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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Soignants : toc, toc, toc c’est l’heure de la piqûre

Soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir exercer, les professionnels de santé vont devoir mettre à jour leur schéma vaccinal par l’injection d’une nouvelle dose. Faute d’injection, ils seront interdits d’exercer. (source France Info)

Voilà pourquoi les soignants virés, les dangereux terroristes zérovaxx, ne seront pas réintégrés !

Car le dosage obligatoire doit perdurer.

Et pourquoi cela ?

Car il s’agit du “ventre mou”.

Vacciner une infirmière est facilement justifiable (puisqu’elle s’occupe de malades, etc.).

Une infirmière, un médecin sont censés s’occuper également de leur propre santé… D’où le dosage pour eux-mêmes.

Pour le plus grand nombre, et par ce jeu d’association d’idées, les injections paraissent ainsi logiques.

Et donc à peu près acceptables.

Cela permet d’animer la covidémence, de l’incarner (car c’est quoi une terrible pandémie sans “vaccin” ?) mais surtout de faire accepter plus facilement les injections… parmi le reste de la population.

Car l’objectif -politique- n’a pas bougé d’un iota : injecter l’ensemble de la population, même les nourrissons, supprimer tout groupe contrôle.

(La FDA aux Etats-Unis travaille en ce moment sur les autorisations pour le dosage… des bébés !)

Seules les méthodes et les calendriers changent (les élections française mettant par exemple le processus forcément entre parenthèse, et plus largement la saison estivale en Europe).

Accepter la présence de zérovaxx dans les hôpitaux, en les réintégrant, casserait évidemment cette fragile mécanique.

C’est aussi simple que cela.

Nos condoléances à ces milliers de personnes.

Ce sont des otages.

Des victimes expiatoires.

Quant à ceux qui ont déjà accepté l’hostie couillonavirale (convaincus ou forcés) et qui vont devoir continuer… nos condoléances également.

Et même plus fortes… 😉

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Chiffres Saloperie et sida mental Vaccinocircus

0 + 0 = la tête à toto : le Figaro s’étonne

“Quand le déshonneur est public, il faut que la vengeance le soit aussi.”

Selon le décompte de Santé Publique France, on recense près de 22.000 morts du Covid dans le pays depuis le 1er janvier. Si on projette mathématiquement ce total sur 365 jours, on arrive en effet à 66.000 morts à la fin de l’année. Soit sensiblement le même nombre que les deux années précédentes. (source Le Figaro)

Ah bon ?

Malgré des variants moins dangereux ?

Malgré “tous vaccinés, tous protégés” ?

Malgré les 2 doses ? Malgré les doses de “boosters” ?

Malgré la formidable nouvelle technologie des produits ARNm aux enzymes aussi gloutons qu’enrichis (enfin beaucoup moins que les actionnaires de Pfizer) ?

Malgré les contrats de l’UE et leurs gazillons de doses ?

Malgré Pfizer et Moderna, les Laurel et Hardy de la piquouze, ou plutôt l’Amazon et l’épicerie arabe du vaccin ?

Ca ne marche toujours pas ? !

Quel dommage.

Appelez-moi Karine Labombe et Olivier Verrat.

Un internaute facétieux (pour ne pas dire factieux, voire même carrément fasciste n’ayons pas peur des mots ni des maux) commente au sujet de la révélation du Figaro :

Sans vaccins, ils seraient mort d’une forme plus grave !

Et toc ! 😉

Ce qui est surréaliste est que l’objectif du quotidien est bien entendu… de foutre la pétoche à ses lecteurs, en martelant le message : “le Covid c’est pas fini, vous allez une nouvelle fois tous mourir” !

Mais ils ne comprennent pas qu’en réalité cet article n’a qu’un seul effet concret : démolir au calibre 75 leur idéologie du “vaccin” !

😉

“Tous vaccinés, tous protégés. Prout !”

Jeannot le Ravi a un compte Touiteur. Con comme une enclume. Mais avé l’accent !
POST-SCRIPTUM

Ces chiffres sont bien entendu totalement loufoques. Il n’y a absolument pas “22 000 morts DU Covid” depuis le 1er janvier en France.

