Categories
Asie Résistance

Labo à Wuhan : l’hypothèse de la fuite se renforce

Il y a quelques mois, c’était encore une épouvantable théorie complotiste d’extrême-drouâte.

Et pourtant des scientifiques l’ont évoquée très rapidement, car de nombreux éléments historiques et factuels la rendent… crédible.

Puis le ministère US des Affaires étrangères a rappelé les mensonges de Pékin au sujet du labo (lire ici). Et maintenant, un insider, un homme lié à Biden et à l’OMS, Jamie Metzl, remet le couvert.

D’abord son CV, impressionnant, qui donne mécaniquement du poid à ses mots :

-National Security Council (1997-1999)

– State Department (1999-2001) sous Clinton

-Deputy Staff Director of the Foreign Relations Committee sous le sénateur Biden (2001-2003)

-membre du Atlantic Council (un gros think thank US fondé en 1961, spécialisé dans les relations internationales)

-conseiller de l’OMS

Et ce qui me semble également très intéressant, et pertinent dans le cadre de la covidémence, il connaît l’Asie, l’a étudiée (via des ONG, des articles, etc).  Un de ses articles publié en 2011 par le Wall Street Journal a un titre accrocheur : “China’s Threat to World Order

Trois jours après l’investiture de Biden, il publie une interview choc dans un quotidien canadien :

“There’s no irrefutable evidence,”. “There’s just more evidence and as more evidence arrives, the case for accidental lab leak, in my view, increases.

Et quid de la théorie officiel du “marché à Wuhan” ?

That was a lie. And the Chinese government knew very early on that that was a lie. And so in the face of overwhelming evidence in May of last year, the Chinese government shifted its position.

Il rappelle ensuite que ce laboratoire n’était absolument pas anodin. Les Chinois ont travaillé sur le “gain of function“, c’est à dire l’art et la manière de trafiquer un virus en lui collant des traits venant d’autres virus/souches, dans un but précis (le rendre plus contagieux, plus mortel etc.).

There is a field of study called “gain of function” research, which is highly controversial in which some scientists amplify the virility of viruses. We know that the Wuhan Institute of Virology was involved in gain of function research on bat coronaviruses.

Et enfin, il met le doigt sur la volonté obsessionnelle de Pékin d’interdire toute enquête sérieuse, internationale à Wuhan, et portant sur l’origine du couillonavirus.

Il rappelle que si un autre pays avait fait cela dans le cadre d’une autre épidémie… le monde aurait protesté bruyamment. En clair : ce comportement n’est absolument pas normal.

If there had been an outbreak in Congo or some country in Africa and that country, in the earliest days of the pandemic, prevented World Health Organization investigators from going onto the scene of the outbreak, for nearly a month, the world would have gone berserk.

Alors va t-il se suicider de désespoir, après un chagrin amoureux, un sac sur la tête et les mains attachées dans le dos ?

Va t-on découvrir son goût pour les petits garçons via la malencontreuse publication de photos ou vidéos ? 😉

Ou plus sérieusement est-ce que cela annonce un durcissement de la position américaine ?

Dans tous les cas, il faut rappeler en permanence 3 faits, irréfutables :

-la Chine ment

-la Chine n’a pas un comportement normal

-la Chine a quelque chose à cacher

Ajoutons un 4ème élément qui renforce encore le scandale :

-la Chine est le pays qui profite le plus, objectivement, de la covidémence (en termes géopolitiques).

Categories
Asie Pays Saloperie et sida mental

La Chine continue de bloquer toute enquête sur l’origine du virus

Cet homme est dangereux. Xi Jinping entrave délibérement la science. Il a quelque chose à cacher concernant l’origine du virus.

Comme d’habitude, l’information a glissé comme un ski sur les pistes de Megève.

Alors qu’elle est profondément choquante et inquiétante dans le cadre de la terrible pandémie qui concerne la planète entière par définition…

La Chine bloque l’enquête de l’OMS sur les origines du SARS-CoV-2

Les dix experts-enquêteurs internationaux n’ont toujours pas reçu les autorisations pour entrer sur le territoire chinois (source le Monde)

La Chine a instrumentalisé le couillonavirus pour son plus grand profit.

Elle a menti, continue de mentir sur une question pourtant essentielle : l’origine du virus.

C’est scientifiquement très important, car cela nous permettrait de mieux comprendre le virus, son mode de fonctionnement, et son fameux “réservoir animal” (lire article OMS), et la manière dont le virus a pu passer de l’animal à l’homme.

Et alors qu’on nous bourre le mou depuis un an sur l’aspect terrifiant et terrible de la pandémie… la Chine continue de bloquer toute enquête, réelle, sérieuse, relative à cette question.

Il y a un d’un côté la vérité du Parti Communiste Chinois, le virus est passé de la chauve-souris au fameux pangolin, lié au marché de Wuhan, et allez vous faire foutre.

De l’autre… rien.

Enfin si, de plus en plus de scepticisme quant à ce conte pour enfants.

On rappelle qu’à l’été 2020, la Chine avait déjà bloqué une mission de l’OMS. Mission est un bien gros mot. Un couple de scientifiques envoyé par l’agence onusienne avait passé 3 semaines à jouer au scrabble dans leur chambre d’hôtel dans la capitale chinoise.

Sans bien entendu être autorisé à… se rendre à Wuhan, pourtant le berceau de la terrible pandémie.

