Bovine lactoferrin has shown antiviral activity in human clinical trials,‘ Dr Jonathan Sexton, a researcher at the University of Michigan’s department of internal medicine, said in a statement.
Sexton even believes that drinking milk could even work as a post-exposure treatment to prevent a person from being infected.
‘Given the broad antiviral efficacy and safety, minimal side effects, and commercial availability of bovine lactoferrin, several review papers have suggested using it as a preventive or post-exposure treatment for SARS-CoV-2 infection,‘ he said. (source DailyMail)
La nature est décidément bien faite… 😉
POST-SCRIPTUM
Je sais que cela brisera quelques coeurs, moins en tout cas que les produits ARNm, mais je vais réduire la voilure de ce blog, son rythme (un article publié chaque jour).
Les Etats-Unis l’ont amplement démontré avec leurs cingleries des pseudos “dossiers”, créés de toute pièce par les démodégénérés pour monter en sauce la “collusion” de Trump avec le maître du Kremlin etc.
Poutine et ses hommes savent tout cela.
Donc ils ne pouvaient pas ne pas penser qu’ils seraient ostracisés, diabolisés, sanctionnés par l’Occident psychotique (voir le Covid), woke, neuneu, hystérique.
Le couillonavirus a ravagé l’Occident ou plutôt a révélé et accéléré à la fois sa dégénérescence.
Le wokisme, et son bâtard la haine de soi, se répand comme une traînée de poudre en Amérique du Nord et en Europe.
Il suffisait donc à la Russie d’attendre.
Les Etats-Unis sont de plus en plus divisés, les élections mid terms s’annonçaient désastreuses pour Joe Bidet. L’Empire pourrit de l’intérieur. Et par la tête.
Et si vraiment l’Otan avait accepté d’intégrer l’Ukraine (peu probable dans de telles conditions) alors Poutine aurait pu passer à l’attaque, en endosssant cette fois le beau rôle.
Il suffisait d’attendre également… pour mettre en service le gazoduc Nord Stream 2, achevant de démontrer de manière concrète la dépendance de l’Europe de l’Ouest au gaz russe.
Donc pourquoi y aller maintenant ?
Pourquoi précipiter les choses ?
Et si l’intervention en Ukraine cachait un objectif plus stratégique ? Plus vaste que les intérêts russes immédiats (sécuriser les frontières, finlandiser les vastes plaines ukrainiennes, libérer/sauver les minorités russophones).
Et s’il s’agissait de précipiter la fin de l’hégémonie américaine, en détruisant son principal levier : le dollar ?
Comment ?
En créant une nouvelle monnaie étayée par les réserves d’or (et d’hydrocarbures) de la Russie et de la Chine.
La question est aussi ontologique que sotte :
Au nom de quoi un baril de pétrole extrait en Sibérie doit être vendu sur le marché mondial… en dollars américains ?
Idem pour un quintal de blé, une once d’or, du minerai de fer, du charbon et tutti quanti ?
Nous sommes ici dans le coeur du réacteur de l’hégémonie américaine.
Le dollar n’est pas le résultat de cette domination… mais bien sa cause !
Le dollar est la clé de voûte du système impérial.
Le coup de génie, après la Seconde guerre mondiale, fut le deal avec l’Arabie Saoudite : sécurité absolue contre vente de l’or noir en dollars.
Le fameux -et bien nommé- pétrodollar.
Quiconque veut acheter un baril de pétrole ou un m3 de gaz… doit obtenir de la monnaie américaine.
Et ce quiconque sur cette planète c’est en réalité TOUT LE MONDE et en permanence 😉 … tant l’énergie est une ressource fondamentale.
Nous devons amasser des quantités importantes de dollars… et ces derniers sont créés… à la demande sur le clavier d’un PC (chinois) par les Etats-Unis (la touche F12 ou alors CTRL P, les experts s’interrogent encore…).
C’est le privilège impérial.
Et comme tout privilège, on finit toujours par en abuser (voir les quantités délirantes de dollars que l’Amérique imprime électroniquement, là encore le Covid n’a fait qu’accélérer l’entropie historique).
Revenons à la question qui illustre l’énormité de cette hégémonie :
Au nom de quoi dois-je vendre un baril de pétrole, extrait de mon sous-sol sibérien, en dollars américains ?
Cette problématique est connue et parfaitement comprise depuis des décennies par les dirigeants russes et chinois… cela n’a rien de secret, rien d’extraordinaire, ni même de très technique… mais ils n’étaient pas prêts…
Depuis des années, ces deux grands pays amassent d’importantes quantités d’or (production en propre en Russie, mais également achats) alors que l’Occident est convaincu que l’or est un truc de vieux cons, une relique barbare.
Pourquoi ?
Ils préparent activement la fin du dollar comme système de domination mondiale.
