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De l’opium (des peuples) au Covid : Marx revisité

“Mets moi donc 2 boulettes, j’ai écouté le discours de Pécresse, ma douleur physique et psychologique est intense”.

L’un de mes arguments porte sur le temps long, l’humiliation et les blessures subies par la Chine au 19ème siècle durant les Guerres de l’Opium (contre l’Occident), ses conséquences catastrophiques et son désir de revanche.

L’épidémie de fentanyl aux Etats-Unis (et en Europe) fait écho directement à cet épisode historique.

Le Covid également.

Revenons sur cette page d’histoire, à la fois glorieuse et… ignoble… oubliée en Occident (ou passée sous silence)… mais qui a marqué au fer rouge la Chine.

Début 19ème siècle. L’Angleterre impériale, ayant défait la menace continentale napoléonienne, est toute puissante.

Elle règne sur les mers du globe, c’est la première puissance “globaliste”.

Elle importe des biens de Chine (thé, porcelaine etc.)… Mais cette dernière refuse obstinément d’acheter quoi que ce soit aux Anglais (puisque ce sont des barbares, la Chine impériale et éternelle n’a besoin de rien en provenance de tels sauvages).

A l’époque, le commerce se fait en métal argent… Les réserves de métal de l’Angleterre baissent alors dangereusement… Alors elle a l’idée doublement géniale de :

  • mettre en valeur la culture du pavot… en Inde (sa colonie)
  • et de vendre l’opium fabriqué… aux Chinois

La Grande-Bretagne devient ainsi le premier narco-état de l’histoire !

Le produit est tellement addictif… les Chinois en consomment de plus en plus. Trop tard. Le gouvernement impérial comprend que c’est une catastrophe… Et interdit les importations.

L’Angleterre alors frappe militairement la Chine (les Guerres de l’opium) afin de forcer le rétablissement de ce juteux commerce…

La Chine ne peut pas faire face à la supériorité technologique des sauvages… (erreur d’appréciation fatale que les dirigeants chinois modernes ne commettront plus… jamais).

Elle subira donc des traités humiliants. Et c’est sans doute, non pas le début, mais le parachèvement du processus de déliquescence -historique- de la vieille Chine impériale.

Cela débouchera sur… la guerre civile (PCC contre “nationalistes”), l’invasion brutale par les forces japonaises (voir “le viol de Nankin”), de nouveau la guerre civile, puis la victoire du PCC… puis les délires de Mao (famine, révolution culturelle) et après la renaissance de la puissance chinoise.

Et enfin sa consécration comme puissance montante, concurrente directe de l’empire occidental (Etats-Unis).

C’est comme chez Highlander : il ne peut en rester qu’un… 😉

Ces 2 blocs sont en opposition frontale. L’un a le vent en poupe, le second est en pleine déliquescence (morale, sociale, économique, politique etc.)

Revenons à Marx. Au milieu du siècle, il écrit de nombreux articles pour le New York Daily Tribune, au sujet du commerce avec la Chine, du trafic de l’opium, de son immoralité, des liens avec sous-développement, corruption etc.

Il va jusqu’à reconnaître que… ce fut aussi le moyen de sortir la Chine de son isolement (certains pensent, à ce titre, que ce fut une bonne chose).

Voici la conclusion d’un de ses articles de 1857 :

Meanwhile in China, the smothered fires of hatred kindled against the English during the opium war have burst into a flame of animosity which no tenders of peace and friendship will be likely to quench.

For the sake of Christian and commercial intercourse with China, it is in the highest degree desirable that we should keep out of this quarrel and that the Chinese should not be led to regard all the nations of the Western world as united in a conspiracy against them.

On peut raconter ce que l’on veut, mais il y a un désir de revanche chez l’élite du PCC.

Reprendre Hong Kong et Taïwan, accélérer le déclin de l’Empire occidental, lui rendre la monnaie de sa pièce… autant d’expressions de ce désir qui font écho aux traumatismes de l’histoire.

La Chine n’oublie jamais. C’est l’un de ses points forts : toujours replacer les événements dans une continuité historique.

