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Résistance Vaccinocide

Sonotone viral ou le grand malentendu

“Quoi ? Hein ? Kékidit ? J’entends rien !”

Depuis trois ans, nous subissons un tsunami d’études scientifiques… qui décrivent -et vantent- les capacités extraordinaires du virus Sars-Cov2.

C’est bien simple : le monstre serait capable d’attaquer tous vos organes, des orteils jusqu’à vos cheveux, en passant par le foie, le coeur, le cerveau etc.

De bas en haut et de haut en bas.

Sans oublier le milieu ! Estomac, intestins, ovaires, vessie, prostate, testicules… TOUT.

Même le pénis. 😉

Ce virus c’est la Foire du Trône ! C’est le couteau-suisse de la Grande Faucheuse ! C’est le Mozart des pathogènes ! Le Balzac des emmerdements !

Du jamais vu.

D’accord.

Sauf que… dans la vraie vie et dans les vrais corps… on ne voit pas cela…

On voit en réalité TRES PEU DE VICTIMES (si l’on fait abstraction de tous les bidonnages statistiques ahurissants imposés depuis 2020).

Je reformule.

Il aura fallu :

  • des assassinats avec de la ventilation mécanique à outrance (y compris pour des cas non sévères)
  • des assassinats avec du rivotril (midazolam chez les Anglais).
  • un refus de soigner institutionnalisé et JAMAIS VU au cours de l’histoire (“restez chez vous“) même les médecins de Molière essayaient toujours quelque chose à leur époque (les saignées) !
  • des confinements délétères (et multiples).
  • une propagande anxiogène, terrifiante, là encore historique en terme d’intensité, de durée, de moyens déployés et de cible (la planète entière).
  • sans oublier l’aide de la démographie avec un vieillissement rapide des populations et un effet “année moisson” (en Europe)

…que d’efforts !

… pour au bout du bout… réussir à obtenir en 2020… quelques milliers de morts en plus (en France), en chiffres absolus (voir ci-après)… permettant de donner corps à la “pandémie”.

De la faire vivre si j’ose dire.

Car une “pandémie” sans morts et sans terreur… ce n’est pas une “pandémie”.

A-t-on jamais parlé d’une “pandémie”… de rhume ?

Et encore, ce succès fut très, très… relatif !

Un vrai statisticien comme Pierre Chaillot a démontré que 2020 fut… la sixième année LA MOINS MORTELLE de toute… l’histoire de France (quand on applique la seule méthode logique de comparaison c’est-à-dire standardiser la population observée, par âge et effectif) !

Pour un virus aux capacités hors du commun, quasi surnaturelles… ça pique un peu les yeux… Non ?

Et précisons que de nombreux pays n’ont pas utilisé tous ces accessoires de scène, tous ces effets spéciaux… Augmentant ainsi encore le gouffre entre discours et réalité.

Je prends souvent l’exemple de ma terre d’adoption… La Thaïlande.

Malgré 11 millions de touristes chinois en 2019, et encore 800 000 en janvier 2020 (si, si !)… et avec dans ce paquet grouillant 6 vols quotidiens en provenance de… Wuhan (vous savez la ville maudite, infectée, tout ça, où les gens mouraient dans les rues, du moins en vidéos)… eh bien il ne s’est strictement rien passé au Royaume du Siam.

Rien.

Je veux dire rien de réel par rapport à une quelconque “pandémie” ou une quelconque maladie infectieuse…

On a eu bien sûr la fermeture des frontières aériennes (à partir du 4 avril 2020), les masques, les écoles fermées (pendant 2 ans, pépère), l’hystérie, les rayons “non essentiels” fermés dans les supermarchés  et même l’interdiction de la vente d’alcool (pendant quelques semaines uniquement, faut quand même pas déconner), des couvre-feux, les restaurants fermés, j’en passe et des meilleures (on a échappé toutefois aux confinements).

Mais des cadavres ? Des malades ? Peau de balle.

Quelques vieillards au bout de leur vie… accablés de nombreuses pathologies. Même en les étiquetant tous “Covid”, les chiffres sont dérisoires.

61 covimorts en 2020… pour un pays de 70 millions d’habitants (à peine moins âgés que la France)…

Je sais, c’est très drôle. Je m’époumone à le répéter depuis 2 ans et demi, mais personne ne percute.

