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Pognon Vaccinocircus

Moderna : bulle et version enrichie aux enzymes gloutons

La bulle Moderna vient de péter.

Cette société qui n’avait jamais rien fabriqué avant le produit couillonavirant ARNm… se crashe en bourse.

Les masques tombent et avec eux la “valeur“. Dans les chaussettes.

Depuis le pic à 450 USD en septembre dernier… le prix de l’action du labo américain a été divisée par deux.

Pépère.

Moderna ? Merdena plutôt.

Moderna a été utilisée -par Pfizer et les pompom girls- pour faire illusion… Pour ne pas prêter le flanc à l’accusation de monopole

Moderna, je l’avais écrit très tôt, c’est le Poulidor de la dosette.

Malgré cela, Moderna veut continuer à exister et à marquer le maillot jaune.

Ainsi, la société américaine annonce le test clinique de son “booster” spécifique contre Omicron, sur 600 personnes (300 ayant déjà reçu 2 doses et 300 étant à la 3ème). (source Bloomberg).

Cette annonce intervient juste après celle de Pfizer et son propre test clinique portant sur 1 400 adultes (source Reuters).

Il est intéressant de noter que pour Moderna… les non-vaccinés n’existent tout simplement pas ! Ces tests sont ridicules car incomplets.

En tout cas, une chose est sûre : il convient de célébrer nos amis israéliens… qui ont déjà vu le futur de ces produits : grotesque et tragique.

Après les covicas (peu signifiants, nous sommes d’accord)… observons les nouvelles hospitalisations en ICU (soins critiques) par semaine en Israël.

Record couillonaviral battu, toutes “vagues” confondues depuis mars 2020. Chapeau les mecs. Ca swingue sous les kipas.

Dans le Pfizerland, le pays des 3ème et 4ème doses où les Juifs portent l’étoile jaune, pardon le “green pass“… ça craint sérieusement.

Et cela démontre que les produits ARNm actuels relèvent de la patascience.

A moins que… qu’une cinquième dose puisse résoudre le problème ? 😉

Quoi qu’il en soit, se retrouver en soins critiques à l’hosto… c’est bien une “forme grave”, non ?

Attendez, j’appelle Karine Labombe et Olivier Variant.

Le couillonavirus dit bonjour à un citoyen israélien ayant reçu 15 doses du produit ARNm de Pfizer.
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Médicament Vrac

Confession : j’ai été couillonavirusé !

Bibi est passé à la casserole !

Ca c’est du scoop Coco !

Je ne préciserai ni les dates, ni le lieu, ni les circonstances précises afin d’éviter une descente de la DGSI ou d’agents chinois venant dans ma villa -de plain-pied- pour me défenestrer

Une certitude : je ne suis pas mort. 😉

Et c’était avant Omicron

Vous devrez donc me supporter encore longtemps…

Ca commence un samedi soir. Deux nuits de suite, j’éprouve une sorte de pincement au coeur, un poul “lourd”, au point d’en faire une grosse insomnie, bien velue.

Je commence à échaffauder des plans pour réaliser un checkup “cardiaque” à l’hosto local… Mon hypocondrie n’est plus à démontrer. mais je la maîtrise. Je n’imagine pas une seule seconde qu’il puisse s’agir du couillonavirus. Alors qu’en fait c’est bien lié à un cluster Covid. Un membre de ma famille a ramené la merdouille à la maison.

Le lundi ces sensations cardiaques s’estompent, une journée normale. Mais mardi au réveil, crac, les symptômes sont bien là. Etat grippal caractérisé. Fièvre, tête dans le cul, douleurs aux lombaires, aux articulations.

Envie de tuer la terre entière et de dormir pendant 3 mois (en même temps, ou l’un après l’autre, c’est selon).

Je fais un test antigénique rapide (salivaire) : positif.

Bingo. J’ai gagné le cocottier.

Je vais faire un test PCR pour confirmation.

Résultat positif, avec une charge virale importante (CT bas).

J’entame immédiatement le protocole précoce :

Lien : https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/12/FLCCC_Alliance-I-MASKplus-Protocol-FRANCAIS.pdf

Je charge l’ivermectine à 0,4 mg/kilo le 1er jour. Puis 0,6 les 4 suivants. Je suis équipé d’un oxymètre : tout est normal de ce côté.

J’ajoute tout le who’s who des sorciers : zinc, vitamine D, aspirine, vitamine C, curcuma, bains de bouche à la chlorhexidine, etc.

Hélas, j’arrête le pinard. 😉

Je décide d’écouter les conseils du doc local, et je m’enferme à l’hosto (privé) pour des examens : radio pulmonaire, tests sanguins etc. (pour lui en réalité, il s’agit d’un emprisonnement, mise en quarantaine).

Ca ne mange pas de pain, mais ça coûte un bras. Ne lésinons pas. D’autant qu’au même moment je perds l’odorat et le goût… eh oui la totale… Ce qui signifie que ce n’est pas fini… Re-zut.

Bref, si la saleté s’avise de descendre sur mes poumons, nous pourrions alors réagir.

