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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Les indicateurs français… étaient tous bidonnés

“Comment ? Les indicateurs étaient faux ? Noooooooooooooon ! ? Quelle surprise !”

… Et le sont toujours. La lassitude gagne. Encore une pseudo surprise…

Les fameuses sacro-saintes données qui pilotent (?) les décisions covidémentielles des autorités… sont systématiquement biaisées, voire même carrément bidonnées.

Et toujours dans un seul sens…

On l’a vu avec les lits de réanimation (lire ici, ou encore là), le décompte des covimorts, les tests PCR, etc.

La dernière arnaque touche une fois de plus au coeur du dispositif : le taux d’incidence, le taux de positivité et le nombre de cas.

Rien de moins.

Qui le dit ? L’agence Santé Publique France dans un communiqué daté du 20 mai.

Ces fonctionnaires aux ordres nous annoncent qu’en réalité, c’est vraiment formidable, ils améliorent la “précision” des données.

Ah bon ? Elles n’étaient pas précises avant les données ?

Pas vraiment. 😉

Ainsi, on ne tenait pas compte du fait… qu’un test PCR n’égale pas un individu… De nombreuses personnes font en réalité plusieurs tests.

Non ? Vraiment ? ! 😉

Après tout, même un collégien pouvait le savoir. Il suffisait pour cela de lire Ouest-France… qui évoquait en septembre des cinglés réalisant jusqu’à 15 tests par semaine. C’est pas cher, c’est la Sécu qui paye…

Mais les fonctionnaires parisiens ne lisent pas la presse, c’est bien connu. Donc, ils ne savaient pas. Ils ne pouvaient pas savoir.

Bref. Alors à combien s’élève le bidonnage, pardon !… les données plus précises ?

Une paille. L’agence est sympa ils ont fait les calculs pour nous.

“Les indicateurs recalculés avec cette nouvelle méthode montrent :”

  • Une différence à la baisse de 12% pour le taux d’incidence France entière
  • Une différence à la baisse de 8% pour le taux de positivité France entière
  • Une différence à la baisse de 6% pour le nombre total de cas confirmés

Mais on ne se refait pas… Le foutage de gueule est une seconde nature chez ces crapules.

La comparaison des indicateurs produits avec l’ancienne et la nouvelle méthode de pseudonymisation montre des courbes proches et des tendances similaires sans conséquence sur la dynamique de l’épidémie, son suivi et son interprétation.

Ouf, aucune conséquence (à part avoir arnaqué la France entière). Nous sommes donc rassurés, prêts pour nos doses de produit couillonavirant et prêts pour la 4ème vague en septembre.

Ou cinquième ? Ou sixième ?

On en perd son latin, ses données et ses vagues.

POST-SCRIPTUM

Qui était le clown en décembre 2020 qui avait fixé un nombre très précis en-deçà duquel on pourrait éventuellement déconfiner ? Un certain Moncon ?

Et c’était quoi ce nombre très précis ? Le nombre de cas par jour.

Nombre calculé donc par les guignols fonctionnaires. Et donc on le sait maintenant, faux. Pardon… pas très précis.

Et pour rire, quel était ce seuil ? 5 000… (lire article du Figaro).

C’est drôle en ce joli mois de mai 2021… On est toujours à 15 000 cas par jour… Avec la nouvelle méthode de calcul plus précise.

Mais qui reste totalement foireuse puisque se basant sur les tests PCR… qui constituent le réacteur nucléaire de l’arnaque covidémentielle.

Ils ne servent à rien à part fabriquer des faux cas, c’est-à-dire des gens soit disant “infectés”… mais qui ne sont absolument pas malades, ni contagieux.

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Chiffres Saloperie et sida mental

France, réanimations : anomalies

Comme vous le savez, depuis la semaine 11 (15 au 21 mars 2021), Santé Publique France indique sur ses bilans épidémiologiques hebdomadaires non seulement le nombre des patients en “soins critiques” mais également le nombre de ceux en “réanimation”.

Voici un exemple, semaine 17 (26 avril au 2 mai), page 26 du rapport :

Tout est clair ? Le 4 mai, 5 520 patients au total se trouvaient en “soins critiques”, dont 4 230 en “réanimation” (le niveau le plus lourd des “soins critiques”, après la “surveillance continue” et les “soins intensifs”).

On peut donc chaque semaine calculer la proportion des patients en “réanimation” par rapport au total des patients en “soins critiques”.

Et là vous allez rire…

Sur sept semaines… la proportion des réa par rapport au total en “soins critique”… est quasi toujours identique (76 %) ! ?

Presque à la décimale près.

Alors que le nombre total de patients en “soins critiques” évolue d’une semaine à l’autre et avec des variations importantes (de +11 % à -7,5 %) !

Ca sent donc la fonction mathématique appliquée dans un tableur à des fins politiques… Un pilotage. Pas un comptage honnête, semaine après semaine.

Ces chiffres semblent pourtant “durs” ! Un couillonaviré en réanimation, intubé et sous respirateur, c’est quand même factuel, et c’est difficile à confondre avec un pompier qui valide une grille de loto au bar-tabac -fermé- de la rue Mouffetard à Paris…

Et pourtant…. et pourtant la presse, et même la Cour des comptes ont dévoilé et reconnu des bidonnages à ce sujet

Conclusion ? Cette proportion “constante” de 76 % des patients en réanimation (la vraie) sur un nombre total de patient en soins critiques qui évolue chaque semaine, et sur 7 semaines, est à mon sens suspecte.