Et croyez moi, le gouvernement militaire local avait pourtant  intérêt à gonfler les chiffres ! 😉

L’année suivante ? 21 600 covimorts (grâce à l’introduction des vaccins bien entendu, la synchronicité est parfaite !) Et enfin en 2022… 12 000.

C’est chaud. On a frôlé l’extinction. Comme les pangolins.

Reprenons : c’est comme une pneumonie classique. Si vous ne la soignez pas… alors des malades fragiles risquent fort d’y laisser leur peau.

Le Sars Cov2 n’échappe pas à cette règle, toute simple.

Et il faut ajouter un codicille important : les outils dispo à l’instant T.

Je reformule : la peste noire au 14ème siècle était aussi un germe aux capacités extraordinaires ! Jugez plutôt : il a su anéantir la moitié de la population européenne. Comme ça ! Paf ! Chapeau l’artiste.

Six cents ans plus tard… je vous file un coup d’antibiotiques et votre germe maléfique… devient une grosse bouse, tout juste capable de faire peur aux enfants (ou aux journalistes, c’est la même chose en terme de développement cognitif).

Revenons au Sars-Cov2.

Mon intuition est que le mécanisme décrit par Jean-Marc Sabatier colle le mieux à la réalité -physiologique- du virus.

En gros, le virus, via une porte d’entrée spéciale, peut déglinguer un mécanisme interne particulier qui lui ensuite peut déglinguer de nombreuses fonctions vitales.

Et il est d’ailleurs piquant de constater que cette explication… brillante par sa simplicité… vit le jour très tôt en 2020 (publication article en mars 2020).

Alors que depuis 3 ans, des bataillons de scientifiques obtus et bornés continuent de pérorer, de faire leur petit crotte dans leur coin, en étudiant des fractions de virus, ou des fractions d’effet biologique, sans jamais saisir la “big picture”.

Mais, attention, le mot-clé ici est : “peut“.

Répétons-le : il y a d’un côté une capacité sur le papier, théorique, sur l’écran d’un ordinateur, au fond d’une éprouvette… et puis de l’autre… des humains, des vrais corps équipés de vrais systèmes immunitaires… épaulés par une vaste pharmacopée, et par une longue pratique de la médecine.

Car il est ahurissant que l’on fasse abstraction du Réel !

Combien de gens ont été agressés par le virus… et ont eu au final un état grippal, à peine, voire moins ?

On oublie ce fait fondamental !

Vous voyez le problème ?

Comment d’un côté décrire un virus aux capacités surnaturelles… et de l’autre ignorer… que des gazillons de personnes n’ont rien senti, ou très peu.

Et se portent très bien, merci.

Voilà le Grand Malentendu !

Problème : ce malentendu n’est pas neutre. Il contribue activement à faire vivre la narration et à entretenir la peur (car la “pandémie” ne fut rien d’autre qu’une vaste fiction, basée sur la peur).

Il la valide.

L’opération fut une réussite historique, indéniablement.

La grande majorité de la population pense avoir échappé… à une terrible maladie mortelle (le taux de mortalité et le risque individuel étaient systématiquement surévalués, de plusieurs ordres de grandeur… preuve que la propagande a réussi au-delà de tout point de référence connu dans notre système solaire).

POST-SCRIPTUM

Il y a un deuxième problème qui découle du premier. Et Sabatier en est un peu victime (voir ” le cri d’alarme du Dr Sabatier”).

Pour lui, la protéine Spike est très dangereuse par les effets qu’elle peut provoquer. Et donc… la protéine créée par les produits ARNm, l’est aussi.

Vous voyez le soucis ?

C’est comme une équation : en entrée, des gazillons de personnes fauchées par le virus. Donc en sortie, des gazillons de personnes seront tuées par… les “vaccins”.

Le dénominateur commun étant la fameuse protéine.

Que les choses soient claires : les “vaccins ARNm” ont certainement déjà tué davantage que le virus naturel, en tout cas leurs dégâts sont plus graves (le virus naturel a tué des vieillards déjà morts, les “vaccins” ont tué et blessé en plus des individus jeunes, ce n’est pas comparable).

(dans les deux cas, c’est capital, il faut souligner la main de l’homme, je le répète cette situation est totalement artificielle).

