qui souffraient de cancer, de lourdes pathologies, qui avaient besoin d’une opération, d’un traitement à l’hôpital, en urgence, voire d’un simple diagnostic etc.

Ceux qui ont été empêchés de se rendre à l’hosto à cause du con-finement et de la mobilisation couillonavirale (lieux, équipements, personnels). Et ceux qui ont eu simplement la trouille d’y aller, terrorisés par la campagne gouvernementale et le con-finement.

Lockdown killed two people for every three that died of the coronavirus, shocking new government figures have revealed. It is thought that as many as 16,000 people died because they didn’t get medical care between March 23 and May 1. In the same period, 25,000 Britons died of the virus.

(Source DailyMail)

Quand 25 000 Anglais sont morts officiellement du Covid entre le 23 mars et le 1er mai… 16 000 personnes sont mortes car elles n’ont pas reçu les soins nécessaires, et à temps.

Ces chiffres ont été présentés par le SAGE, l’équivalent anglais du conseil scientifique du mignon Macron.

Donc a priori des gens… qui sont mouillés jusqu’au coup dans la covidémence, c’est-à-dire complices.

Ces chiffres sont donc d’autant plus effrayants.

Car, là encore, il y a ce qu’on ne voit pas… Des gens continueront à mourir dans les mois, voire même dans les années qui viennent, en raison précisément de cet épisode de con-finement (séquelles des non prises en charge et des non diagnostics “à temps”).

Ca pique, n’est-ce pas ?

On attend à présent les calculs pour la France -forcément savants- du mignon et de son équipe de bras cassés.

Ces chiffres pourront ensuite être utilisés par les cours de justice quand il s’agira de juger tous ces… meurtriers.

Et de les punir.

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Exorcisme : démolir les maisons infectées ?

Buldozer ? Ou poupée vaudou ? Suggestion : le lance-flamme. Plus démonstratif.

Pendant le confinement, fin mars, on se souvient des flics anglais attendant à la sortie des supermarchés, afin de vérifier le contenu des cabas et faire la chasse aux produits “non essentiels“. Gag ? Hélas non (lire ici). 123 amendes collées en un week-end dans le Lancashire par exemple…

On se souvient aussi des deux gendarmes français qui avait collé une amende de 135 euros à une mémé de 79 ans à Graulhet (Tarn). Son crime ?

La septuagénaire était bien munie d’une attestation dérogatoire au confinement et, le temps d’une promenade, elle écrivait des messages sur une ardoise que son mari, 93 ans, pouvait lire depuis sa chambre [dans un Ehpad].

(source)

D’autres agents zélés et bas de plafonds chassaient en hélico les mecs qui osaient se promener en montagne, dans le massif vosgien (source)

“L’appui de l’hélicoptère nous permet de couvrir rapidement de grands espaces sur de grandes distances. Samedi, nous avons repéré un vététiste au Lac Blanc que nous avons verbalisé. Il était parti de Colmar !”

(un gradé gendarme con et fier de l’être)

Ou encore comble de la démence : des gendarmes verbalisant des… flics ! Fake news ? Non.

Le motif de cette amende a de quoi dérouter : « Impossibilité pour les collègues de présenter une attestation du chef de service et donc de justifier de leur trajet domicile-lieu de travail ».

(source)

Le problème est que la covidémence c’est comme un puit sans fond.

On ne s’étonnera donc pas de voir des esprits dérangés continuer à pondre des plans dingos, si la situation dégénérait dans le cadre de la fameuse “seconde vague” (qui rappelons-le n’existe pas, à part pour les crétins et ceux qui les manipulent).

Ainsi les municipalités anglaises auraient le pouvoir de… démolir les maisons où vivent des personnes infectées. Usines, bureaux également (source) (lire aussi l’article sur ZeroHedge)

La covidémence devient ainsi… un exorcisme. On bascule dans l’irrationnel.

Bientôt, cuissots de poulet cloués aux portes, rites vaudous, eau bénite, bûchers et gousses d’ail.

Vous aviez probablement déjà oublié. Mémoire poisson rouge. C’est l’un des mécanismes de la manipulation.

Voilà pourquoi vous devez faire l’effort de vous souvenir de tous ces faits qui mis à bout à bout ne sont pas anecdotiques.