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AstraZeneca : ca sent la fin

Ceci est un vaccin qui se lève, après avoir dit “au revoir”, et va quitter la scène. Pour toujours.

Bye, bye. Adios.

Au revoir“.

Visualisez ici, Giscard d’Estaing le 19 mai 1981. 😉

Ca sentait le sapin. C’est désormais toute la forêt qui y passe.

Les plaintes se multiplient.. les chiffres sortent… de plus en plus de pays limitent son utilisation, les régulateurs déploient des trésors sémantiques pour éviter d’aller au gnouf (la fameuse balance “risques/bénéfices”…), bref le vaccin anticouillonaviral du laboratoire anglo-suédois semble en sursis.

L’Espagne, l’Italie, la Belgique ou le Royaume-Uni ont décidé de réserver le vaccin du laboratoire anglo-suédois aux personnes les plus âgées. (source Le Figaro)

Pour que la confusion soit le plus forte possible, chaque pays fait sa propre recette : Espagne 60 ans. Belgique 55 ans.

Pourquoi ? Parce que c’est l’Europe. 😉

Ces pays s’ajoutent à la Norvège, Danemark, Suède, France, Allemagne, Pays-Bas, Portugal, etc…

Même un changement de nom ridicule n’a aucun effet. La suspicion devient généralisée et surtout infecte le cheptel, plus facilement que le Covid…

Le régulateur britannique, après avoir bêtement nié… a enfin reconnu que… oui… il y a peut-être un… risque. Thrombose. Les “blood clots” comme on dit en anglais…

Et désormais en Angleterre, ce produit est réservé aux plus de… 30 ans. 😉

Non, non ce n’est pas un gag. Les Anglais ont échappé (pour le moment) au “réservé aux plus de 1 an”. 😉

Alors que penser de cet infâme bordel ?

D’abord nous réjouir.

Un produit inutile en moins ! 😉

Mais ensuite, garder la tête froide.

Car l’affaire pue la punition géopolitique (punir le Brexit de la part des extrémistes bruxellois)… mais également (soyons complotistes jusqu’au bout), le parfait “fog of war“, c’est-à-dire la diversion… pour protéger les autres vaccins (Pfizer surtout, celui qui est massivement utilisé en Occident).

Trop de coïncidences dans ce dossier.

Enfin, il faut rappeler une autre chose fondamentale. Le produit d’AstraZeneca était celui qui devait inonder les pays en voie de développement, car peu coûteux (par exemple la Thaïlande est en train de monter une usine pour le produire localement, et pour que la société fasse un max de fric, c’est pour l’instant le seul vaccin autorisé avec celui de Chine).

Je sens qu’on va bien se marrer…

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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Vaccination : avec les dents ou avec des chaussures ?

“A ma gauche, le vaccin Pfizer. A ma droite, celui d’AstraZeneca. Lequel m’aidera à franchir le dernier kilomètre ?”

Ce qui est fascinant avec les médias, c’est leur ingénuité.

Ce sont des instruments de propagande… Ils ne s’en cachent pas. Ils annoncent la couleur. Ils annoncent le programme.

Il faut toujours étudier la propagande. Elle est signifiante.

Macron était connu pour vouloir chercher la croissance “avec les dents“.

La covidémence le pousse cette fois à enfiler ses chaussures de marche.

Ainsi cet article édifiant publié par Le Parisien.

Macron, les vaccins et le dernier kilomètre
Une fois derrière nous la pénurie de doses, la France va-t-elle manquer de volontaires ? Le vaccino-scepticisme n’a pas disparu et le gouvernement prévoit une nouvelle campagne de publicité pour pousser les Français à aller se faire piquer.

Le “dernier kilomètre” ? Et le “vaccino-scepticisme”… on dirait le nom d’une maladie contagieuse.