D’autre part, la dangerosité de ces produits n’est pas uniquement dûe à la protéine Spike… il faut prendre en compte leur nature même.

A trop se focaliser sur la protéine de pointe… on en oublie tous les autres aspects dangereux, inconnus de cette technologie aberrante (dans le sens où elle n’est pas maîtrisée, et en sans doute pas maîtrisable).

Citons les nanoparticules (le véhicule), les pollutions (il y a de l’ADN dedans, pouvant perturber/corrompre le “message”, et donc la protéine qui sera ensuite fabriquée), la possibilité que l’ARN soit ensuite transformé en ADN, l’impossibilité d’établir et de garantir une quelconque “posologie/dose/quantité de protéines fabriquées”, etc.

La liste des pièges et des facteurs incontrôlables est longue.

Face au “Grand Malentendu”… pas de malentendu ! Je ne suis pas en train d’insinuer que les produits ARNm sont bénins. 😉

Mais, et cela nous renvoie au virus… il faut bien admettre que :

  • des injectés ont certes été tués immédiatement.
  • D’autres ont été blessés un peu plus tard (myocardites, les affaiblissant, et raccourcissant leur espérance de vie, ou encore capacités reproductives amoindries).
  • mais des gazillons d’autres n’ont rien subi.

Alors ça ne prouve pas que l’on ne pourrait pas constater des effets négatifs à long terme

Je dis simplement que pour le moment cela colle… au Réel : face aux pathogènes, aux agressions extérieures, nous ne sommes pas égaux.

Je sais, cela revient à enfoncer grande ouverte la porte Chaillot, pardon Maillot (c’est Pierre qui me perturbe). 😉

En tout cas, je peux boucler sur mon dada : arrêtons de nous exciter et de nous perdre au sujet de la technique (même si c’est  intéressant)…

Il ne faut pas perdre de vue l’essentiel :

  • le pourquoi ?
  • et le qui ?

Car on y revient toujours : la covidémence ne fut en RIEN un événement “naturel”…

La “pandémie” fut une mise en scène, une opération çonçue et réfléchie, avec des instigateurs, des exécutants, des complices (actifs et passifs), des sympathisants… et des victimes.

Quant au virus… avant d’être un pathogène aux capacités extraordinaires… c’est surtout une farce !

Je persiste et je signe. Il suffit de voir la longue liste des molécules/substances qui lui mettent des grandes claques dans sa petite gueule de gain de fonction.

Je vous renvoie à ce sujet au dernier article du docteur Maudrux (toujours excellent).

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Chiffres Vaccinocide

Baisse de la natalité : la deuxième lame du rasoir ?

Ceci est un produit génétique ARNm expérimental, appelé fallacieusement “vaccin contre le Covid”. Observez bien les deux lames… Miracle de l’ingéniosité humaine…

Nous connaissons la lame du rasoir ARNm : les muscles cardiaques endommagés, les menstruations délabrées, les “syndrome de la mort subite des adultes“, les turbo cancers, les décès “soudains“, les décès “inexpliqués” et “les médecins stupéfaits” qui ponctuent la presse… Et que l’on constate bien entendu dans les chiffres

Ca fait deux ans que ça dure… et cela continue… C’est du réchauffé.

Mais, miracle de la technologie et de l’ingéniosité l’hubris humain… il pourrait y avoir une deuxième lame sur le rasoir Pfizer/Moderna : la baisse de la natalité !

Vous pouvez déjà imaginer le slogan publicitaire dans la bouche de Jack, pardon Jacques, Séguéla :

La première lame vous coupe les couilles, la seconde vous tue.

Et comme notre monde est inclusif, le plus-produit se décline également au féminin !

La première lame vous coupe les ovaires, la seconde vous tue. 😉

Dès la mi-2022, on détecta les premiers signaux d’alerte.

En Suède par exemple. Un odieux substacker complotiste obsédé par les chats et se dissimulant derrière un pseudo ridicule (El Gato Malo) fit un superbe boulot (avec des mises à jour en juillet, novembre 2022).

Pourquoi la Suède ? Parce qu’ils sont bien organisés, propres sur eux, polis, et surtout tellement woke et neuneus qu’ils sont incapables de violer leurs lois, voire même de mentir.

