Rien n’est dû au hasard. Avez-vous remarqué que l’expression “immunité de groupe” (en anglais herd immunity) a TOTALEMENT DISPARU des radars ?
Partout. Dans tous les pays du monde. Simultanément.
Alors qu’en juin ou même après le discours de Macron le 12 juillet, les neuneus, les journalistes sur les plateaux TV, les politiciens et tous les covidéments du quotidien, sur toute la planète… n’avaient que ce mot à la bouche.
C’était la clé pour atteindre le Nirvana Vaccinal.
Le Pays de Cocagne. Le Paradis.
Atteindre l’immunité de groupe, via la vaccination de masse, c’était le nec plus ultra.
La Solution Finale (sans mauvais jeu de mot… ou plutôt si, avec jeu de mots).
Et ?
Et ?
Et ?
Bide total, ferme et définitif. Bide solaire. Bide hystérique.
La pseudo vaccination anticouillonavirale de masse… NE CHANGE STRICTEMENT RIEN.
Des vieux malades continuent de crever (avec le Covid). Et les “cas” (asymptomatiques bien entendu) continuent de se multiplier (avec le retour des premiers frimas).
Alors… zou… la covidémence médiatique change le “logiciel“… change les mots et donc les concepts.
(souvenez-vous de l’expression culcul la praline “aplatir la courbe” en 2020 ?).
Vous connaissez sans doute (de nom) le VAERS (USA’s Vaccine Adverse Event Reporting System).
Il s’agit de la base de données officielle qui répertorie les “incidents” liés aux vaccinations aux Etats-Unis : la fameuse pharmacovigilance.
Ces données sont déclaratives et saisies par les médecins eux-mêmes (voir interview de la biostasticienne Christine Cotton pour mieux comprendre).
Chaque état dispose de ce genre d’outils qui souffrent tous d’un sous-reporting.
Figurez-vous que des résistants courageux (et avec bcp de temps libre) compilent et analysent ces flots numériques.
Et une chose tout à fait extraordinaire est inscrite dans les données relatives aux produits couillonavirants : un très faible nombre de lots concentrent une très grande proportion… des décès (ou incidents) liés !
-Pfizer ou Moderna disposent de multiples unités de production. Certaines font de la merde et certains de leurs lots sont vérolés.
-Mais on peut aussi imaginer des questions liés au lieu d’injection. Par exemple un hôpital recevant un lot, le stockant dans de mauvaises conditions, et ensuite injectant de nombreux cobbayesvictimes patients.
-voir même un “cluster” de praticiens branques. Toujours dans un même lieu, une bande de docs et d’infirmières ayant une mauvaise pratique, et injectant -mal- de nombreuses doses du même lot.
D’autres mecs ont creusé :
Et là encore, surprise, les lots “mortels”… sont plutôt CONCENTRES sur la période janvier, février, mars 2021… En clair au début de la campagne “vaccinale”.
Et ils ne sont pas concentrés géographiquement mais plutôt bien étalés.
Alors ? Au début de la fabrication, Pfizer ou Moderna ont chié dans le pot de colle (on se souvient d’Astra Zeneca, ou encore des lots pollués au Japon)… et ensuite ils auraient réglé ces problèmes de production ?
L’explication semble encore plus sinistre : en réalité… la covidémence US… a accentué le sous-reporting de VAERS.
Moins de morts, moins de blessés… circulez y’a plus rien à voir.
Car, nous savons que des gens continuent de mourir ou d’être blessés par ces injections…. Mais ces incidents sont encore moins reportés dans VAERS qu’avant. CQFD.
A tout le moins, les fabricants ainsi que les autorités publiques américaines devraient… donner des explications.
Car clairement, quelles que soient les causes, cette répartition lots/incidents (aux USA) est ANORMALE.
Il y a une ou plusieurs couilles dans le potage vaccinal.
Et il est urgent de faire un travail d’analyse identique… dans d’autres pays.
Le confinement covidémentiel, c’est comme la vérole : ça revient toujours.
Et c’est bien ça le problème. L’année 2020 a démontré que tout pouvait être imposé au cheptel… Vous pensez bien qu’ils ne renonceront pas (volontairement) à cet extraordinaire pouvoir.
Les pays occidentaux ont emprisonné leur population pour lutter contre une pseudo pandémie, dangereuse en réalité pour une infime fraction (les vieillards déjà malades).
L’hiver revient, le virus reprend du poil de la bête, les vaccins affaiblissent des systèmes immunitaires déjà dans les chaussettes, tous les gouvernements ont pris soin (autre constante) d’affaiblir leur système de soins (suppression de lits, suspension des personnels non vaccinés etc.)…
Conséquence : la covidémence repart.
Ou plutôt : peut repartir. 😉
C’était annoncé depuis le départ. S’obstiner aujourd’hui à ne pas comprendre que la covidémence n’a rien de “sanitaire” mais qu’elle est uniquement politique, c’est souffrir d’un gros sida mental et en être fier (circonstance aggravante).
Les Pays-Bas reconfinent ainsi… pour “deux semaines” (on a déjà entendu cela !) alors même que la population est massivement vaccinée et que le passe sanitaire a été institué fin septembre !
Et ces deux semaines… se reproduiront selon toute vraisemblance.
Il n’y a donc aucune surprise sur le fond. Et pas non plus quant à la forme.
Pourquoi le cirque recommence aux Pays-Bas ? Car c’est un pays ultra woke, gauchiste, en un mot une cible faible parfaite pour les constructivistes.
Leur premier ministre s’appelle Mark Rutte. C’est un mélange de Macron, Bayrou et Hollande. Je sais ça fait beaucoup pour un seul homme. 😉 Un gland parfait au pouvoir… depuis 2010 !
Et c’est quoi les Pays-Bas ? Des tarlouzes majoritairement de gauche (pardon libéraux) qui se déplacent en bicyclettes, font du yoga, fument des joints, cultivent des tulipe et célèbrent la diversité ethnique (comprendre l’invasion arabo-africaine) et les LGBT++… Bref des cibles décidément parfaites.
Mais pas de jaloux ! Les mêmes causes, c’est-à-dire la même volonté politique, produiront exactement les mêmes effets… en France (et ailleurs).
Il est évident que les hôpitaux, les services de soins critiques vont déborder cet hiver car tout a été fait objectivement pour. Et l’ado psychotique de l’Elysée vous annoncera qu’il faut des “coupes-feux” (comprendre des confinements) pour “applatir la courbe” et “éviter l’implosion de l’hôpital “.