Du 1er janvier au 18 février 2022, 666 (non ce n’est pas une blague) personnes âgées de 60 ans et plus ont été déclarées “mortes du Covid “.
Cela représente 82 % du total des covidécès sur cette période.
Parmi ces 666 malchanceux :
58,2 % n’étaient pas vaccinés
41,8 % étaient vaccinée (1 dose = 66 morts, 2 doses = 197, et 3 doses = 16)
Rappel : 70 % de la population sont vaccinés (2 doses). Et 27,5 % ont reçu 3 doses.
Comme d’habitude c’est le verre à moitié plein ou à moitié vide. Les covidéments diront que c’est la preuve… que les non vaccinés sont majoritaires, nanananère, et bien fait pour eux bande de salopard de terroristes antivax.
Les gens rationnels, normaux, noteront que comme partout ailleurs, si vous êtes, très âgé, obèse et accablé de pathologies du moyen-âge… vous passerez à la covicasserole, que vous soyez vacciné ou pas.
Ergo : ces produits ont une “efficacité ” dans les chaussettes, marginale, en tout cas très réduite dans le temps pour les groupes -vraiment- “à risques“, lesquels sont parfaitement identifiés depuis 2 ans, sur toute cette satanée planète !
La majorité de la population (les jeunes bien portants) n’est absolument pas concernée par cette terrible pandémie. Ergo : ces dosages massifs sont absurdes car inutiles et même dangereux.
On a très vite compris cette évidence.
On rentre dans la 2ème année de cette folie des piqûres… les preuves sont nombreuses et continuent de s’accumuler.
Et pourtant on continue de déifier ces injections et leurs sous-produits politiques (on pense au fameux passeport vaccinal à la française par exemple).
Une chose est sûre : en Asie, il n’y a absolument pas le début de commencement de débat autour de ces chiffres qui pourtant devraient provoquer des courts circuits psychiques.
Un variant, un gouverneur neuneu, un mars et ça repart !
Ca repart même fort en Thaïlande.
Le gouverneur de la province de Buriram (nord est de Bangkok) a décidé… de tout refermer : les restaurants, les lieux de fête ainsi que les écoles !
La raison ? Le “surge” bien entendu ! La hausse terrifiante des cas…
Enfin totalement virtuelle car la majorité de covicas sont à Bangkok, la capitale. Le Buriram n’est même pas dans le Top 10 des provinces par nombre de covicas.
Alors pourquoi cette province une fois de plus casse les burnes de sa population (1,59 million) ?
La course à l’échalotte politique. Il faut signaler sa vertu, se faire bien voir des élites de Bangkok, se positionner en sauveur de la nation pour les prochaines élections…
Ce qui conduit à des décisions totalement absurdes et déconnectées du Réel.
Comme d’habitude, d’autres gouverneurs font se sentir obligés de suivre.
Ca n’a pas loupé puisque 24 heures après, celui de Khon Kaen (nord-est du pays) interdisait l’alcool dans les restaurants ainsi que les groupements et les obsèques avec plus de 50 personnes (source).
POST-SCRIPTUM
Tout doit être aussi replacé dans le contexte politique.
Le Buriram est le fief du parti Bhumjaithai, un gang (dirigé par Newin Chidchob) qui supporte le pouvoir en place (général Prayuth, premier ministre depuis son coup d’état de 2014), après avoir supporté… le diable Thaksin (les mecs sont girouettes en plus).
La majorité actuelle est fissurée… Des députés ont fait défection. Prayuth est en sursis (élections générales en 2023 voire avant en raison de motion de censure déposée par l’opposition). Son ministre de la Santé dirige le parti Bhumjaithai et il a récemment boycotté plusieurs réunions du cabinet (présidées par Prayuth).
Bref, le coup de la fermeture pourrait également être un moyen de mettre le général en difficulté, en le faisant apparaître comme faible dans la lutte contre le virus.
Enfin, pour savourer toute l’ironie de la situation… un haut responsable du ministère de la Santé affirme :
The Public Health Ministry is setting its sights on declaring the spread of the coronavirus disease as endemic within the next four months, said its top official.
Donc d’un côté on veut rabaisser le couillonavirus au rang de virus endémique d’ici 4 mois, en clair faudra faire et vivre avec, et de l’autre on referme les restos, on interdit la vente d’alcool, et on renvoie les mômes à la maison ?
Serrault et Tognazzi faisaient rire à l’époque en se moquant des autres et d’eux-mêmes. Aujourd’hui… on ne rit plus.
Pardon… toutes mes excuses… les “hommes efféminés” !
Autant pour moi.
Shanghai’s market regulator on Wednesday issued a new advertising guideline, prohibiting the portrayal of romance between male characters, effeminate men, and ideologies such as money worship in commercials, among others.
The Shanghai Municipal Administration for Market Regulation said the move aims to combat “unhealthy culture” and adhere to “correct” advertising guidelines, as authorities attempt to thwart what they see as a growing “feminization” of men. (source)
Ce genre de nouvelles n’est bien sûr pas relayé dans la presse occidentale qui fait les yeux doux à Pékin (ou celle qui est achetée ce qui revient au même).