Pouvez-vous trouver une explication/justification rationnelle à ce phénomène ?

Il ne faut jamais perdre de vue que les autorités ont systématiquement menti, et sur tous les sujets, depuis 15 mois (des masques, en passant par les tests, les lits de réanimation, les morts du Covid, les traitements, les vaccins, etc.).

Cette compulsion à travestir le Réel dépasse de loin le cadre des “petits arrangements”, des petits mensonges de confort qui seraient pondus par des fonctionnaires craintifs et bas de plafond, dans tel ou tel service.

C’est une opération, profonde, relayée par tout l’appareil médiatique, et qui est remarquable par sa durée, sa constance, et son envergure.

SOURCES

Liens directs vers les fichiers PDF de Santé Publique France :

MISE-A-JOUR

Je vous invite à lire le commentaire envoyé par “Carasso”… qui donne une explication à ce phénomène. Une explication qui confirme en tout cas la manipulation médiatique et politique de ces chiffres.

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Chiffres Pays

Cas graves en France : évolution pour les +65 ans

 

Olivier Variant s’interroge : “Ce sont les plus de 65 ans qui sont en réa, ou pas ?”

Vous connaissez les pièges :

-covicas (test PCR “positifs”) : aberrants, inutilisables. La véritable pandémie.

-covimorts ? Grand guignol. Je tombe dans l’escalier chez moi, je suis mort du Covid (lire ici).

Quel indicateur peut-on utiliser alors ?

Les cas graves, réellement graves, c’est-à-dire les couillonavirés en “réanimation”, pardon en “soins critiques” (la terminologie officielle ayant été modifiée en avril, lire ici).

Rappelons que les “soins critiques” regroupent en réalité 3 stades différents :

  • les services de réanimation à proprement parler (intubation, respirateur, etc.)
  • les unités de soins intensifs (SI)
  • les unités de surveillance continue (SC)

Les chiffres sont précis (même si sujet à bidonnage aussi, lire ici et ) et figurent dans le “point épidémiologique” fourni chaque semaine par Santé Publique France. On a ainsi les totaux par tranches d’âge, et les pourcentages.

Je me suis coltiné un an de ces documents PDF (exemple : lien vers le rapport 26 avril au 2 mai, semaine 17).

Alors de quoi en retourne t-il pour les plus de 65 ans ?

C’est l’âge “pivot”. En deçà le Covid est une plaisanterie, au-delà ça peut sentir le roussi.

Est-on passé d’une épidémie grave de vieux à une épidémie grave de jeunes ?

Vous connaissez déjà la réponse. 😉

De la semaine 15 de 2020 à la semaine 17 de l’année 2021 (26 avril au 2 mai 2021).

Ca ne casse pas des briques…

Il y a une distorsion au début de la terrible pandémie. En avril 2020, les vieux n’étaient pas envoyés en réanimation… mais on les laissait plutôt crever, voire même on les aidait à coups de rivotril.

Mais à part ça… la terrible pandémie est assez stable.

Elle aimait les chaires bien mûres en 2020.

Et c’est toujours le cas en 2021 quoi que les Cassandre puissent raconter. La tranche d’âge 15-44 ans est remarquablement stable

La nature du couillonavirus et de tous ses variants… fondamentalement ne change pas.

Ces virus abîment ou tuent des gens âgés et fragiles (car déjà malades, perclus de pathologies). CQFD.

Le pic de 68 % a eu lieu fin 2020 et début 2021… Et après on baisse lentement, jusqu’à 52 %.

Même en affirmant que toute cette baisse est à mettre au compte de la vaccination… nous sommes bien loin des “95 % d’efficacité” vantés…

Rappelons que le seul objectif avoué des vaccins et autres produits géniques… est justement de réduire les formes graves de la maladie.

Ah bon ? Mais il y a toujours beaucoup de vieux en réa, c’est ballot.

Ceci étant posé… il y a un problème avec ces données.

Les autorités refusent de donner le détail. En clair, combien réellement de patients, chaque semaine, sont en réanimation (la vraie)… avec la répartition par tranche d’âge….

Nous avons parmi le total en “soins critiques”, le nombre de ceux en “réanimation” depuis la semaine 11 (15 au 21 mars 2021). Mais pas les âges…

En clair : il possible que la proportion des + de 65 ans en réanimation, la vraie, SOIT PARFAITEMENT EGALE en 2020 et 2021.

Ce brouillage des données est bien entendu délibéré et absolument pas technique. Le gouvernement connaît forcément la répartition par âge, et par niveau de “soins critiques”…

Il est donc logique de conclure que les autorités cherchent à maquiller la réalité, derrière un discours de circonstances (“au secours, les nouveaux variants s’attaquent aux jeunes”).

Ce n’est pas certain…

Juste hautement probable. 😉

POST-SCRIPTUM

Rappelons le nombre (officiel) des covidécès (à l’hôpital), par tranche d’âge, toujours indiqué dans les bilans épidémiologiques hebdomadaires compilés par Santé Publique France (ici la semaine 17).

91 % des covidécès à l’hôpital, depuis le 1er mars 2020, sont âgés de 65 ans et plus

Ce n’est pas “Où sont les feeeeeeeeemmes ?” mais “Où sont les jeeeeeeeeeeeunes ?”.