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Asie Pays

Singapour replonge dans la covidémence

Soit Singapour. Ville-état au sud de la Malaisie. Population 5,7 millions. 4ème rang mondial pour le PIB par habitant. Education élevée.

Discipline de fer (un mégot de clope jeté au sol, au gnouf direct… et si un jeune occidental crétin se croit à la Courneuve et graffite un mur… alors ce sont les coups de canne, mais oui old school ! … puis l’expulsion).

Bref des mecs sévèrement burnés.

Ils furent les premiers à dire (en mai dernier de mémoire) : “les gars va falloir vivre avec le Covid “.

On le voit, intelligence supérieure donc…

Sauf que… non.

Nous sommes en Asie, dans la zone d’influence que dis-je de propriété de la Chine, alors l’idéologie Zéro Covid y est très forte (puisque téléguidée par le Grand Frère du Nord).

Voilà pourquoi Singapour replonge dans la covidémence, des deux pieds, comme un porc dans son lisier.

  • retour du “télétravail”
  • les écoles passent en mode “on line”
  • maximum 2 personnes… par table dans les restaurants (!!!)
  • le tout pour un mois (source Bangkok Post)

Rappelons que… 4 personnes sur 5 sont vaccinées (double dose) (lire mon article précédent) !

Ca fait mal au slip vaccinal. La dissonance viralo-vaccino-cognitive est massive.

Et comme d’habitude, on retrouve le même discours lunaire pour justifier ces mesures :

the government wants to curb that increase and avoid a hard lockdown

On fait de la merde aujourd’hui pour éviter… une future merde encore plus grosse. 😉

Et ce mode de raisonnement totalement absurde dure depuis 18 mois…

Mais le plus fort : 23 personnes sont actuellement covihospitalisées en soins intensifs !

Vingt-trois 😉

Le pays affiche un coviscore terrifiant de 13 covimorts par million d’habitants. Quand la France surfe sur les 1 779… C’est bon de se sentir intelligent.

On le voit, Singapour est donc en grand danger… Un danger existentiel…

Et si Singapour se comporte de cette manière… je vous laisse imaginer ce qui se passe et se passera en Thaïlande, Indonésie, Malaisie, Cambodge, Vietnam…

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Saloperie et sida mental

Mômes en maternelle : interdiction d’aller aux toilettes

Vu sur Fessebouc. A chaque fois, on espère qu’il s’agit d’un vulgaire fake. D’un truc pondu par un odieux conspirationniste d’estrême-droûate rawciste.

Et puis non… Hélas… C’est trop “vrai “.

La PQR en parle (source ici).

Ecole MATERNELLE de Villefranche…
La classe concernée est une moyenne section , c’est-à-dire des enfants de 4 ans...

Au-delà des grandes questions qui nous agitent (vaccin obligatoire, ausweis vaccinal, étoile jaune 2.0, les mouvements de fond géopolitiques, etc.)… il y a toutes ces petites démences, ici et là, les règles les plus folles qui s’ajoutent, et dont on n’a pas connaissance.

Et qui alourdissent sérieusement le passif

On tente d’imaginer ce qui a pu se produire dans le cerveau (?) de la maîtresse lorsqu’elle a pondu une telle merde sur son traitement de texte…

Puis en imprimant la bouse sur sa machine inkjet de merde.

Et enfin, en faisant tourner la photocopieuse pour distribution aux parents…

Se rend-elle compte de ce qu’elle écrit ? Fait-elle du zèle, car elle y croit vraiment ? Est-elle une dangereuse psychopathe qui prend du plaisir à faire du mal aux enfants ?

Qui est-elle vraiment ? Est-elle terrorisée de perdre son emploi ? D’être mal notée par la hiérarchie ? Souffre-t-elle du Syndrome de Stockholm ? Est-elle une victime ou une perverse ? Comment son cerveau fonctionne t-il, s’il fonctionne ?

A ce stade, une trépanation s’imposerait afin de mener un examen neurologique complet avec force biopsies. 😉

Quand l’heure des comptes sonnera -comprendre les règlements de comptes- la cuenta sera lourde.

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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Angleterre, hospitalisés Covid : énième bidonnage des chiffres

La spécialité britannique : le silly walk chiffré.

Cela devient un running gag. Un mauvais.

Toutes les données -importantes- relatives à la crise couillonavirale sont bidonnées.

Ou si vous préférez, en langage moins fleuri, délibérement exagérées, dans une optique politicienne : la prolongation de la covidémence.

C’est une partie du fameux “quoi qu’il en coûte” du gland aussi psychotique qu’ingénu qui squatte le palais de l’Elysée.

Le Royaume-Uni reconnaît ainsi périodiquement des bidonnages… (lire ici, , encore ici, encore , ici et même ) mais plusieurs mois après, une fois le mal fait, une fois les objectifs politiques atteints.

Dernier exemple en date : un quart des “hospitalisés Covid”… n’ont en fait rien à voir avec le… fameux virus.

Ce n’est pas une surprise, nous le savions déjà et sous de nombreuses latitudes. Mais c’est encore plus goûtu lorsque l’admission est officielle.

Data shows 6,146 NHS beds taken up by Covid positive patients on Sept 14, latest health service data shows
But just 4,721 patients (77%) were primarily being treated for coronavirus, with rest possibly ‘incidental’ cases (source DailyMail)

Cette petite plaisanterie dure depuis au moins la mi-juin (lire article Lockdown Sceptics).

Le nombre des hospitalisés est une des données essentielles (avec les “cas”, les lits en réanimation, et les décès).

Cet indicateur est utilisé par les gouvernements pour justifier le caractère exceptionnel de la crise, et donc des mesures prises, par les médias (pour entretenir la pétoche) et plus largement par tous les glands covidéments.

Ainsi, en Angleterre, on a bourré le mou au public pendant tout l’été avece ce slogan :  “5 000 hospitalisés Covid”.

Alors qu’en réalité, il aurait fallu dire : 3 750.

Les mêmes manipulations ont lieu en France (en particulier sur les lits de réanimation, lire ici).

Enfin, notons que toutes ces “erreurs”, ces algorithmes faux, ces “estimations“, ces “problèmes“, etc… vont systématiquement dans le même sens.

Celui du grossissement de la menace, jamais l’inverse.

Jamais.