
C’est potentiellement une bombe nucléaire qui vient de détonner.
Et au fond ce qui devait arriver… devait arriver (les communiqués de presse maquillés en études scientifiques qui claironnaient “95,9998999 % d’efficacité, aucun effet secondaire, fait revenir l’être aimé, fait gagner au loto“).
Une ex-directrice de Ventavia, société sous-traitante de Pfizer, affirme que des données ont été falsifiées (entre autres problèmes) durant les tests cliniques du vaccin anticouillonavirus sur plusieurs sites au Texas (cela concernerait 1 000 participants sur 3 sites, sur un total de 44 000 participants sur 153 sites dans le monde).
Rappel : la plupart de ces tests cliniques sont… sous-traités à des sociétés privées… Pfizer centralise le tout.
A regional director who was employed at the research organisation Ventavia Research Group has told The BMJ that the company falsified data, unblinded patients, employed inadequately trained vaccinators, and was slow to follow up on adverse events reported in Pfizer’s pivotal phase III trial. Staff who conducted quality control checks were overwhelmed by the volume of problems they were finding. After repeatedly notifying Ventavia of these problems, the regional director, Brook Jackson, emailed a complaint to the US Food and Drug Administration (FDA). Ventavia fired her later the same day. Jackson has provided The BMJ with dozens of internal company documents, photos, audio recordings, and emails. (source ZeroHedge)
Elle a donc prévenu la FDA… Et a été virée le jour même ! 😉
Sont efficaces ces Américains !
La collusion avec le pseudo régulateur américain s’annonce savoureuse voire franchement poilante.
Donc cette femme a fourni des documents… à la rédaction du British Medical Journal… la prestigieuse revue scientifique qui publie l’article…
Et d’autres employés corroborent ses affirmations.
Parmi les autres problèmes relevés :
- Participants placed in a hallway after injection and not being monitored by clinical staff
- Lack of timely follow-up of patients who experienced adverse events
- Protocol deviations not being reported
- Vaccines not being stored at proper temperatures
- Mislabelled laboratory specimens, and
- Targeting of Ventavia staff for reporting these types of problems.
Aïe.
Ca pique.
Mais quand on connaît l’histoire de Pfizer ou de Merck et de toute l’industrie pharmaceutique en général… qui pourrait être surpris ?
Mais si d’habitude, ces scandales touchent des milliers, dizaines voire des centaines de milliers de personnes… ici nous parlons d’un événement potentiellement biblique… avec des milliards de doses injectées dans le monde.
Précisons enfin que même si les tests ont été trafiqués ou salopés… cela n’implique pas forcément que le “vaccin” n’ait aucune efficacité ni qu’il soit dangereux…
Mais comme d’habitude, nous avons une pensée émue à tous les cobayes gogos victimes qui ont accepté de se faire injecter ces produits… parfaitement inutiles en outre pour une très large majorité d’entre-eux.
POST-SCRIPTUM
Le pékin moyen est impressionné. Il imagine des salles blanches, des opérateurs (on ne dit pas ouvriers dans ce monde !) comme désincarnés, des robots, la perfection numérique…
Les gars réveillez-vous : l’homme est faillible et donc failli.
Pour rester dans le domaine “pharmaceutique” et en plein dans le mille du sujet… parlons du gros délire en Italie, dans une “usine” de fabrication du produit d’AstraZeneca en mai 2020… En plus, la production pilote… puisque destinée aux tests cliniques du vaccin de la firme anglo-suédoise !
On imagine donc le petit doigt sur la couture, des procédures de folie, une rigueur nazie allemande italienne. 😉
Lisez mon article… pour comprendre qu’on vous berne, intentionnellement ou involontairement (peu importe). Vous êtes à mille lieux d’imaginer…
Lien : https://covidemence.com/2021/01/04/vaccin-astrazeneca-les-italiens-ont-force-sur-la-grappa/