Une bonne nouvelle : l’entreprise pharmaceutique publique PT Indofarma en Indonésie va démarrer la production locale d’ivermectine. L’objectif est de fabriquer 13,8 millions de doses d’ici août (source Tempo Co).
La Food and Drugs Monitoring Agency semble avoir autorisé le 20 juin la mise sur le marché de la molécule. Mais comme partout ailleurs, il y a des différences d’interprétation voire des conflits entre les différents services et agences publiques…
Les uns poussant pour l’utilisation de l’ivermectine face au Covid, les autres freinant des quatre fers, et s’appuyant systématiquement sur le silence de l’OMS (qui n’a toujours pas pris position).
Huit hôpitaux vont entamer des tests cliniques (source Xinhua).
Et un soutien de poids est venu du chef du cabinet du président qui a déclaré :
“Looking at the data we have available, we are quite optimistic that ivermectin can be an effective drug solution to cure Covid patients,” Moeldoko said, claiming it had been effectively used in 15 other countries to treat the virus.
Les pays émergents ont ce point commun : nécessité fait loi (ce qui favorise l’application de recettes hors circuits officiels). Mais on note également une dépendance, une soumission même face face aux institutions internationales (example au Bangladesh).
Pour en revenir à l’OMS, elle vient de recommander l’utilisation du tocilizumab, un anticorps anti-inflammatoire commercial (coûteux), suite à une étude démontrant une baisse (modeste) de la mortalité couillonavirale (source Le Parisien) (d’autres études avant niaient cette efficacité).
Alors que le bénéfice de l’ivermectine est bien supérieur, et est démontré dans des dizaines d’études et surtout sur le terrain dans de nombreux pays.
Toujours le deux poids, deux mesures.
Pour suivre l’actualité de cette molécule miracle, je vous recommande le fil Twitter du site Ivermectine-covid.ch (temporairement désactivé).