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Même les particules d’argent sont actives contre le virus

Vous connaissez sans doute l’argent colloïdal ? Des solutions liquides avec des particules d’argent métal en suspension. L’argent possède des propriétés anti-bactériennes.

Des scientifiques à Mexico ont réalisé une étude randomisée pour évaluer l’efficacité de l’Argovit en prévention du Sars Cov2 sur un groupe à haut risque : des personnels médicaux à l’hôpital de Tijuana.

-231 participants pendant 9 semaines.

Le premier groupe (âge moyen 35 ans) devait faire des bains de bouche et des sprays dans le nez avec l’Argovit. Le groupe contrôle, lui, (âge moyen 33 ans) réalisait les mêmes gestes mais avec un bain de bouche classique.

Pour info : 66 % du groupe expérience étaient vaccinées contre la grippe, 88 % dans le groupe contrôle.

En terme de profession : dans le groupe expérience 8 % de médecins, 80 % d’infirmières, 12 % d’administratifs, versus 3 % de médecins, 88 % d’infirmières et 9 % d’administratifs dans le groupe contrôle.

Bilan : 1,8 % du premier groupe ont été couillonavirés (tests PCR avec des scans CT de la poitrine) contre 28,2 % dans le groupe contrôle.

L’Argovit est un produit russe, composé de “nano particules d’argent”, et possèderait des propriétés anti-bactériennes, anti-virales et anti-fongiques. Il a fait l’objet d’autres études.

Bref, la liste s’allonge. Encore un produit simple à utiliser, non toxique, qui semble avoir des effets sur le terrible virus.

Pour des professionnels médicaux, ce sont des gestes simples à effectuer, et qui rentrent dans le cadre de l’hygiène personnelle (avec lavage des mains).

Cette forme de prophylaxie pourrait être étendue aux individus à risque.

Répétons encore ce que devrait être le bon sens scientifique : dès qu’un truc de cette nature est publié, des gouvernements (qui sont tous “en guerre” contre l’horrible virus, rappelons-le) devraient ordonner une chiée de contre-études pour vérifier, approfondir etc.

Nous devrions faire feu de tout bois, et ce depuis janvier 2020… Mais… non. 😉

Surtout pas.

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Indonésie : fabrication locale d’ivermectine

Une bonne nouvelle : l’entreprise pharmaceutique publique PT Indofarma en Indonésie va démarrer la production locale d’ivermectine. L’objectif est de fabriquer 13,8 millions de doses d’ici août (source Tempo Co).

La Food and Drugs Monitoring Agency semble avoir autorisé le 20 juin la mise sur le marché de la molécule. Mais comme partout ailleurs, il y a des différences d’interprétation voire des conflits entre les différents services et agences publiques…

Les uns poussant pour l’utilisation de l’ivermectine face au Covid, les autres freinant des quatre fers, et s’appuyant systématiquement sur le silence de l’OMS (qui n’a toujours pas pris position).

Huit hôpitaux vont entamer des tests cliniques (source Xinhua).

Et un soutien de poids est venu du chef du cabinet du président qui a déclaré :

“Looking at the data we have available, we are quite optimistic that ivermectin can be an effective drug solution to cure Covid patients,” Moeldoko said, claiming it had been effectively used in 15 other countries to treat the virus.

Les pays émergents ont ce point commun : nécessité fait loi (ce qui favorise l’application de recettes hors circuits officiels). Mais on note également une dépendance, une soumission même face face aux institutions internationales (example au Bangladesh).

Pour en revenir à l’OMS, elle vient de recommander l’utilisation du tocilizumab, un anticorps anti-inflammatoire commercial (coûteux), suite à une étude démontrant une baisse (modeste) de la mortalité couillonavirale (source Le Parisien) (d’autres études avant niaient cette efficacité).

Alors que le bénéfice de l’ivermectine est bien supérieur, et est démontré dans des dizaines d’études et surtout sur le terrain dans de nombreux pays.

Toujours le deux poids, deux mesures.

Pour suivre l’actualité de cette molécule miracle, je vous recommande le fil Twitter du site Ivermectine-covid.ch (temporairement désactivé).

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Quercétine : un complément alimentaire à la rescousse

La quercétine appartient à la famille des flavonoïdes. C’est un anti-oxydant et anti-inflammatoire. On la trouve sous forme de complément alimentaire.

Peu d’études existent. Exemple : amélioration de la tension chez les hypertendus. Réduction de l’inflammation pulmonaire.

Une équipe italo-pakistanaise a conduit une étude randomisée pour évaluer la quercétine contre le couillonavirus.

Lien : https://www.dovepress.com/possible-therapeutic-effects-of-adjuvant-quercetin-supplementation-aga-peer-reviewed-fulltext-article-IJGM

-152 patients Covid

-une dose quotidienne de 1 000 mg de Quercetin Phytosome (qui est une forme concentrée, jusqu’à 20 fois plus facilement absorbable par l’organisme) pendant 30 jours.

Résultats ? Stupéfiants.

68% moins d’hospitalisations qui sont 78 % plus courtes

100 % moins d’admissions en réanimation ou décès.

L’explication scientifique du mécanisme à l’oeuvre pourrait se trouver ici : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32388479/

A présent , quelle serait la véritable attitude scientifique face de tels résultats ? Les 3 neurones en batterie d’Olivier Variant devraient immédiatement faire “tilt” et il devrait exiger le lancement d’études comparables afin de vérifier et de creuser les effets de cette molécule.

Après tout, “nous sommes en guerre” contre le couillonavirus, n’est-ce pas ? Le terrible variant indien est à nos portes, l’efficacité des vaccins diminue.

Bien entendu, les autorités françaises ne le feront pas, à l’instar de tous les autres traitements (HCQ, ivermectine).

Car que deviendrait une terrible pandémie… si on pouvait la soigner avec des traitements efficaces, pas chers, et pas dangereux ?

Elle ferait pschiit. Prout.

Aux oubliettes les produits géniques non évalués, terminée la pseudo nécessité d’imposer la vaccination…

Ce serait vraiment trop dommage.

POST-SCRIPTUM

Certains faisaient des hypothèses identiques… dès le mois de mai 2020 !