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Chiffres Vaccinocircus

France, vaccination +75 ans : bide sur les soins critiques

Soit la proportion des patients en “soins critiques” de 75 ans et plus, qui est publiée dans les “points épidémiologiques” chaque semaine (le jeudi) par l’Agence Santé publique France.

Exemple :  https://www.santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19

Rappel : les “soins critiques” englobent :

  • les services de réanimation
  • les unités de soins intensifs (SI)
  • les unités de surveillance continue (SC)

Soit la couverture vaccinale (1 dose et 2 doses) chez les 75 ans et plus, exprimée en pourcentage (de la classe d’âge).

Source : https://solidarites-sante.gouv.fr/grands-dossiers/vaccin-covid-19/article/le-tableau-de-bord-de-la-vaccination

(onglet “Couverture vaccinale par classe d’âge”, puis en bas à droite, le lien “source 1” et “source 2”, qui pointent vers des fichiers Excel).

Et on met le tout sur un graphique à partir du 9 février (correspondant aux données du “point épidémiologique” semaine 5 publié le 11 février).

Rappel du contexte : on a commencé par vacciner les “vieux”, dès la fin décembre 2020, c’est-à-dire les personnes de 75 ans et plus.

A ce jour (18 mai), 79,3 % des 75 ans et plus ont reçu 1 dose. Et 64 % ont reçu 2 doses.

Tout est clair ?

La conséquence de cette vaccination massive chez les personnes âgées devrait entraîner… une diminution massive de la proportion des personnes âgées hospitalisées en soins critiques.

Rappel : les vaccins ne protègent pas de l’infection… ils réduisent la gravité. Et être hospitalisé en soins critiques est par définition le stade grave du Covid (avec évidemment… le décès ! voir plus bas).

Nous sommes d’accord ? C’est parti.

Or cette proportion passe de 24 % le 9 février à 14 % le 18 mai, soit une baisse de 42 %. Alors que la couverture vaccinale durant la même période a augmenté bien davantage et que depuis début mai… la terrible pandémie baisse pour toutes les classes d’âge (saisonnalité, le virus prend ses quartiers d’été comme en 2020).

Bref, en bon français ça s’appelle un bide.

POST-SCRIPTUM

Je boucle sur une analyse portant sur la surmortalité des 75 ans et + et la vaccination (qui est l’angle mort sans mauvais jeu de mot de ma propre analyse… puisque des vieux sortent formellement des “soins critiques”… quand ils décèdent… ou alors n’y rentrent même pas !)

L’explication est évidente : saisonnalité.

Cela confirme : l’efficacité de la vaccination est marginale sur les plus de 75 ans… à la fois en terme de formes graves et de mortalité.

Mais tant pis. Les vieux on s’en tape.

Maintenant, il est urgent de vacciner… les enfants.

N’est-ce pas ?

Là il sera facile de claironner une efficacité vaccinale de 100 % … puisque les enfants ne sont JAMAIS gravement touchés par le couillonavirus.

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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Les indicateurs français… étaient tous bidonnés

“Comment ? Les indicateurs étaient faux ? Noooooooooooooon ! ? Quelle surprise !”

… Et le sont toujours. La lassitude gagne. Encore une pseudo surprise…

Les fameuses sacro-saintes données qui pilotent (?) les décisions covidémentielles des autorités… sont systématiquement biaisées, voire même carrément bidonnées.

Et toujours dans un seul sens…

On l’a vu avec les lits de réanimation (lire ici, ou encore là), le décompte des covimorts, les tests PCR, etc.

La dernière arnaque touche une fois de plus au coeur du dispositif : le taux d’incidence, le taux de positivité et le nombre de cas.

Rien de moins.

Qui le dit ? L’agence Santé Publique France dans un communiqué daté du 20 mai.

Ces fonctionnaires aux ordres nous annoncent qu’en réalité, c’est vraiment formidable, ils améliorent la “précision” des données.

Ah bon ? Elles n’étaient pas précises avant les données ?

Pas vraiment. 😉

Ainsi, on ne tenait pas compte du fait… qu’un test PCR n’égale pas un individu… De nombreuses personnes font en réalité plusieurs tests.

Non ? Vraiment ? ! 😉

Après tout, même un collégien pouvait le savoir. Il suffisait pour cela de lire Ouest-France… qui évoquait en septembre des cinglés réalisant jusqu’à 15 tests par semaine. C’est pas cher, c’est la Sécu qui paye…

Mais les fonctionnaires parisiens ne lisent pas la presse, c’est bien connu. Donc, ils ne savaient pas. Ils ne pouvaient pas savoir.

Bref. Alors à combien s’élève le bidonnage, pardon !… les données plus précises ?