😉

Le gouvernement, confiant, affirme que le calendrier vaccinal sera tenu. Partant de ce principe, les équipes de l’Elysée sont déjà en train d’anticiper le problème suivant : éviter qu’à la pénurie de doses ne succède celle des volontaires. Le vaccino-scepticisme a certes reculé dans notre pays, mais il n’a pas disparu. Or, pour se libérer du virus, il faut que près de 80 % de la population adulte ait des anticorps. « C’est le dernier kilomètre du vaccin. Les dix derniers pourcents à vacciner seront les plus durs, il va falloir aller les chercher », affirme l’un des plus proches conseillers du président de la République.

La patascience à fond la caisse. Comme d’habitude, on ressort ce pourcentage de “80 %” asséné pour l’immunité collective (sorti de nulle part, lire ici).

Et l’objectif est fixé : il  n’y aura que 10 % de rebelles (les sceptiques, comme on parle des climato-sceptiques)… et eux on ira les chercher avec les dents (ou alors en mordant les chaussures de marche ? On s’y perd).

Résultat, ça turbule au sommet de l’Etat, où on mise sur plusieurs leviers. D’abord, le fait que, d’ici l’été, chacun pourra constater, sur une population toujours plus nombreuse, le très faible nombre d’effets secondaires indésirables. Ensuite, le pouvoir table sur le « retour à la vie normale » avec « passe sanitaire ». L’idée que quand ils verront leurs amis se réunir à nouveau librement au restaurant ou au spectacle, grâce notamment au vaccin, les derniers réticents iront se faire piquer.

Des mecs meurent de thrombose après leur injection, des plaintes sont déposées, l’ANSM reconnaît finalement le “risque“… Mais le cheptel n’y verra que du feu.

Ensuite, le plat de résistance : le passeport vaccinal

La vaccination ne sera jamais obligatoire (on n’est pas en Italie ici, beurk !)… mais voilà pour aller pisser, il faudra avoir son passeport vaccinal… et donc se faire vacciner.

C’est beau comme le thèse-antithèse-synthèse d’un gland en première année à Sciences Po’ (avant la mort brutale de ce pauvre Richard Descoings…)

Je ne sais pas pourquoi, quand je parle de Sciences Po, je pense à Gabriel. Attal. L’homme qui sirote du rosé au bord  de la Seine, les pieds nus

Ce raisonnement sera appuyé par une campagne de communication sur laquelle le Service d’information du gouvernement (SIG) travaille déjà, en lien avec l’Elysée. Des spots télévisés sont à l’étude, où l’on verrait des gens, sans doute des jeunes, en train de profiter d’une soirée dans un bar ou d’un concert parce qu’ils sont vaccinés. L’un de ceux qui anticipent le défi du dernier kilomètre conclut : « la bascule des derniers sceptiques ne se fera que par le besoin de chacun de revivre. » Parce que l’Elysée rappelle la position très nette du président : hors de question de rendre la vaccination obligatoire.

Le foutage de gueule devient incandescent. 😉

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Vaccin pour les enfants : Johnson rejoint la meute des crevards

Le président de Johnson&Johnson. Une vraie tête de  vaccinateur en série, tendance dents blanches californiennes canal historique.

Après AstraZeneca, Moderna… le laboratoire américain Johnson-Jonhson entame des tests de son vaccin couillonaviral sur… des enfants, à partir de 12 ans.

The trial expansion will first test J&J’s shot in teens aged 16 to 17
If the vaccine appears to be safe and prompt an immune response in this age group, the trial will be ‘stepped down’ to kids ages 12 to 15
The trial has begun enrolling adolescents in the UK and Spain and will soon be expanded to the U.S., the Netherlands and Canada. A date was not specified (source DailyMail)

C’est odieux, il faut le répéter à chaque fois que ces dingues font de telles annonces.

Je rappelle que le PDG de Johnson est un fanatique covidémentiel de première… qui réclame un “vaccin annuel“, et ce pendant “plusieurs années” (lire ici) !

Eh oui… ça lui ferait un bonus annuel à la mesure…

Comment peut-on prendre ces gens au sérieux ?

Il faut démanteler ces sociétés commerciales qui sont devenues folles, toutes atteintes du “syndrome d’hubris”.