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Chiffres Saloperie et sida mental Tests PCR

Bidonnage des tests PCR : nouvelle preuve, officielle cette fois

Cela fait depuis 2 mois environ que la nouvelle s’est diffusée… depuis que le professeur Raoult a révélé que 25 % à 40 % des patients “positifs” qui arrivaient à l’IHU Marseille… étaient en fait négatifs !

Même la (très) grande presse a fini par lâcher le morceau (article du New York Times, rien de moins).

Alors qu’au même moment, le gouvernement français misait tout sur l’explosion du nombre de tests PCR effectués (un million par semaine pour un coût astronomique de 350 millions d’euros par mois) afin de terroriser les populations en communiquant sur le nombre de “cas positifs“.

Tout est bidonné car tous ces fameux “positifs” ne sont ni malades, ni contagieux, ni rien… Ils ne sont “positifs” que grâce à des tests PCR trop sensibles (avec un Ct, soit un nombre de cycles, trop élevé).

Le 11 septembre, Salomon, l’homme qui s’obstine à remonter le courant de sa propre bêtise et qui est accessoirement Directeur général de la Santé, a demandé à la Société Française de Microbiologie de rendre un avis concernant :

l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale)
obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage

Cet avis, officiel donc, vient d’être publié en ligne (fichier PDF ici).

Lien : https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excrétion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

Que dit ce document ?

Ce que nous savons déjà, techniquement parlant.

C’est limpide : tout test PCR avec un CT supérieur à 33… c’est de la merde en boîte.

Un “positif” dans de telles conditions ne veut rien dire… la charge virale est infinitésimale… C’est le fameux “cas asymptomatique” que les autorités se plaisent à compter en centaines de milliers alors qu’en fait en bon français ça s’appelle un “faux positif“.

En clair : une arnaque.

Multipliez cette arnaque sur des millions de prélèvements… et vous commencez à comprendre qu’il ne s’agit pas de malencontreuses erreurs ici ou là… mais bien d’une campagne orchestrée, délibérée de manipulation de la population.

Conclusion ? C’est là où la SFM redevient un clébard au service du pouvoir… Puisque d’un côté :

Le groupe d’experts estime que la valeur du Ct de la RT-PCR SARS-CoV-2 est une information qui peut être pertinente sur les prélèvements NP

Mais “en même temps“…

le groupe d’experts ne pense pas qu’il soit recommandé de faire figurer systématiquement cette valeur sur les comptes-rendus de résultats

Emballé pesé. La valeur Ct est bien pertinente (et comment !)… mais il ne faut pas la révéler publiquement. Non. Pas convenable. Pas approprié. Trop compliqué pour le cheptel. Cela mettrait en danger la psyop du gouvernement…

On retrouve ainsi l’essence du comportement criminel du pouvoir actuel.

Au-delà de ce théâtre ridicule (Salomon qui demande un “avis“, alors qu’il sait parfaitement à quoi s’en tenir, malgré la bassesse de son plafond personnel), il y a une question fondamentale qui n’est toujours pas réglée : la norme.

Salomon et tous ses amis covidéments sont experts en une seule chose : édicter des normes, des décrets, des circulaires. Ils sont habités par l’obsession normative, car ce sont des fonctionnaires ronds-de-cuir.

La question peut donc être réglée en 5 mn, le temps d’écrire la circulaire : tous les systèmes de tests PCR en France doivent être réglés, normalisés à 33 CT, et surtout étalonnés.

Il en va de l’harmonisation au niveau national de la politique de santé publique, et des tests de détection du fameux Covid.

Mais comme hasard, ce n’est toujours pas fait.

Neuf mois après le début de la terrible pandémie…

De plus, le document du SFM donne en annexe la liste de 46 (!) “trousses de test PCR“… avec pour chacun le système “thermocycleur” qu’ils utilisent, et des valeurs de correspondances.

Vous l’aurez deviné : c’est le BHV, soit le Bordel de l’Hôtel de Ville, les vis et les boulons en moins.