Extrapoler cette fantaisie comptable, qui dure depuis 2020 et qui constitue l’un des pilliers de la covidémence (avec les pseudos “cas” asymptomatiques) ne fait qu’aggraver le problème.

Il y a simplement des personnes âgées et/ou déjà malades qui décèdent, d’une chiée de pathologies ou de grand âge (car oui, c’est incroyable, nous ne sommes pas immortels).

Comme à chaque heure de chaque jour de chaque année.

Et comme la population vieillit rapidement (les générations du baby boom), ces décès seront de plus en plus nombreux.

Vaccin ou pas vaccin. ARNm ou pas ARNm. Couillonavirus ou pas couillonavirus.

Mais il est toujours jouissif de voir l’appareil covidémentiel se prendre les pieds dans le tapis.

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Médicament Saloperie et sida mental

Médicament : encore un échec pour Pfizer

La seule réussite UTILE dans cette boîte de merde… Découverte tout à fait fortuite, faut-il le préciser ? 😉

Pfizer continue de saloper tout ce qu’il touche…

Soit le Paxlovid… pillule soit disant contre le couillonavirus, très chère, inutile et avec une efficacité aléatoire

Cette saleté est encore pire… Puisque euh… comment dire… il semblerait que cette molécule… en réalité… euh… la charge virale ainsi que les symptômes repartent à la hausse après le “traitement”.

C’est ballo.

Reformulons sous la forme d’un slogan :

“Avec notre médicament, après une brève accalmie, vous deviendrez encore plus malade. Ca fera 1 000 euros, carte, chèque, espèces. Prout”.

😉

J’exagère à peine.

The FDA “is evaluating the reports of viral load rebound after completing paxlovid treatment and will share recommendations if appropriate”.

In a recent preprint case report, Veterans Affairs researchers reported that a 71-year-old male who took the pill, also known as nirmatrelvir, experienced a “rapid and progressive reduction” in the viral load of SARS-CoV-2, the virus that causes COVID-19.

But four days after completing the treatment course, there was a “surprising rebound of viral load and symptoms,” they reported.

The report “highlights the potential for recurrent, symptomatic SARS-CoV-2 replication after successful early treatment” with the pill, the researchers said. (source ZeroHedge).

Etrangement, parmis des dizaines, que dis-je, des centaines d’études menées dans le monde depuis 2020 sur l’HCQ et l’ivermectine, et autres molécules (antibiotiques etc.) pour le traitements précoce du couillonavirus… on n’a jamais fait état d’un tel phénomène !

Comme c’est étrange ! Encore un mystère mystérieux.

Ce doit être une malheureuse coïncidence. La faute à pas de chance.

Monsieur Pfizer a marché dans un étron canin, délicatement posé sur le trottoir, ce sont des choses qui arrivent (spéciale dédicace à mes amis parisiens).

Précisons que ce phénomène était connu en réalité dès… 2021 lorsque la FDA avait donné l’autorisation “en urgence” à la pilule de Pfizer !

In the FDA’s evaluation (pdf) of data on paxlovid, which the agency cleared on an emergency basis in 2021, the agency reported that in an ongoing phase 2/3 trial run by Pfizer, several participants “appeared to have a rebound” in viral load five to nine days after completing their treatment courses.

Bref, comme d’habitude, on fait mine de s’étonner et de découvrir que l’eau ça mouille... 😉

En attendant, pensée émue à tous les gouvernements corrompus qui ont acheté pour des centaines de millions de dollars de cette merde

Après mûre réflexion… Il n’y a qu’une seule chose valable chez Pfizer… la découverte (tout à fait fortuite, comme d’habitude)… du VIAGRA.

😉

La boucle est bouclée, en somme.

Ainsi, pour conjurer le Covid, prenez du Viagra et honorez votre épouse ou votre amie avec passion, vigueur, dévouement et une gaule d’enfer.

Faites l’amour… baisez… tirez un coup… peu importe.

L’humanité s’en portera mieux.

(désolé, c’est mon côté baba anar d’extrême-drouâte qui ressort). 😉