Les données initiales :
- la souche actuelle contient entre 40 et 50 mutations par rapport à la référence ouest-africaine (2018)
- ce qui est déjà remarquable pour un virus DNA (ils mutent très lentement contrairement aux virus ARN, comme le couillonavirus).
- ceci est confirmé maintenant sur plusieurs génomes séquencés (Portugal, Allemagne etc.)
- ces mutations semblent concentrées
- Robert Malone affirme que ça sent mauvais (lire ici).
Mais ce n’est pas tout.
Deux chercheurs indépendants (Jean-Claude Perez et Valère Lounnas, qui a participé à un bouquin sur le Covid) publient un article très troublant.
Ils ont trouvé une séquence spéciale… à un endroit inhabituel.
This is by chance that we have discovered the presence of a 30-T long sequence in the middle of the USA2022 monkeypox genome, between the DNA-dependent RNA polymerase subunit rpo132 and the cowpox A-type inclusion protein, before a gene complement region that may become coding under circumstances that need to be specified by expert in the field
Le rôle de cette séquence n’est pas encore identifié.
The functional role of this pattern at the viral genome level is unknown to us.
Mais une chose est sûre selon eux : sa place est tout à fait inhabituelle.
While it long repeat are common finding at the terminaison of a genome, as for instance at the end of the monkey encephlitis virus, it is almost never encountered fully inside a sequence
Et enfin cette séquence “non orthodoxe”… se retrouverait (avec une faible probabilité de “hasard”) EN THEORIE .. euh… dans le bacille de la peste… le parasite qui provoque le palu… un champignon et une autre bactérie.
Sympa comme cousinage. 😉
search for this unorthodox protein sequence surprisingly retrieves a signal with an expectation value significantly beyond randomness (E≤0.001) for a match with an identical polypeptide reported as a hypothetical protein in Plasmodium falciparum, Yersinia pestis, Escherichia coli and Penicillium nordicum !
Attention, c’est du “pre-print”. Pas vérifié donc.
Cette séquence est peut-être totalement anodine. Sans fonction particulière.
Ou au contraire, elle est peut-être le “signe” que le génome de la variole du singe a bien été trafiqué en labo.
Le smoking-gun.
Ou alors Perez et Lounnas ont abusé du pinard ?
Bref, comme je l’avais écrit très tôt : c’est le bordel. Le Brouillard de la guerre. Et les scientifiques vont s’écharper pendant longtemps (comme pour le couillonavirus… 2 ans après toujours aucun consensus quant à son origine, l’arnaque chinoise du pangolin déclenchant l’hilarité).
Mais il y a une CERTITUDE ABSOLUE qu’il convient de répéter, sans cesse : la “variole du singe” à l’oeuvre depuis un mois dans une trentaine de pays est DIFFERENTE (et beaucoup plus “légère”) que la “variole du singe” endémique en Afrique.
Ce fait INCONTESTABLE n’est pas suffisamment répété dans les médias, et c’est déjà le signe d’une psyop, déjà le signe d’une narration trafiquée.
Pourquoi ?
Au final, deux explications principales subsistent :
- virus muté naturellement
- virus trafiqué en labo (gain of function)
Ajoutons dans la corbeille de la mariée :
- hôtes modifiés (les Occidentaux queutards ont mangé trop de saucisses ou… se sont injectés trop de produits ARNm expérimentaux)
On peut aussi envisager un mix de tout cela.
Voilà. Rien d’autre. Ni les ondes 5G, ni la couleur du slip de Joe Biden (caca d’oie), ni le lifting de Poutine, ni le réchauffement climatique, ni les extraterrestres.
Ah si… Des rigolos commencent à dire… “et si le responsable était… le Covid ? “.
Voyez on n’en finira jamais. 😉