Il n’y a aucune normalisation, chaque société a ses propres réglages/réactif / sensibilité, obligeant à créer un “abaque”, une liste de correspondances.

Le scandale est là, bien en évidence.
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Chiffres Humour Tests PCR

France : le pays des 300 fromages et des gens qui font 15 tests PCR

“Tu as été un vilain garçon, petit Olivier… Pour la peine, tu vas refaire un quinzième test PCR”

Quand on ouvre en grand le robinet, c’est-à-dire tests PCR pour tous payés intégralement par la Sécu… il ne faut pas s’étonner de certaines…  dérives.

C’est un coup de gueule que pousse ce médecin du CHU de Rennes. Alors que les équipes chargées de réaliser les tests sont débordées et que le laboratoire fonctionne 24 heures sur 24, des personnes multiplient inutilement les dépistages. Jusqu’à en réaliser plus de quinze en quelques semaines ! (source Ouest-France)

Ce qui est magique ici c’est que le test PCR n’est pas agréable en soi... L’expérience peut même devenir traumatisante.

Alors imaginez… quinze fois de suite !

Ce n’est pas comme frauder la Sécu par exemple pour choper des allocations qui permettront ensuite d’envoyer du cash à Bamako, de s’acheter un nouvel écran plat.

Là, le plaisir, l’intérêt peuvent facilement être déterminés. 😉

Donc, aujourd’hui en France, il y a bel et bien des malades mentaux, en liberté, qui se font ravager le nez 15 fois de suite… Pour une chose inexistante : le couillonavirus.

La nature humaine a des méandres parfois bien sombres…

Ou alors, s’agirait-il d’une perversion masochiste ?

Après tout, se faire fouetter, percer les tétons ou faire un test PCR… le plaisir serait-il au bout du virus (du moins dans son absence) ?

😉

Voire une action conspirationniste du gouvernement… afin de multiplier les… covicas détectés ?

En tout cas, une chose est certaine : ça coûte un pognon de dingue.

350 millions par mois, au profit de quelques sociétés complices, lire mon article ici.

Vous savez quoi ? Il est temps d’appeler Marsault.

“Rien à ajouter”.
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Pognon Tests PCR

Test positif : prime de 30 euros par consultation

Fernand Raynaud nous l’avait dit : le blé, l’avoine, la vigne, les bêtes à cornes… ça paye pas. Ca eut payé. Mais la covidémence, ça paye beaucoup mieux !

Après le bonus calculés en fonction du nombre de tests et de cas positifs dans les régions espagnoles (lire article ici)… voici venu le temps du petit coup de pouce financier en France, pour la médecine de ville.

Un “téléservice Contact Covid” a été développé.

Ce téléservice permet d’enregistrer l’ensemble des informations concernant le patient et les cas contacts recensés par le médecin. Il est également accessible aux biologistes. Les pharmaciens y accèdent également. Enfin, les plateformes de l’Assurance Maladie et les ARS ont également accès à ce téléservice pour effectuer leurs missions.

Et pour motiver les médecins, ils reçoivent une prime de 30 euros.

La consultation ou téléconsultation d’un patient testé positif (avec ou sans prescription de test) pourra donner lieu à la facturation de la majoration « pour consultation initiale d’information du patient et de mise en place d’une stratégie thérapeutique » (MIS) d’une valeur de 30 euros.

Le tout est pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.

De quoi mettre un peu de beurre viral dans les épinards (ou l’inverse).

On rappellera plusieurs faits :

-la grande majorité des “positifs” sont… asymptomatiques. Pas malades, pas contagieux. Donc dépenser 30 euros (en plus du tarif de base du médecin) pour de pseudo consultations est inutile.

-la Sécu dépense déjà un pognon de dingue pour rembourser ces millions de tests PCR parfaitement inutiles (on test des gens jeunes, sains, sans risques) : 350 millions d’euros par mois.

-enfin le trou de la Sécu… On ne le voit même plus tellement il est profond…

Bref, encore une brillante idée des fonctionnaires covidéments qui piquent le blé du cheptel, pour mieux le terroriser…

(source Ameli)