Je sais, c’est fou. 😉

(plus sérieusement : c’est l’unique raison qui explique… leur refus des confinements en 2020 !)

La natalité commença à baisser en Suède… 9 mois après le début de la “vaccination”. Pile poil(e).

Depuis, les données pour toute l’année 2022 ont bel et bien confirmé le phénomène.

La chute atteint 8 % au niveau national… Et dans certains endroits… c’est bien pire.

Lien : https://www.thelocal.se/20230222/swedens-birth-rate-falls-to-lowest-in-17-years

Lien : https://www.thelocal.se/20230222/map-the-22-swedish-areas-with-the-lowest-birth-rate-in-over-50-years

Idem en Suisse où le professeur K. Beck réalisa une étude remarquable.

Là encore, la droiture de l’Helvétie, les lingots d’or, la fondue au fromage, les banques (ah non, pour les banques c’est cuit) est un gage de sérieux, n’est-ce pas ?

Bilan : chute de 10 % des naissances en 2022 ! Dans certaines villes (Zurich par exemple), c’est du -16 % ! Tarif syndical ? Y’a une réduction pour les familles nombreuses ? Vous prenez les tickets restaurants ?

Lien pour une synthèse : https://twitter.com/GabinJean3/status/1580468403076071424

Dans ces deux pays… la baisse des naissances en 2022 peut donc être qualifiée d'”historique” ! Si, si.

Parlons également de la Finlande, Norvège, Danemark, Singapour… ou encore d’autres pays européens.

Et la France ? Je sais, vous piaffez d’impatience !

Cocorico, 2022 est l’année la plus faible… depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale

Nombre des naissances (métropole + Dom) : -2,2 % par rapport à 2021. Mais la tendance est mauvaise : ainsi sur janvier et février 2023… la baisse nationale atteint 6% (par rapport à janvier et février 2022).

Mais certaines régions plongent (-12 % pour la Nouvelle-Aquitaine, -11 % pour les Pays-de-la-Loire, -10 % pour la Normandie).

La France serait-elle un peu en retard ?

Peut-être… mais il y a je pense une explication sous-jacente : la Seine-Saint-Denis, gros morceau de la plus grosse maternité de France, à savoir l’Ile-de-France, est alimentée en permanence par l’invasion migratoire

La population augmente… ce qui lui permet d’afficher… une parfaite stabilité par rapport à janvier-février 2022 en terme de nombre de naissances !

Ce phénomène doit toucher d’autres régions/départements, même si à des degrés plus faibles (citons 2 autres portes d’entrée pour les “migrants” : Mayotte limite la casse à -3 %, et la Guyane est stable).

Je reformule : de nombreuses femmes, disons fraîchement arrivées d’Afrique sub-saharienne ou des pays du Maghreb… accouchent en Ile de France… Et elles, elles n’ont pas reçu leurs “doses” réglementaires de produits ARNm…

Désolé de vous faire de la peine, mais ce ne sont pas des Allemandes, des Espagnoles, des Anglaises toutes triplement dosées qui viennent accoucher en France…

Vous l’aurez compris : c’est le profil “migratoire” de la France qui parviendrait à maquiller/masquer/ralentir la chute de la natalité… au niveau national.

Je sais… C’est dur… Mais la covidémence a prouvé depuis le début qu’elle n’était pas… politiquement correcte. 😉

Revenons aux causes.

Certes, ces baisses de natalité peuvent être multifactorielles.

Après tout les gens furent violés psychologiquement, et à répétition, en 2020 et 2021 (la pseudo pandémie)… Leur libido est donc dans les chaussettes (au lieu d’avoir le slip sur les chaussettes ce qui facilite en théorie les accouplements)…

De plus, les femmes sont “stressées“.

Ah le “stress“…

C’est toujours bien pratique le “stress” chez les femmes, car cela permet de tout expliquer… !

Y compris, au hasard, les cycles menstruels démolis par les “vaccins” ARNm… Pardon, par le “stress“.

Ah… ? Mais dites moi il n’y aurait pas un lien entre menstruations et fertilité ? (ça me rappelle vaguement quelque chose en première année de médecine…).

