
Il est ici impossible de croire… au “hasard “.
La variole du singe qui avait le bon goût de rester bien sagement en Afrique de l’Ouest depuis 50 ans (à part 2 ou 3 excursions -vite avortées- aux USA, UK)… subitement se répanderait dans 40 pays ?
En un mois et demi ?
En 2022 ?
Juste après la terrible pandémie couillonavirale ?
Après deux ans de délires absolus et de guerre bactériologique menée par la Chine ?
Cela n’a AUCUN SENS.
C’est même totalement grotesque.
Voilà pourquoi, dès la mi-mai, j’ai immédiatement baptisé ce mystérieux virus voyageur… “Covipox” pour justement souligner la… continuité.
Il y a -j’en suis persuadé- une continuité (idéologique, utilitaire, systémique) entre le couillonavirus et ce nouveau virus (ou cette nouvelle version d’un vieux virus, peu importe).
Pour autant, il y a la réalité de cette maladie d’un côté (une simple MST qui se résorbe seule, sans traitement particulier et qui n’est absolument pas dangereuse)… et le spectacle, l’exploitation qu’on peut en faire.
Des lecteurs facétieux m’ont dit : “le Covipox ce n’est rien, quelques boutons, donc l’hypothèse d’une utilisation, d’une mise en scène ne tient pas, ça va faire pschiiit”.
Je ne suis pas tout à fait d’accord.
Car le Covipox a un avantage : il se voit. Des boutons. Des pustules. Cela renvoie à nos terreurs ancestrales.
Autre gros avantage : le sexe.
Le Covipox se transmet sexuellement.
Or le sexe est une fonction, un système de support si j’ose dire, essentiel dans notre espèce animale.
Et pas uniquement pour la reproduction. Fonction psychologique aussi (besoin de contacts via la peau, besoin de toucher et d’être touché en retour… un besoin évident dès la naissance).
Si un tel virus, même sans aucune gravité intrinsèque, pouvait être correctement mis en scène, alors un Système offensif et délétère pourrait casser ces relations essentielles entre les individus. Les isoler encore un peu plus…
Les séparer les uns des autres.
Je parle bien entendu en général.
Il est évident que si vous vivez en couple, fermé, alors vous pourrez continuer à vous envoyer en l’air comme des forcenés, le Covipox ne vous concernera en rien.
Je reformule : arme entre les mains d’un Système offensif et délétère, le Covipox pourrait avoir une grande utilité psychologique : maintenir la peur, séparer encore davantage les individus.
Le Covid a pu terrifier les vieillards ?
Le Covipox terrifiera les… jeunes !
C’est bien fait sur le papier, non ? 😉 Le “hasard “, forcément… Encore et toujours…
C’est pourquoi, à mon avis, on peut utiliser l’expression de “Sida light” pour décrire le potentiel disruptif, les effets psychologiques et sociaux de cette MST (pourtant parfaitement bénigne dans sa forme actuelle, répétons-le).
Je reformule : on vous a très facilement convaincus de rester enfermés chez vous pendant plusieurs semaines, d’applaudir les infirmières chaque soir aux fenêtres comme des crétins, de porter des masques partout, de respecter la “distanciation sociale”, de vous faire “vacciner” avec des produits parfaitement inconnus… pour une grippe qui ne concernait EN RIEN, qui ne menaçait EN RIEN la grande majorité de la population mondiale.
Voilà pourquoi… mettre en scène de simples boutons sur le pénis (et ailleurs) pour vous convaincre que vous allez une nouvelle fois mourir, que vous ne devez plus avoir AUCUNE relation physique avec autrui, que vous devez vous isoler totalement… est de l’ordre du possible.
J’ajouterais même : du probable.
Paranoïaque ? Moi ?
Probable aussi. 😉
Dans tous les cas, nous serons vite fixés (réunion de l’OMS jeudi).
Le fait même que l’OMS organise une réunion à propos d’un tel non-sujet en entretenant délibérement la confusion entre variole du singe (Afrique) et Covipox, prouve l’intention criminelle.
Du moins la complicité (l’OMS n’est qu’un outil, ce n’est pas elle qui décide).