Et pour cause, car cela fait mauvais… genre (sans mauvais jeu de mot, oh et puis si) 😉
La mécanique délétère est identique avec la question de l’Islam. Ce dernier a trèsenvie de balancer les homosexuels du haut des immeubles.
Mais comme l’Islam est réputé être dans le camp du bien, de l’antiracisme, de la bienveillance, de l’amour alors chez nos gogos-écolos-wokes cela provoque un court-circuit mental.
Le syllogisme type Shadock est peu ou prou le suivant :
l’Islam veut tuer les homos
les homos sont gentils
donc l’Islam est gentil
😉
La position de l’honnête homme du 21ème siècle devrait être claire : ce que font des adultes consentants entre eux, en privé… doit demeurer privé.
Mais sur la place publique, il n’y a aucune raison de vouloir revendiquer sa “fierté ” d’être gay ou d’être obèse ou de s’identifier à un grille-pain ou de faire chier la terre entière avec ses obsessions… voire ses problèmes psychologiques.
Non, il n’y a pas 78 genres différents. Non, un homme ne peut pas être enceint ni avoir de règles. Non, “changer” de sexe n’est pas normal, n’est pas sain, n’est pas cool. Non un enfant n’a pas “deux papas” ni “deux mamans”, etc.
C’est le point fort de l’Asie (sans même parler de l’Afrique) : le bon sens ainsi que la reconnaissance et la célébration des invariants humains, à la fois biologiques et civilisationnels.
L’Asie comprend que la culture occidentale est de plus en plus dégénérée et donc dangereuse.
L’Asie refuse -à raison- l’acide suicidaire promu chaque jour davantage en Occident.
Et dans un cadre géopolitique, cette opposition prend alors tout son sens.
A la fin qui va gagner ?
Qui ? Qui ? Mais qui ? 😉
Des non binaires californiens en jupe et équipés d’utérus artificiel et de serviettes hygiéniques (pardon de “coupes menstruelles“), avec une plume et une puce informatique dans le cul ?
Ou des hommes avec de la testo qui ont besoin -symboliquement ça suffit amplement- de casser des crânes, supportés par des femmes qui portent la vie ?
La formule semble raccourcie et volontairement provocante, mais pourtant historiquement elle tient la route.
Après tout, si certains pensent qu’ils sont un aspirateur ou un grille-pain (voir l’inénarrable barbu halluciné “nooooooon je ne suis pas un homme“)… pourquoi pas, si ça peut leur faire plaisir.
Mais pas question d’imposer cela à la société, en transformant des fantaisies en psychoses, et en détournant l’idée de liberté individuelle et le principe même de société.
Il est illégitime, aberrant même, de prétendre exiger que la société s’adapte à ces quelques individus, au prix de son autodestruction.
Et pas de malentendu ! Il ne s’agit absolument pas d’un débat du type “majorité/minorité”, au sens électoral du terme (le piège est grossier et tout l’Occident américanisé tombe dedans) !
C’est la Nature, c’est notre nature, celle de notre espèce.
POST-SCRIPTUM
Le sida mental commence par les mots. Ainsi l’article du Monde que j’ai cité au sujet des “coupes menstruelles” pose la question suivante : “Pour qui ? ”
Cette interrogation est totalement absurde. Le Monde explique :
Pour toute personne ayant des règles.
Hein ? Des “personnes” ? ! Ben non. Des femmes. Seules les femmes ont des menstruations.
Ca défrise les cinglés de ce torchon, les militants, les “associations”, les wokes et tous ceux qui pourrissent l’Occident ?
Il y aura des regrets quand ils seront sous la coupe de la sharia (ou du PCC)… Car ils seront… mangés. Tout cru.
Autre exemple, pris dans l’actualité récente : l’Université de Bristol (Angleterre) qui fait la promotion des “pronoms“… allant jusqu’aux “catgenders” !
Oui… il s’agit des personnes qui s’identifient… à des chats. 😉
Pour eux (elles ?), des pronoms spéciaux ont été créés : “nya/nyan.”
Il paraît que ça vient de “miaou” en japonais…
Vous riez bien sûr… Mais le mal est fait.
L’université en France, Angleterre, sans même parler des Etats-Unis est totalement gangrénée… Depuis des décennies. D’abord par le gauchisme en général… mais maintenant par le LGBT++, écriture inclusive, non binaire, metoo, indigénisme, islam, antiracisme, etc.
La continuité idéologique est… quasiment parfaite. Et le monde universitaire ensuite irrigue (c’est bien sa fonction) le reste de la société.
L’irrigation se transforme peu à peu en entreprise mortifère, en acide sucidaire.
POST-SCRIPTUM BIS
Quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?
Le lien est évident. C’est bien parce que l’Occident est faible et tend vers le suicide civilisationnel… que la psyop chinoise autour du couillonavirus a pu si bien fonctionner.
Le terrain avait été préparé… et de longue date.
C’est pourquoi le Covid n’est qu’un symptôme (parmi d’autres et plus anciens). Absolument pas une cause (et au passage cela démonte l’arnaque du “monde d’avant /monde d’après“).
Non, avant janvier 2020 et le show de Wuhan, l’Occident n’allait pas bien.
Et si dans quelques mois la terrible pandémie disparaît dans une flatulence grotesque… rien ne sera réglé.