On peut également invoquer la peur : du Covid, du Méchant Poutine, du Réchoffementklimatik, de l’extrême-drouâte, du terrorisme islamique (ah non pardon, c’est fini ça), de la pauvreté, de l’endettement, du chômage, de l’inflation, de l’horrible CO2 dans l’atmosphère, de la surpopulation, de l’épuisement des ressources, de la fonte des glaciers, de la disparition d’espèces animales, etc.

La peur.

La peur au ventre selon l’expression si bien consacrée.

La peur qui bloque le cerveau, la peur qui transforme les ovaires en raisins secs, la peur qui empêche de bander.

Ah ? Là Pfizer possède pourtant une vraie solution, comprendre qui fonctionne : le viagra ! 😉

N’oublions pas non plus les nombreuses pollutions chimiques, physiques, électro-magnétiques (nourriture, air, eau etc.) ainsi que les pollutions mentales (transgenrisme, délires LGBT++, plume dans les fesses,  etc.).

Vous riez, d’accord ! Mais avouez que ça ne facilite guère… la reproduction.

Bref, de quoi faire une bonne omelette avec les oeufs… des femmes. Pardon avec leurs ovules.

Omelette d’ovules. Baveuse ou bien cuite ? Autre question philosophique : fromage ou pas ?

Enfin… vous connaissez la petite musique : corrélation n’est pas causalité.

Mais les données s’accumulent… et madame Corrélation serre de plus en plus le garrot autour du cou de madame Causalité…

Autant on peut facilement bidonner de nombreux indicateurs (au hasard : des “cas asymptomatiques“, des “hospitalisations“, des “lits de réanimation occupés“, voire  même des “morts du Covid“)… autant il est impossible de créer de VRAIS-FAUX ENFANTS sur l’état-civil ! 😉

Soyons donc patients…

L’avenir se décline en deux chemins, clairement identifiés, cartographiés même.

Le premier : l’effet délétère des “vaccins” sur la natalité fut temporaire et limité (en gros pendant les injections). Tout va donc rentrer dans l’ordre statistique durant l’année 2023 et après.

Ouf, sauvés ! La poussière démographique est opportunément glissée sous le tapis. Affaire classée.

Et puis, il y a le deuxième chemin ; le noir, le désespérant, celui de l’Enfer de Dante. Les dégâts sur la fertilité sont  irrémédiables

Comprendre : permanents.

En clair, la baisse du nombre des naissances va se POURSUIVRE, et même s’accentuer (avec le vieillissement de la population), achevant de démolir nos pyramides des âges déjà si fragilisées en Occident… Et donc précipitant notre disparition…

Après le trou dans la couche d’ozone (qui fut -lui- vite rebouché) il y a aura un énorme “trou démographique”, des générations sacrifiées sur l’autel du fameux :

“Tous vaccinés tous protégés… tous stérilisés (et morts). Prout”.

(“copie d’écran réalisée sans trucage”, je sais c’est dur à admettre, c’est pour cette raison que mon service illustrations insiste chaque fois pour placer cet avertissement).
POST-SCRIPTUM

On peut même imaginer… pire.

La fonction stérilisation opérée par les “vaccins ARNm”… pourrait être transmise aux fillettes nées après les injections… via transcription de l’ARNm… dans l’ADN.

Ce qui aurait l’avantage de noyer le poisson (et les futurs foetus, si vous me pardonnez cette expression).

Cette hypothèse effrayante est discutée ici et là.

POST-SCRIPTUM BIS

Vous le savez : tout est politique. Surtout la démographie qui est un des facteurs “lourds” de la puissance.

Alors concrètement, si l’hypothèse de la deuxième lame se vérifie, ça veut dire quoi ?

Cela signifie simplement… l’anéantissement -en gros- des populations occidentales !

L’Afrique continuera -elle- son boom démographique (quoi que les bien pensants puissent raconter… allez parler de “transition démographique” au Niger… et même dans d’autres pays musulmans elle est INVERSEE !)…

L’Inde tiendra le coup. Et la Chine parviendra à atténuer son déclin démographique grâce à son extrême politisation (il suffira de quelques campagnes maoïstes bien velues, on peut faire confiance à Xi Jinping à ce sujet…).

Géo-politiquement, on voit bien la logique, celle des blocs.

