Categories
Asie Pays

Soeur Anne chez les Tartares : le cas de la réouverture de Bangkok

“Soeur Anne en eu marre de faire le poireau en haut de sa tour dans le désert, comme une conne, à regarder le soleil qui poudroie, ou pire encore à attendre les Tartares, qui avouons-le sont vraiment basanés, alors elle a dégainé son soufflant, calibre 88 fillette”. (note de la direction : notre stagiaire chinois au service illustrations perd complètement les pédales et le reste)

Soit la capitale du Royaume de Siam, Bangkok ou Krung Thep Mahanakhon Amon Rattanakosin pour les intimes, véritable porte d’entrée internationale en Asie du Sud-Est.

Nous venons d’assister à un spectacle à la fois typiquement covidément et typiquement asiatique : celui de la “réouverture” aux touristes internationaux.

Depuis le 3 avril 2020, les frontières du Royaume sont en effet fermées, comme partout ailleurs dans la région.

Eh oui. Le temps file !

Des dizaines de millions de touristes, du jour au lendemain, évanouis. Disparus. Et avec eux, des larges pans de l’économie nationale consciencieusement piétinés, ravagés, détruits.

La Thaïlande fait chier la terre entière avec les vaccins. Campagne massive pour faire comme l’homme blanc, tout en flattant l’Ogre Chinois (avec des commandes massives des merdes vaccinales pékinoises). Check. Sans oublier la vaccination des enfants entre 12 et 18 ans, chantage à la réouverture des écoles en novembre. Check. Sous la pression de l’OMS et des crapules, les traitements alternatifs du type hydroxychloroquine (utilisés en avril 2020) ont été escamotés des guidelines officiels. Check et recheck.

Et puis, les autorités ont commencé à parler de “rouvrir” le pays. Un simple slogan, mais rien de concret. Il s’agit d’occuper les médias et de donner de faux espoirs au cheptel.

D’abord, la date du 1er octobre fut fixée par le généralissime-premier ministre. Au doigt mouillé. Fallait bien choisir une date.

La date fatidique se rapprochant rapidement, le gouverneur de la capitale a réagi en disant en substance : allez vous faire foutre c’est moi qui décide.

Pépère vit mal le court-circuitage gouvernemental. 😉

Ensuite, ce fut le 15 octobre. Pourquoi  ? Pourquoi pas.

Ensuite, le 1er novembre. Chiffre rond ?

Et présentement, nous en sommes à “mi novembre“. 😉

Le mi étant plus mou que le premier on imagine…

Mais trois critères ont enfin été déterminés scientifiquement cela va sans dire (source Bangkok Post).

-70 % de la population de la ville doit être vaccinés (double dose). Pourquoi ? Parce que.

-il doit y avoir “moins” de covicas (ah ah ah)

-….et “moins” d’hospitalisations (ah ah ah)

Sans bien entendu fournir aucun chiffre ni objectif. C’est combien “moins” ?

Bref, ça va durer longtemps et rien ne bougera.

La seule possibilité pour les “touristes” étrangers sera de passer par les 2 programmes actuels (le “Phuket sandbox” ou alors la quarantaine fermée dite ASQ) :

-une quarantaine obligatoire et payante

-une vaccination obligatoire

-de multiples tests PCR (payants)

-une montagnes de papier et de règles à la con (pas d’alcool etc.)

On le voit, le suicide forcené du pays, comme partout ailleurs, se poursuit.

C’est fascinant.

J’étais persuadé que les pays comme la Thaïlande ne pouvaient tout simplement pas se payer le luxe de la covidémence (car c’est une maladie d’Occidentaux riches, vieux et dégénérés) et qu’ils finiraient rapidement pas remballer le service trois pièces et arrêteraient de nous emmerder avec cette pseudo “pandémie” et les délires de la propagande chinoise.

Je reconnais avoir eu tort.

Mon analyse de la propagande chinoise était parfaite (si, si), mais j’ai surestimé le principe vital dans ces pays. La pulsion de mort s’applique à l’Occident.

Mais pas uniquement.

Et le problème est peut-être factorisé en Asie par plusieurs faits culturels et sociaux : d’abord, la vie n’est pas bien chère, et ensuite la vie est… un cycle. En clair, si je détruis ton emploi, détruis ta famille, te dépouille de tous tes biens, et finalement te pousse au suicide… bon hein tu ne vas pas nous chier une pendule, car tu es un low class, et qu’en plus tu reviendras. Peut-être. Réincarné en tondeuse à gazon, ou en courtisane, ça dépendra de ton karma. 😉

Je reformule et synthétise : les autorités et élites locales n’en ont STRICTEMENT RIEN A FOUTRE du sort de millions de leurs compatriotes.

MISE-A-JOUR

Comme prévu, ce cirque démentiel autour des dates, est en train d’achever les opérateurs économiques liés au tourisme.

Au moins, ils ont compris : la haute-saison (qui commence en décembre) est déjà détruite (article Bangkok Post).

Categories
Pays Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Italie : généralisation du passe sanitaire

A gauche, Mario, à droite Benitto. Parfaite équivalence politique… Le style en moins.

Oh ! Encore un qui nous fait un “Tadjikistan”…

Une surprise ? Absolument pas… car il s’agit de l’Italie, pays totalement covidément et qui fut même à la pointe du virus chinois début 2020 (en d’autres temps, on aurait pu les qualifier de “tête de pont”, voire de “cinquième colonne”…).