Mais préparer la fin, cela veut dire développer une solution alternative pour servir ses propres intérêts. Et enfin choisir le bon moment pour passer à l’action.
Revenons du côté de l’Ukraine, avec notre cher Poutine.
-je fous la merde
-j’anticipe l’hystérie occidentale
-l’Occident m’isole, me coupe du système banque mondial (Swift) m’interdit de facto de commercer en dollars et me pique mes réserves.
-alors je dévoile ma nouvelle arme, bien plus puissante qu’une arme nucléaire, qui non seulement sécurisera ma position mais en plus détruira mon pire ennemi ; la nouvelle monnaie de réserve et d’échange, gagée sur les réserves d’or et les ressources d’hydrocarbures russes.
Un tel plan collerait parfaitement avec l’esprit de Poutine : le judo.
Utiliser, retourner la force de l’adversaire contre lui.
Une chose est en tout cas absolument certaine (outre l’évidence du privilège impérial, incarné par le dollar) : si la Chine était encore un peu hésitante… les sanctions financières décidées par l’Occident contre la Russie achèveront de la convaincre de l’absolue nécessité de couper tout lien avec la monnaie américaine, le plus tôt possible.
En un sens : l’Amérique vient de se faire hara-kiri.
Les sanctions (jamais vues) contre la Russie sont le début de la fin de l’hégémonie US.
Ce qui colle au fond parfaitement avec le sens de l’Histoire et ce suicide civilisationnel que nous, Occidentaux, chérissons tant…
POST-SCRIPTUM
Quelques jours après l’écriture de ce papier…. pouf… Moscou vient de “monétiser” l’or… en supprimant la TVA de 20 % qui était imposée sur l’achat du métal précieux.
Et la banque centrale russe annonce qu’elle va de nouveau acheter de l’or sur le marché domestique.
Au-delà de ces indices, une évidence s’impose : dans une vraie crise, oubliez la bite qui fait coin-coin et autres bêtises pour ados psychotiques et boutonneux.
Or, énergie et bouffe.
Voilà la Sainte Trinité.
Voilà les fondamentaux historiques, humains.
D’accord, on peut ajouter à cette liste les… armes ;-).
POST-SCRIPTUM BIS
Le cheptel n’est pas au courant (et bon nombre de politiciens occidentaux non plus)… mais la Chine développe depuis 2015 son propre système Swift… Le Cross-Border International Payments System.
C’est ballot, hein ?
En Asie, de nombreuses transactions entre états s’effectuent déjà en monnaies locales.
Bref, la dédolarisation est inévitable. Les Occidentaux sont devenus tellement woke et dégénérés qu’ils ne se rendent même plus compte du Réel qui les entoure. Les rapports de force ont totalement changé.
Rappelons quand même que l’éjection des banques russes du système Swift… n’est même pas réelle ! En effet… après l’effet d’annonce… sont venus les détails techniques qui fâchent…
Les banques russes liées à l’énergie… sont exclues de l’exclusion ! (source Reuters).
Bref, on veut punir les banques russes liées au commerce des sextoys, des fleurs coupées et des harengs congelés… mais le gaz et le pétrole… euh… non on a bien réfléchi… Poutine est très méchant mais… pas trop quand même.
La farce.
Visualisez ici la tronche de Joe Bidet qui bave avec son dentier et celle de Burno Lemerde “nous-allons-provoquer-l’effondrement-de-l’économie-russe“…
La farce est totale.
Grotesque. Obscène.
Une veille pute édentée barbouillée de rouge à lèvres cheap et de foutre.
L’histoire d’un couple d’expatriés vivant à Hong Kong… et pris dans la punition infligée par Pékin à ce territoire, anciennement rebelle.
Leur fille de 11 mois a été admise à l’hôpital après un covitest positif… Elle doit demeurer à l’isolement… sans ses parents !
Plus fort encore : la règle est qu’elle ne peut quitter l’hôpital que si un autre test est négatif… sept jours après son admission…
Tous ces cas sont aussi foireux que virtuels (des bébés de 11 mois on croit rêver, mais non).
Bref, pendant sept jours (au minimum) ce bébé est séparé de sa mère, de son père et fuck you, au nom du “Zéro Covid”, mais surtout de la politique démentielle imposée par le PCC à Hong Kong, territoire martyrisé (lire mon article de fond au sujet de cette punition).
Du côté de l’hôpital, inutile de rappeler que l’infirmière qui s’occupe de ce nourrisson est habillée en combinaison hazmat avec masque et visière… achevant de terroriser l’enfant.
Voilà où mène la covidémence, par essence une action politique.
La punition chinoise va continuer.
L’humiliation du fameux “un pays deux systèmes“, l’idée absurde -du côté de Pékin- que les habitants de HK puissent s’opposer et prétendre être indépendants… se paye aujourd’hui cash.