La deuxième lame du rasoir achèverait ainsi (c’est le cas de le dire) le processus de sortie de l’Histoire de l’Occident.

Alors, pourquoi serait-il relativement raisonnable d’envisager une intention, intelligente, consciente, derrière une telle attaque contre la natalité ?

Pour une raison logique : l’arme déployée apparaît intelligente.

Je reformule : vous développez un poison pseudo “vaccin” contre une maladie qui ne concerne en rien la vaste majorité de la population mondiale et qui neutralise TOTALEMENT la reproduction (chez les hommes et chez les femmes, pas de jaloux au nom de l’égalité)…

Ce serait beaucoup trop voyant ! On serait dans le scénario d’un film (comme par exemple le très bon “Children of men” en 2006, tiré d’un bouquin).

Alors que là… le poison agit mais subtilementlentement… Une baisse annuelle de 10 % de la natalité… peut encore s’expliquer (par plusieurs facteurs), de plus cela s’inscrit dans une baisse historique, une baisse tendancielle

Encore plus subtilement, l’effet pourrait être retardé/dilué de minimum 20 ans… en refilant le mistigri génétique… à la génération (réduite) née post-injections… !

Le résultat à la fin serait le même (anéantissement d’un groupe humain)… mais diablement camouflé grâce à la durée, au brouillard de la “science“.

Je rappelle que durant la covidémence, la distinction “vaccins ARNm / vaccins non ARNm”… a suivi des lignes géopolitiques quasiment parfaites !

Chine, Inde, Russie, Iran etc. (en gros tous les “ennemis”, pardon, les “concurrents” de l’Occident) ont échappé aux produits Pfizer/Moderna.

A l’inverse, tout le camp occidental (l’Amérique du nord, l’Europe et quelques vassaux) a plongé des deux mains dans le brouet ARNm de la startup foireuse franco-américaine (Moderna), et du couple de Turcs-allemands cinglés (Biontech, ils ont développé le “vaccin” en quelques heures, sur un ordi).

On peut me répondre : ça a simplement suivi les lignes de la paranoïa (les Chinois, les Russes seraient FOUS d’accepter de se faire injecter un “vaccin” fabriqué par les Américains en 12 mois à peine, nous sommes bien d’accord ! 😉 ).

Mais… et c’est pour moi l’argument ultime : la Chine aurait pu parfaitement dupliquer/copier ces produits miraculeux (après tout, le pays était en “guerre” contre le couillonavirus, c’est Xi Jinping qui le dit en premier, en février 2020).

La farce est révélée au grand jour quand elle a enfin annoncé l’autorisation de son premier “vaccin” ARNm contre le Covid… mais après la guerre ! Quand tout était terminé (il y a quelques semaines, lire ici).

Le cas de l’Afrique est un peu à part. Et cette dernière n’a pas réellement de fonction géopolitique dans le monde (c’est un gros merdier, un trou noir, vide et rempli en même temps, avec des populations très jeunes).

On peut lui attribuer malgré tout deux rôles : réserve de ressources naturelles et armée de réserve pour déstabiliser l’Europe via les “migrations” (comprendre : “invasions”).

Bref.

L’un des grands points faibles de l’homme est sa mémoire poisson-rouge.

Dans 20 ans… si l’Occident, ruiné, affaibli, envahi, ravagé par des conflits internes voire externes… disparaît… corps et biens… au sens littéral… qui se souviendra du “Covid” ?

Qui se souviendra des “vaccins ARN messager” de Pfizer et Moderna ?

Et surtout qui se souviendra des ordures et des traîtres comme Olivier Véran-“tous vaccinés, tous protégés” ?

Un bébé blanc, pardon occidental. Bientôt, une simple photo dans un livre d’histoire ?
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Chiffres Vaccinocide

Angleterre : moins de 0-24 ans et pourtant davantage de décès

Je m’appuie sur le message relayé par Hélène Banoun (membre du CSI, résistante infatigable sur son compte Twitter).

Il s’agit d’une analyse des décès toutes causes confondues (répétons-le : c’est le seul juge de paix) en Angleterre, avec une cartographie “hot zone”, par tranche d’âges et avec comme indicateur l'”excès de mortalité“, comprendre la “mortalité attendue” sur la mortalité réelle).