Une paille. L’agence est sympa ils ont fait les calculs pour nous.

“Les indicateurs recalculés avec cette nouvelle méthode montrent :”

  • Une différence à la baisse de 12% pour le taux d’incidence France entière
  • Une différence à la baisse de 8% pour le taux de positivité France entière
  • Une différence à la baisse de 6% pour le nombre total de cas confirmés

Mais on ne se refait pas… Le foutage de gueule est une seconde nature chez ces crapules.

La comparaison des indicateurs produits avec l’ancienne et la nouvelle méthode de pseudonymisation montre des courbes proches et des tendances similaires sans conséquence sur la dynamique de l’épidémie, son suivi et son interprétation.

Ouf, aucune conséquence (à part avoir arnaqué la France entière). Nous sommes donc rassurés, prêts pour nos doses de produit couillonavirant et prêts pour la 4ème vague en septembre.

Ou cinquième ? Ou sixième ?

On en perd son latin, ses données et ses vagues.

POST-SCRIPTUM

Qui était le clown en décembre 2020 qui avait fixé un nombre très précis en-deçà duquel on pourrait éventuellement déconfiner ? Un certain Moncon ?

Et c’était quoi ce nombre très précis ? Le nombre de cas par jour.

Nombre calculé donc par les guignols fonctionnaires. Et donc on le sait maintenant, faux. Pardon… pas très précis.

Et pour rire, quel était ce seuil ? 5 000… (lire article du Figaro).

C’est drôle en ce joli mois de mai 2021… On est toujours à 15 000 cas par jour… Avec la nouvelle méthode de calcul plus précise.

Mais qui reste totalement foireuse puisque se basant sur les tests PCR… qui constituent le réacteur nucléaire de l’arnaque covidémentielle.

Ils ne servent à rien à part fabriquer des faux cas, c’est-à-dire des gens soit disant “infectés”… mais qui ne sont absolument pas malades, ni contagieux.

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Chiffres Saloperie et sida mental

France, réanimations : anomalies

Comme vous le savez, depuis la semaine 11 (15 au 21 mars 2021), Santé Publique France indique sur ses bilans épidémiologiques hebdomadaires non seulement le nombre des patients en “soins critiques” mais également le nombre de ceux en “réanimation”.

Voici un exemple, semaine 17 (26 avril au 2 mai), page 26 du rapport :

Tout est clair ? Le 4 mai, 5 520 patients au total se trouvaient en “soins critiques”, dont 4 230 en “réanimation” (le niveau le plus lourd des “soins critiques”, après la “surveillance continue” et les “soins intensifs”).

On peut donc chaque semaine calculer la proportion des patients en “réanimation” par rapport au total des patients en “soins critiques”.

Et là vous allez rire…

Sur sept semaines… la proportion des réa par rapport au total en “soins critique”… est quasi toujours identique (76 %) ! ?

Presque à la décimale près.

Alors que le nombre total de patients en “soins critiques” évolue d’une semaine à l’autre et avec des variations importantes (de +11 % à -7,5 %) !

Ca sent donc la fonction mathématique appliquée dans un tableur à des fins politiques… Un pilotage. Pas un comptage honnête, semaine après semaine.

Ces chiffres semblent pourtant “durs” ! Un couillonaviré en réanimation, intubé et sous respirateur, c’est quand même factuel, et c’est difficile à confondre avec un pompier qui valide une grille de loto au bar-tabac -fermé- de la rue Mouffetard à Paris…

Et pourtant…. et pourtant la presse, et même la Cour des comptes ont dévoilé et reconnu des bidonnages à ce sujet

Conclusion ? Cette proportion “constante” de 76 % des patients en réanimation (la vraie) sur un nombre total de patient en soins critiques qui évolue chaque semaine, et sur 7 semaines, est à mon sens suspecte.

Pouvez-vous trouver une explication/justification rationnelle à ce phénomène ?

Il ne faut jamais perdre de vue que les autorités ont systématiquement menti, et sur tous les sujets, depuis 15 mois (des masques, en passant par les tests, les lits de réanimation, les morts du Covid, les traitements, les vaccins, etc.).

Cette compulsion à travestir le Réel dépasse de loin le cadre des “petits arrangements”, des petits mensonges de confort qui seraient pondus par des fonctionnaires craintifs et bas de plafond, dans tel ou tel service.

C’est une opération, profonde, relayée par tout l’appareil médiatique, et qui est remarquable par sa durée, sa constance, et son envergure.

SOURCES

Liens directs vers les fichiers PDF de Santé Publique France :

MISE-A-JOUR

Je vous invite à lire le commentaire envoyé par “Carasso”… qui donne une explication à ce phénomène. Une explication qui confirme en tout cas la manipulation médiatique et politique de ces chiffres.