Au final, j’ai passé 1 semaine à l’hosto.

Il s’agit pour une large part d’une machine à fric, d’une arnaque.

Et une machine bâtie sur un malentendu : un hôpital c’est conçu pour traiter des malades… pas pour les maintenir en quarantaine !

Mais les Thaïs ont du mal à comprendre cette évidence.

Ce système privé, parallèle, qui est monnaie courante en Asie, préfigure ce que vous vivrez bientôt… Eh oui avec votre Sécu de merde qui coûte un max, toujours en déficit et vos “mutuelles” qui s’ajoutent par dessus… l’ensemble ayant dépassé depuis longtemps le point de non retour…

Au final : vous paierez toujours “un pognon de dingue”, comme des… “malades”, c’est le cas de le dire, mais en prime vous serez soignés comme de la merde (le Covid étant un amuse-bouche “restez chez vous, prenez du paracétamol ! “, avec des prélèvements zociaux à 17,20 %, tu parles d’une enculerie !).

Ici en Thaïlande, à Bangkok, “parce que je le vaux bien“, je peux faire une séance de scanner Low Dose (avec une machine spatiale flambant neuve signée Siemens, heil !) le lendemain, si je veux.

Pourquoi ? Juste pour le plaisir.

Une opération de chirurgie ? Une colonoscopie dans la joie et la bonne humeur ? 24 h d’attente, à peine. Et pour le prix, vous avez une chambre de luxe, et pour vous faire oublier le vôtre (plat et avachi), le cul de l’infirmière sera fabuleux, son sourire sera solaire, coup de foudre dans la seringue et sous la blouse, et plus si affinités.

Mais je m’emballe. 😉

Le tout à condition de banquer.

Je referme cette parenthèse.

Mon hospitalisation a donc été “conseillée“, j’ai dit jokay pour blinder le pronostic. Mais ce n’était pas nécessaire.

Après la période de quarantaine obligatoire achevée dans ce putain d’hosto, j’ai retrouvé une vie normale. Avec malgré tout quelques manifestations… cutanées… aussi étranges que fugaces, et mon odorat et mon goût toujours dans les chaussettes… pendant plusieurs semaines.

Alors que retenir de cet épisode couillonaviral (je le répète avant le rhume Omicron) ?

D’abord l’ironie bien entendu. Moi l’un des pourfendeurs enragés de cette saloperie, pouf, je passe à la casserole.

Evidemment.

Vous avez le droit de vous foutre de ma gueule. J’assume totalement.

L’autodérision est une des conditions sine qua non de la résistance mentale.

A un moment, au pic de l’état grippal, dans mes délires nocturnes, j’imaginais même avoir été victime d’un empoisonnement mené par un gang d’agents du PCC ! 😉

C’est dire si j’étais impliqué.

Rétrospectivement, je préfère y voir l’expression (ironique) du journalisme gonzo qui est mon modèle.

C’est-à-dire l’immersion personnelle.

Donc voilà, j’ai goûté au couillonavirus. Mais je n’ai pas eu un Covid grave avec atteintes pulmonaires. Je m’en sors donc très bien, comme 99,900225555876899710377 % des gens sur cette satanée planète.

Est-ce que cela a changé mon analyse de fond quant au virus ?

Pas le moins du monde.

La prochaine fois, je passerai au protocole Raoult (HCQ et azithromycine).

Pourquoi ?

Pour varier les plaisirs et emmerder les covidéments.

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Mutants

1, 2, 3 : la Chine découvre un nouveau variant… du Mers

“Alors les gueux ! Vous pensiez qu’on allait vous lâcher ?”

Ca recommence… !

Cette fois pour ajouter au drame ce sont des scientifiques chinois… de Wuhan qui ont fait cette découverte, sur des chauves-souris (eh oui, on n’en sort pas)… en Afrique du Sud (encore eux !) (source Tass).

The team of researchers from Wuhan University claimed to have “unexpectedly” stumbled upon the new strain, which they’re calling “the NeoCoV strain.” (étude publiée ici).

Particularité : c’est un variant du… Mers (Middle East Respiratory Syndrome)… un coronavirus qui n’est pas un couillonavirus puisque il est réellement dangereux (voir l’épidémie de 2012, pas très infectieux, mais mortel).

Alors où est le problème ?

This unexpected ACE2 usage of these MERS-CoV close relatives highlights a latent biosafety risk, considering a combination of two potentially damaging features of high fatality observed for MERS-CoV and the high transmission rate noted for SARS-CoV-2. Furthermore, our studies show that the current COVID-19 vaccinations are inadequate to protect humans from any eventuality of the infections caused by these viruses.

Cette saloperie capable d’utiliser ACE2 comme porte d’entrée chez l’humain pourrait donc être problématique car :

  • combinerait la transmissibilité du Sars-Cov2 (aka le couillonavirus) avec la dangerosité du Mers
  • les pseudos vaccins contre le couillonavirus seraient inopérants (ainsi que l’immunité naturelle).

Zut.

Va falloir tout recommencer. 😉

Préparez vos mouchoirs, vos seringues.

Et vos auto attestations.