L’OMS qui est à la solde de Pékin n’en pouvait plus de tortiller du cul pour tenter de justifier l’injustifiable.

Exemple :

«L’équipe avancée de l’OMS qui s’est rendue en Chine a maintenant achevé sa mission consistant à jeter les bases d’efforts conjoints pour identifier les origines du virus», a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (source Le Figaro)

Une mission pour jeter les bases, ben voyons… 😉

La veulerie de Tedros n’a d’égale que sa compromission avec la Chine. Ce type est un scandale vivant, mais il garde le sourire (et pour cause… ses patrons sont très satisfaits de son travail).

Revenons à cette fin 2020.

Il faut se concentrer et revenir à l’épure face à la propagande : la Chine bloque obstinément les enquêtes car elle a quelque chose a cacher. CQFD.

Tout autre conclusion c’est faire le jeu de la momenklatura chinoise qui parallèment est en train de tuer nos pays, nos économies grâce au levier de la covidémence qu’elle a supportée (voire créée de toute pièce) et continue de promouvoir (confinements durs etc.).

Ce refus obstiné et continu signe le crime de Pékin.

C’est une entrave à la compréhension scientifique du virus, et donc indirectement une attaque contre la santé du monde entier. Il n’y a pas d’autres mots.

Les états occidentaux étant faibles, hélas ils réagissent peu.

Autre exemple de mensonge créé de toute pièce par Pékin et qui fut docilement relayé par l’OMS (courroie de transmission de la propagande).

Voici un message daté du 14 janvier (à l’époque Pékin sait déjà que le virus se transmet rapidement et de manière inter-humaine) (source)

Tout a été fait au début, sous direction chinoise, pour minimiser la menace. Le temps de bien étaler le virus un peu partout. Ce n’est que le 11 mars… que l’OMS finalement acceptera de qualifier la situation de “pandémie”

Lire aussi

article DailyMail : Fury as China denies entry to WHO experts investigating origins of Covid pandemic as Number 10 calls decision ‘disappointing’ amid growing suspicions of a cover-up

article ZeroHedge : China Again Denies Pathetic WHO Access To Investigate COVID Outbreak

POST-SCRIPTUM

Les autorités chinoises passent également les archives et les bases de données de l’Institut de Virologie de Wuhan, à l’eau de javel.

Details of more than 300 studies, including many investigating diseases that pass from animals to humans, published online by the state-run National Natural Science Foundation of China (NSFC) are no longer available. (source DailyMail)

MISE-A-JOUR

Ca y est. La mission de l’OMS pourra enfin débarquer le 14 janvier en Chine. Au menu : visite de la Grande Muraille, spectacle de marionnettes, sculptures sur glace, visite guidée (très guidée) de la Cité Interdite, discussion de la pluie et du beau temps avec des fonctionnaires pékinois, visite d’une école primaire modèle, cours de chant dans un karaoké, sans oublier Disneyland à Shanghai. 😉

Bref, tout sauf Wuhan.

Du tourisme.

Ce voyage est une farce. Il fallait le faire l’année dernière… Un an après, la Chine a eu le temps de nettoyer les preuves, et même physiquement (le labo de Wuhan), d’identifier les témoins et de les faire taire, du moins de sécuriser leur collaboration et leur faire apprendre par coeur le discours qu’ils chanteront devant les enquêteurs de l’OMS…

Le pangolin se marre. La chauve-souris bat des ailes… Et le couillonavirus court toujours…

(source Le Figaro)

Categories
Asie Vaccinocircus

Vaccin chinois : “73 effets secondaires”

Bon eh bien vous pouvez faire vos adieux au docteur Tao Lina… Il est possible que sa dépouille ne soit jamais retrouvée…

Un docteur à Shanghai (qui doit regretter et appeler sa maman en ce moment) a balancé la sauce sur le vaccin du labo étatique chinois, Sinopharm.

Et le pauvre bougre avait en plus 4,8 millions de followers sur Weibo, le twitter chinois.

Bref, une petite star.

Le docteur Tao Lina a écrit que ce vaccin provoquait jusqu’à “73 effets secondaires négatifs” ce qui faisait de lui “le vaccin le moins sûr du monde” (source DailyMail).

Au regard de la notorité de l’auteur, le message est vite sorti du pays… Erreur… Fatale ?

Le cher docteur doit regretter amèrement ce coup de projecteur… Il a immédiatement effacé ses propos et a ensuite posté des excuses en affirmant que son message était “extrêmement sarcastique”, que le vaccin était “très sûr” et que son choix de mots était “imprudent”, et qu’il “méprisait  les actions diaboliques des médias étrangers“…

Rien de moins.

Bref, le type se voit déjà en camp de rééducation, option froid sibérien, ou pire encore… 😉

Alors qu’en Occident ce sont les Trois Grâces qui occupent le terrain sanitaire et médiatique (et même politique), Pfizer (USA), Moderna (USA) et AstraZeneca (UK)… on oublie que d’autres vaccins sont déjà dispo et déjà utilisés dans le reste du monde : le russe (Spoutnik V) et le chinois.

Formellement, celui de Sinopharm a été approuvé en décembre par les autorités sanitaires locales, et 4 millions de personnes ont déjà été vaccinées (au 4 janvier).

D’autres pays ont d’ailleurs passé des commandes (citons la Thaïlande, Egypte, Indonésie etc.)