L’Italie fut le premier pays européen à imposer la vaccination (aux personnels de santé puis aux enseignants, lire ici). En avril. Je sais, vous avez déjà oublié.

Toujours à la pointe du combat fasciste, pardon démocratique, la Péninsule devient ainsi le premier pays au mooooooooonde à généraliser… l’infâme passe sanitaire !

Mario Draghi se prend pour Benitto… L’ancien dirigeant de Goldman Sach, ex président de la BCE, propulsé premier ministre suite à un énième coup d’état institutionnel, passe en force, c’est le cas de le dire.

Et les veaux italiens… suivent, terrorisés par le virus.

L’Italie rend obligatoire le passe sanitaire en entreprise. Le gouvernement italien a généralisé ce jeudi l’obligation sur le lieu de travail du passe sanitaire, qui sera exigé aussi bien dans le secteur public que privé. Cela concerne 23 millions de travailleurs à compter du 15 octobre. (source les Echos)

Comme en France, les (rares) rebelles seront matés, pardon suspendus sans salaire… mais pas licenciés !

Tout salarié devra pour accéder à son lieu de travail présenter un certificat numérique ou papier attestant qu’il a reçu au moins une dose de vaccin, qu’il a été testé négatif ou qu’il a récemment contracté la maladie et n’est pas contagieux. Ceux qui ne pourront pas présenter un justificatif seront suspendus sans rémunération mais ne seront pas licenciés.

En même temps (décidément) la crapule Macron lâchait mielleux qu’éventuellement, peut-être, il pourrait commencer à envisager de lever le passe sanitaire ici ou là…

Tu parles.

Ce type est une ordure psychotique hypocrite… Les Italiens au moins ne prennent pas de gants… Ils le disent : c’est pour préparer l’hiver. Dans le sens, préparer la campagne couillonavirale hivernale…

Macron sait parfaitement que le cirque couillonaviral recommencera dès les premiers frimas (les gens sont malades en hiver, pas de bol), que des vieux crèveront dans leur ehpad de merde (comme chaque hiver) et que les hôpitaux recommenceront à nous casser les couilles, comme chaque hiver : “ouin pas assez de moyens, on craque, pas assez de lit, pas assez de tout, prout, on va tous mourir “…

A fortiori avec les soignants virés car non vaccinés… Ca va le faire aux petits oignons. Un grand cru, c’est sûr.

Cette crise est littéralement fabriquée par le gouvernement (avec la complicité -du type Syndrome de Stockholm- des personnels de santé).

Il est où le fascio ? Dans ton cul ! Mamma mia !
Categories
Pays Saloperie et sida mental

Encore un Tadjikistan ! Imposition du passe sanitaire aux Pays-Bas

Oh quel dommage ! Encore un pays qui nous fait un “Tadjikistan”… Il s’agit d’un pays de l’UE, aucune surprise : les Pays-Bas.

Un pays étrange, peuplé de Bataves et d’immigrés, généralement gauchisants, woke, LGBT++, amateurs de vélos et de putes dans des vitrines, et grands fumeurs de joints (je n’ai rien contre les drogues, bien au contraire, je note simplement les corrélations). 😉

Les Pays-Bas ont annoncé la mise en place d’un Pass Covid pour entrer dans les bars, les restaurants et les festivals pour les personnes de plus de 13 ans à partir du 25 septembre. (source Euronews)

Les Pays-Bas rejoignent ainsi la France, la Grèce, l’Italie, l’Allemagne, Israël, le Canada, la Thaïlande, etc. La liste s’allonge…

La logique veut que la situation doit être grave du côté de la Venise du Nord, pour imposer ce machin. Surtout que les Bataves sont connus pour leur libéralisme, enfin plutôt leur permissivité.

Car enfin : on peut acheter librement et fumer de l’herbe qui fait rire, mais il faudrait montrer son passe sanitaire pour bouffer un burger de merde au McDo du coin ?

Même un junkie d’Amsterdam comprend, intuitivement, qu’on essaye de lui faire à l’envers…

Ni une ni deux, vérifions avec le graphique qui va bien, covicas et covidécès par jour, moyenne mobile 7 jours (source base de données).

(l’échelle négative pour les covimorts… normal… les autorités font des “révisions” parfois…)

J’crois qu’c’est clair… Le gouvernement batave se fout de notre gueule… comme tous les autres gouvernements.

Cela n’a pas échappé pas à certains Hollandais en colère… qui ont chassé la petite merde qui fait office de Premier Ministre, Mark Rutte, après l’annonce de l’imposition du passe sanitaire.

Il a dû être exfiltré sous protection policière.

Comme partout ailleurs, une obsession unique et globale : injecter des produits inconnus chez un maximum d’individus quel que soit leur âge (pour les chiens et les chats et autres animaux domestiques, on verra plus tard).

Et comme ces pseudo démocraties ont du mal avec les obligations “fascistes”, alors elles préfèrent les méthodes par derrière, perverses, pour parvenir au même résultat mais sans l’admettre.

Car comment Mark Rutte et tous ses complices, pourraient-ils être qualifiés de dictateurs fascistes ?

Beurk, pas de ça chez nous !

Ils sont tous pour le mariage gay, les mômes fabriqués dans des ventres loués, le droit d’asile, l’islam, les mosquées, le changement de sexe, la destruction des statues trop blanches et trop masculines, etc.

Ils appartiennent tous au camp du Bien.

Celui qui vous veut du bien… malgré vous.