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Ivermectine : même les Israéliens rejoignent le train

Pourquoi “même” ? Parce que Israël a démontré sa totale covidémence :

-vaccination de masse purement politique (un coup de Benyamin Netanyahou pour assurer sa réélection aux législatives de mars… pas de bol… il a échoué)

-la vente des miches nationales à Pfizer comme une pute qui fait le trottoir (tests sur population israélienne et partage des données en échange des doses en avant-première, grâce à un contrat faustien passé avec le labo américain)

-création très tôt de la fameuse étoile jaune 2.0, pardon du “badge vert” (là encore, une première mondiale, les Israéliens se sont surpassés).

C’est pourquoi, quand une équipe israélienne publie une étude… favorable à l’ivermectine… on a besoin de s’assoir, boire un verre d’alcool fort et reprendre son souffle.

Prof. Eli Schwartz, founder of the Center for Travel Medicine and Tropical Disease at Sheba, conducted a randomized, controlled, double-blinded trial from May 15, 2020, through the end of January 2021 to evaluate the effectiveness of ivermectin in reducing viral shedding among nonhospitalized patients with mild to moderate COVID-19. (source Jerusalem Post)

Conclusion ?

Nearly 72% of volunteers treated with ivermectin tested negative for the virus by day six. In contrast, only 50% of those who received the placebo tested negative.

L’étude, même si top notch (randomisée double aveugle triple sourd et tout le tralala) est limitée dans son objectif et par sa cohorte (89 participants seulement).

Mais c’est toujours bon à prendre, et cette étude rejoint une chiée d’autres études qui parviennent toutes à la même conclusion : l’ivermectine ça marche.

Le professeur Schwartz de conclure dans le journal :

There is a lot of opposition,” he said. “We tried to publish it, and it was kicked away by three journals. No one even wanted to hear about it. You have to ask how come when the world is suffering.”
“This drug will not bring any big economic profits,” and so Big Pharma doesn’t want to deal with it, he said.

Au-delà du côté comique (de répétition), cette guerre contre l’ivermectine (et tout autre traitement) est mondiale.

Des neuneus disent encore : “c’est à cause du pognon. Les enjeux financiers sont trop importants”.

Non. Ca c’est la version enfantine.

Le fanatisme mondial depuis mars 2020 contre toute idée de traitement (à part le doliprane) est politique. Ontologique même.

Car c’est quoi une terrible pandémie… qui se traite avec un médicament à 2 francs ?

Ce n’est plus une terrible pandémie

Maintenir la fiction couillonavirale nécessite de supprimer… toute idée de traitement.

Tailler une pipe à Pfizer et à ses actionnaires n’est qu’un effet… secondaire.

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Mauvaise nouvelle pour les chauves… mais bonne nouvelle pour tous

Castex ! On t’a reconnu ! T’es mal barré mon pote ! Va vite prendre ta 3ème dose. Ajoute même une 4ème… on ne sait jamais.

Figurez-vous que la calvitie.. est un facteur de risque Covid (vu dès mars 2020 en Espagne et confirmé ensuite) ! Comme d’ailleurs -et c’est lié- le fait d’être… un homme.

Aïe.

Des scientifiques italiens ont alors exploré l’hypothèse… endocrinienne, avec les androgènes (ensembles d’hormones masculines, dont la testostérone).

Les femmes sécrètent aussi des androgènes, mais en petites quantités.

Les gars du collectif Ivermectine-covid.ch ont fait un super boulot de traduction de l’original italien.

Lien : https://threadreaderapp.com/thread/1419977618049413121.html

A lire absolument.

Donc voilà, chauve et mec. La tuile ! 😉

Mais il y a une bonne nouvelle… l’équipe italienne a alors travaillé sur une molécule antiandrogène (développée à l’origine pour cancer prostate, seins) : le proxalutamide.

Et selon leurs résultats (étude publiée), cela réduit fortement la mortalité couillonavirale.

Bref, la liste des produits et des méthodes pour faire la nique au virus s’allonge…

La science -la vraie- progresse chaque jour.

Olivier Variant va encore nous faire un caca nerveux.

POST-SCRIPTUM

Le Paraguay vient d’autoriser le proxalutamide pour le traitement du Covid.

Lien : https://www.prnewswire.com/news-releases/kintor-pharmaceutical-receives-emergency-use-authorization-for-proxalutamide-for-the-treatment-of-covid-19-in-paraguay-301335427.html

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Oh zut encore un médicament qui casse les reins du virus

Une équipe du CHR d’Orléans a suivi une intuition et a réalisé l’année dernière une étude clinique… sur le Truvada en traitement du Covid.

Rappel : cette molécule fait partie des “trithérapies” utilisée contre le… HIV.

Résultat ? Ils ont observé :

une baisse significative de la charge virale au niveau nasopharyngé chez les patients qui ont reçu le Truvada, poursuit le chef de service. Cette étude est une première mondiale sur le Truvada en traitement curatif des formes modérées du Covid : elle apporte des éléments faisant dire qu’il y a une activité significative. (source La République).

Rappel bis : cette molécule est… génériquée depuis 3 ans. Son prix a été divisé par 3 (de 400 à 160 euros la boîte).

Elle rejoint ainsi la longue liste des médicaments qui sont actifs contre le couillonavirus.

Mais ce qui est, de mon point de vue, le plus intéressant… est la réaction des autorités… qui n’oublions pas sont “en guerre” contre la terrible pandémie, et surtout avec la terrifiante “4ème vague” qui nous arrive sur la gueule (dixit le Gaby le Pathétique).

Un dossier relatif à l’étude a été déposé en 2020, notamment porté par le responsable de l’unité de recherche clinique du CHU de Caen, le professeur de médecine en santé publique Jean-Jacques Parienti, et par Thierry Prazuck, du CHRO. “L’Agence nationale du médicament nous a répondu qu’il n’était pas retenu, l’ANSM fait barrage”, déplore ce dernier. Il a donc “fallu batailler” pour que soient réalisés les essais cliniques autour des soixante patients, dont trente traités au Truvada.”

Oh… comme c’est surprenant !

Olivier Variant, les fonctionnaires, l’ANSM et autres agences para publiques font tout pour bloquer les traitements médicamenteux contre le Covid.

C’est une constante depuis mars 2020 (et le fameux “prenez du paracétamol”) jusqu’à aujourd’hui. Une obsession.

A part le vaccin et le doliprane, selon eux, il n’y a rien…

Alors que n’importe quelle autorité sanitaire (et politique) digne de ce nom devrait se jeter sur les résultats préliminaires autour du Truvada et lancer une chiée d’études pour vérifier et creuser.

A l’instar de ce qu’elles ont fait pour l’HCQ, l’AZM, l’ivermectine, la quercétine, la vitamine D, le zinc, etc. n’est-ce pas ?

Ah ? Non ?

Pardon. 😉