Indicateur trop synthétique… Personnellement, je préfère les données brutes : fingertips.phe.org.uk/documents/EMData.ods

En prenant du recul (cumul par trimestre, plutôt que par semaine, trop bruyant).

Ensuite, je jette un coup d’oeil à la pyramide des âges pour le Royaume-Uni, par année, ici : https://www.populationpyramid.net/united-kingdom/2020/

Avec une telle tronche…. difficile de constater un baby boom, une hausse de la population des 0-24 ans…

Ensuite, je mouline le tout pour… les 0-24 ans (garçons plus filles, je tiens à le préciser car de nos jours… hein… prout ;- ) ).

Pourquoi les 0-24 ? Parce que c’est la classe d’âge… qui NE MEURE PAS.

Du moins normalement ! 😉

En clair : c’est le canari dans la mine de charbon. Si quelque chose cloche c’est parmi les 0-24 ans que ça se verra comme un furoncle au milieu du visage.

Barbatruc, voilà le résultat.

“Westminster, we’ve got a problem”. Traduction en alsacien du Bas-Rhin : ” Jesus Gott , il y a une couille dans la flammekueche”.

Résumons :

certitude 1 : le Covid attaque très peu les 0-24 ans (même en bidonnant les chiffres -ils ont souvent essayé pour terroriser les populations-… les covihospitalisations, cas graves et covidécès demeurent totalement marginaux parmi les très jeunes).

certitude 2 : la population des 0-24 ans baisse de manière continue (pour le Royaume-Uni, mais l’Angleterre constitue son gros morceau démographique… Donc de 2020 à 2023 : diminution totale de 239 000 têtes).

certitude 3 : pourtant, les décès toutes causes chez les 0-24 ans augmentent… de 2020 à début 2023 (+15 % entre 2020 et 2023, sur une base 4 trimestres).

Aïe. La tuile.

Alors si ce n’est pas la terrible pandémie… quelle est la cause de cette hausse (factorisée par la baisse de la population concernée) ?

Le Méchant Poutine ? Le désespoir face au réchoffementKlimatik ? Suicides ? Les ondes 5G ? L’abus de fish and chips? De drogues ? De bière noire ?

Pourquoi pas un peu de tout cela … Restons ouverts d’esprit.

Mais il est évident que durant ce laps de temps, il y a eu un gros éléphant au milieu du cirque : les injections des produits ARNm

Pire encore :

-on connaît certes les effets possibles de ces produits (myocardites fatales juste après les injections)… mais ça fait de nombreux mois que l’on n’injecte plus massivement les 0-24 ans contre le “Covid” (interdit de rire).

Alors pourquoi… la hausse des décès se poursuit-elle ?

-je reformule : si on peut concevoir qu’un certain nombre de jeunes soient fauchés immédiatement après les injections… le nombre de décès devrait redescendre après… (effet moisson). Et même baisser encore davantage… réflétant ainsi la baisse de la population des 0-24 ans.

-et si encore l’Angleterre était une exception, une sorte d’île statistique… mais on constate des hausses continues et anormales de mortalité dans de NOMBREUX PAYS (sans oublier des baisses inexpliquées de la natalité, lire en commentaire les cas de la Suisse et de la Suède), en tout cas les pays occidentaux où l’on dispose de données fiables… et qui ont un point commun : avoir utilisé les pseudo “vaccins” ARNm de Pfizer/Moderna…

Tous les gouvernements et toutes les agences publiques (type Insee) sont au moins coupables de forfaiture… puisque ils refusent d’analyser sérieusement les données, d’étudier des pistes (y compris les plus folles), de chercher des explications.

POST SCRIPTUM

Seul quelqu’un comme Pierre Chaillot, avec la méthodologie et ses outils ad hoc, pourra nous donner une analyse exhaustive sur ces données, imbidonnables répétons-le : un mort est un mort à l’état civil, et heureusement sous nos latitudes, on ne peut pas mourir 2 fois (de la même manière qu’il est difficile de naître 2 fois ou de disparaître des registres des naissances…).

Il faudra patienter encore quelques mois pour obtenir les données 2022 définitives (en France, l’Insee prend son temps, car seule une faible proportion des certificats de décès est au format électronique…).

En attendant, il faut demeurer prudent avec les “révisions” et autres “données préliminaires”.