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Asie Saloperie et sida mental

Thaïlande : retour à l’école… 2 ans après

La société thaïe les a martyrisés pendant… 2 ans

C’est la rentrée des classes en Thaïlande (leur année scolaire allant de mi mai à la fin mars).

Une rentrée très particulière… puisque les 35 000 écoles du pays (privées et publiques)… étaient toutes fermées et/ou “en ligne“… depuis 2 ans !

Vous avez bien lu.

Deux ans.

Deux ans de délire absolu… qui ont provoqué des dégâts considérables chez les élèves, chez les plus jeunes (sans oublier les étudiants)…

L’état a failli… car des dizaines de milliers d’enfants dans les campagnes pauvres n’ont pas pu réellement suivre les cours “en ligne” (sans équipement informatique, sans Internet rapide)…

Et ils sont nombreux à avoir tout simplement renoncé.

La qualité du système éducatif était déjà abyssale… Alors avec le couillonavirus lâché par dessus…

Il existe toutefois un système parallèle dans le pays : les écoles dites  “internationales” (privées, très chères, avec un management et des profs souvent occidentaux et qui sont calées sur le calendrier scolaire européen).

Il y a en 150 environ dans le pays (Bangkok, Chiang Mai, Pattaya, Phuket, Samui…). Certaines ont pu rouvrir fin août dernier, en “présentiel” pour leur nouvelle année scolaire… La plupart en novembre (à Bangkok par exemple ou encore Chiang Mai).

Au menu : masques bien entendu et autres godemichés, sans oublier un test ATK par semaine pour tous… Et 10 % de tests “aléatoires” par semaine. Ainsi qu’un protocole très strict (en tout cas jusqu’à la fin 2021, il fut un peu assoupli après), si un seul cas positif, zou, toute la classe fermée immédiatement (voire même plusieurs classes… et passage en mode “en ligne“), désinfection des locaux à la mode chinoise, les fameux pschiit pschiit, etc.

Les écoles internationales et leurs élèves ont donc beaucoup moins souffert (durant l’année scolaire 2020, on a compté 1 mois de fermeture/en ligne et en 2021 environ 4 mois).

Cette réouverture générale s’appuie, et est justifiée bien entendu par  une campagne d’injections massive.

Tous les profs, tous les personnels administratifs… sans oublier les élèves (à partir de 5 ans).

Les premiers ont reçu de l’AstraZeneca/Sinopharm, les derniers du Pfizer.

A noter, une petite victoire, le dosage des enfants de 5 à 12 ans n’a pas eu un franc succès (50 % à peine)… les parents se méfiant des effets secondaires.

Deux ans de perdu… pour RIEN.

Absolument RIEN.

Et le pire c’est qu’il y a eu aucun débat public, aucune remise en question, aucune excuse… rien.

Cette folie collective est passée comme une lettre à la poste.

Et à ce jour, masques et autres cingleries de “distanciation sociale” sont conservés dans TOUTES les écoles (publiques, privées et internationales).

De nombreux parents au début de l’assouplissement (dans certaines écoles privées à Bangkok par exemple en novembre ou décembre)… on simplement refusé… et exigé que leurs enfants demeurent en mode “en ligne” (forçant ainsi des établissements à adopter un système hybride).

C’est sans doute l’effet le plus choquant de la covidémence : s’en prendre aux enfants, des victimes par définition incapables de se défendre.

POST-SCRIPTUM

On ne peut s’empêcher de voir dans cette obsession pour les enfants (visible également en Occident) non pas la volonté de les “protéger“, mais plutôt un élément-clé de la propagande covidémentielle.

Si je vous dis que la terrible pandémie ne tue que des vieillards malades, quand vous aurez perdu votre grand-père qui était de toute façon en sursis flingué par son alzheimer, son diabète et son coeur en compote… après 2 ou 3 larmes -bien vite séchées- ça finira par vous en cogner une sans bouger l’autre.

Donc la narration finit dans les orties.

Par contre si je vous dis que la terrible pandémie s’attaque AUSSI à tous les gentils petits nenfants (totalement faux) et qu’il est donc nécessaire de leur imposer toutes sortes de règles absurdes, de les priver d’école, de les violenter, alors vous avez subitement peur.

Très peur.

La terrible pandémie devient réellement terrible car notre avenir en tant qu’espèce est menacé.

Deux ans après, il est désormais évident que ces pays ont suivi un script.

Ce script fut appliqué également… aux transports publics avec le même zèle, révélant une fois de plus la volonté de rendre visible la pseudo menace virale, de l’incarner en quelque sorte, de prouver son existence grâce à une série de prophéties autoréalisatrices.

En réalité, tout ce qui fut fait au nom de la covidémence… n’est qu’une liste d’outils destinés à provoquer puis valider la peur, et donc alimenter le moteur de la psyop : confinements, masques, transports aériens, écoles, tests PCR, interdiction des traitements, promotion des “vaccins”, bidonnage systématique des données (cas, hospitalisations et décès).

