Soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir exercer, les professionnels de santé vont devoir mettre à jour leur schéma vaccinal par l’injection d’une nouvelle dose. Faute d’injection, ils seront interdits d’exercer. (source France Info)
Voilà pourquoi les soignants virés, les dangereux terroristes zérovaxx, ne seront pas réintégrés !
Car le dosage obligatoire doit perdurer.
Et pourquoi cela ?
Car il s’agit du “ventre mou”.
Vacciner une infirmière est facilement justifiable (puisqu’elle s’occupe de malades, etc.).
Une infirmière, un médecin sont censés s’occuper également de leur propre santé… D’où le dosage pour eux-mêmes.
Pour le plus grand nombre, et par ce jeu d’association d’idées, les injections paraissent ainsi logiques.
Et donc à peu près acceptables.
Cela permet d’animer la covidémence, de l’incarner (car c’est quoi une terrible pandémie sans “vaccin” ?) mais surtout de faire accepter plus facilement les injections… parmi le reste de la population.
Car l’objectif -politique- n’a pas bougé d’un iota : injecter l’ensemble de la population, même les nourrissons, supprimer tout groupe contrôle.
(La FDA aux Etats-Unis travaille en ce moment sur les autorisations pour le dosage… des bébés !)
Seules les méthodes et les calendriers changent (les élections française mettant par exemple le processus forcément entre parenthèse, et plus largement la saison estivale en Europe).
Accepter la présence de zérovaxx dans les hôpitaux, en les réintégrant, casserait évidemment cette fragile mécanique.
C’est aussi simple que cela.
Nos condoléances à ces milliers de personnes.
Ce sont des otages.
Des victimes expiatoires.
Quant à ceux qui ont déjà accepté l’hostie couillonavirale (convaincus ou forcés) et qui vont devoir continuer… nos condoléances également.
Et même plus fortes… 😉