Ce n’est pas une longue liste d’erreurs (de jugement, d’appréciation, de mauvaises solutions, de foirages), mais bien une checklist, d’ingrédients dans une recette comme lorsque des militaires organisent un coup d’état… ils appliquent une telle checklist :

  • 1 prendre le contrôle des radios/TV/journaux
  • 2 verrouiller les voies de communication (aéroports, gares etc.)
  • 3 arrêter les opposants
  • 4 occuper les lieux symboliques du pouvoir (présidence, parlement etc.)
  • 5 instaurer un couvre-feu, la loi martiale
  • 6 se choisir un ou des leaders qui apparaîtront à la télévision, etc.
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Saloperie et sida mental

Passé la Borne y’a plus de limites : 17 mars 2020

“Tu la vois ma main ? Dans ta gueule !”

C’est la fête à Elisabeth Borne, le nouveau premier ministre (Zemmour a raison : “première ministre c’est moche à l’oreille“).

Et dire que la dernière était… Edith Cresson.

En 1991.

Le drame.

Les jeunes ne peuvent pas comprendre notre détresse. 😉

“François tu m’excites avec tes dents. Ah Edith… j’aime ton tailleur framboise écrasée”

Bref, 17 mars 2020, le jour de l’infâmie.

1mn58 de sida mental carabiné à la télé, pépère, décontractée du gland, ou plutôt du micro, genre oblige.

N’oubliez jamais !

Comme des veaux à l’abattoir, vous avez signé… vos “auto-attestations”

Elisabeth, en service déjà commandé, expliquait au cheptel le fonctionnement du dispositif…

Pour le reste, tout est dans la presse.

Bornée, méchante, rigide.

On l’appelle “madame bornée“. Voire même “Borne-out” à la RATP (dont elle fut la patronne).

Le Point dit qu’elle est “froide comme un glaçon“…

Je vous invite à lire son portrait “chinois” ainsi que ses exploits récents… car madame est une admiratrice de la Chine.

Ni une ni deux, elle a pris comme dir’ cab’ un parvenu con comme une enclume… Aurélien Roussseau.

Ce sinistre personnage… était le DG de l’ARS Ile-de-France (lorsqu’en 2020 on achevait les vieux au nom du “Covid”, avec du rivotril).

Ce type… fut d’abord prof’ d’histoire-géo’ tout en militant au Parti communiste… Et ensuite fit l’Ena.

Le Parisien écrivait l’été dernier, comme pour l’excuser : “énarque atypique” et “parfois taclé pour son autoritarisme“.

Copain de Bertrand Delanoë… Bref, la crème de la crème “socialiste”.

Le parangon de l’entre-soi.

Toute cette bande de crapules est Pfizer à fond les seringues, pro passe sanitaire, dictature sanitaire, confinement, rivotril, remdesivir, anti traitements, anti “médecins qui soignent”, amis de la Chine, etc…

Ils cochent toutes les cases.

En clair, Macron 2 installe un gouvernement covidément au coeur.

Ce n’est bien sûr pas un hasard.

Attendez-vous au pire pour le poste de ministre de la Santé…

Vous allez bien vous amuser durant les prochains mois ! 😉

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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Soignants : toc, toc, toc c’est l’heure de la piqûre

Soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir exercer, les professionnels de santé vont devoir mettre à jour leur schéma vaccinal par l’injection d’une nouvelle dose. Faute d’injection, ils seront interdits d’exercer. (source France Info)

Voilà pourquoi les soignants virés, les dangereux terroristes zérovaxx, ne seront pas réintégrés !

Car le dosage obligatoire doit perdurer.

Et pourquoi cela ?

Car il s’agit du “ventre mou”.

Vacciner une infirmière est facilement justifiable (puisqu’elle s’occupe de malades, etc.).

Une infirmière, un médecin sont censés s’occuper également de leur propre santé… D’où le dosage pour eux-mêmes.

Pour le plus grand nombre, et par ce jeu d’association d’idées, les injections paraissent ainsi logiques.

Et donc à peu près acceptables.

Cela permet d’animer la covidémence, de l’incarner (car c’est quoi une terrible pandémie sans “vaccin” ?) mais surtout de faire accepter plus facilement les injections… parmi le reste de la population.

Car l’objectif -politique- n’a pas bougé d’un iota : injecter l’ensemble de la population, même les nourrissons, supprimer tout groupe contrôle.

(La FDA aux Etats-Unis travaille en ce moment sur les autorisations pour le dosage… des bébés !)

Seules les méthodes et les calendriers changent (les élections française mettant par exemple le processus forcément entre parenthèse, et plus largement la saison estivale en Europe).

Accepter la présence de zérovaxx dans les hôpitaux, en les réintégrant, casserait évidemment cette fragile mécanique.

C’est aussi simple que cela.

Nos condoléances à ces milliers de personnes.

Ce sont des otages.

Des victimes expiatoires.

Quant à ceux qui ont déjà accepté l’hostie couillonavirale (convaincus ou forcés) et qui vont devoir continuer… nos condoléances également.

Et même plus fortes… 😉