Bref, tout l’inverse de l’Occident neuneu, woke, décérébré qui n’a plus que deux obsessions :

  • oublier l’histoire
  • puis sortir de l’histoire (le suicide civilisationnel)
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Saloperie et sida mental

“Nouvelle ère” : Delfraissy voit le futur

Jean-François s’est reconverti : la voyance.

Vous connaissez Delfraissy, le papy qui a vu le diable (si, si) et qui voit aussi le futur (lire ici).

Il est accessoirement le président du “Conseil scientifique”, une sorte de secte vaudou à base d’esprits frappeurs, de virus foireux et de Satan.

Il est surtout con comme une enclume (d’où son poste).

Et c’est pour cela qu’il vient de commettre une boulette… en révélant benoîtement… la suite du plan ! 😉

Le grand âge est un naufrage…

Nous sommes «au début d’une nouvelle ère», marquée par une «circulation contrôlée du virus» du Covid-19 et, de temps en temps, «des pics épidémiques» donnant lieu à des restrictions, estime le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy. (source Le Figaro)

Après le “monde d’après “… voici donc la “nouvelle ère ” ! Il suffisait d’y penser.

Le virus est là pour toujours.

Périodiquement… il se réveillera (ou plutôt on le réveillera), par exemple en hiver, ou avant des élections, ou pendant des manifestations d’opposants… et zou, les restrictions seront réactivées.

Aucun des outils créés (passe sanitaire, passe vaccinal, le masquage etc.) ne sera donc aboli.

Au mieux ils seront “suspendus” (“levés” pour reprendre l’expression du gland Gabriel)… jusqu’à leur réactivation lors de nouveaux “pics épidémiques” (comprendre de simples prévisions basées sur des modèles bien foireux comme d’habitude).

C’est complètement tordu, certes, mais il s’agit bel et bien d’une “nouvelle ère“.

Celle des pourritures.

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Saloperie et sida mental

Japonobide : les masques ne fonctionnent plus

“Hiroshima, arigâto, kampaï, mushi mushi ! Merde on a oublié notre masque. On va tous mourir”

Le 22 juin 2020 le magazine Forbes écrivait, tout émoustillé :

the secret to Japan’s “success” – so far – has been in some significant part due to the widespread proliferation of mask-wearing.

Toujours en juin 2020, le New York Times, temple woke de la covidémence, se pâmait :

Is the Secret to Japan’s Virus Success Right in Front of Its Face?

In America, masks have become a weapon in the culture wars. In Japan, wearing one is no big deal, and deaths have stayed low.

Le Japon sert de symbole et entretient la mystique du masque… Car dans l’archipel, c’est une vieille coutume. Dès qu’un Japonais est malade, il porte un masque (par respect pour le collectif).

Une coutume qui a longtemps amusé les Occidentaux.

La covidémence a bien entendu changé cela… Et le Japon est devenu la preuve que le masquage était efficace pour lutter contre le couillonavirus.

Les gogos, les journalistes les pseudos scientifiques de plateaux TV et les crapules factorisaient cet exemple.

Exemple :

A study published in April by a team of researchers in Hong Kong, France, the UK and Finland found “a near perfect correlation between early universal masking and successful suppression of daily case growth rates and/or reduction from peak daily case growth rates,” and that 80% to 90% masking has the potential of “eventually eliminating the disease.

Une corrélation parfaite ? Un outil pour éliminer la maladie ?

Deux ans après, les faits démontent à coup de cric cet énième mythe.

Une population docile et totalement masquée. Et 80 % sont vaccinés… Zut. Ca marche pas.

Bref, il est aujourd’hui évident que ces petits bouts de papier ou de tissus… ne servent à rien. Surtout lorsque des gouvernements vendus aux Chinois l’imposent à l’extérieur (n’oublions jamais que les Occidentaux furent capables de les imposer… sur les plages, ou encore à la montagne, en plein-air).

Le masque est un grisgris, un totem de la patascience. Mais c’est surtout une composante essentielle de la psyop, afin d’incarner visuellement la terrible pandémie.

Une terrible pandémie sans masque, c’est comme un MacDo sans un Coca Cola, ou Valou Pécresse sans son prompteur ; ça cloche.

C’est également un outil de conditionnement basé sur la gêne, voire même la torture physique et psychologique (chez les jeunes enfants à l’école en particulier).

Et c’est pour cela que les covidéments les plus fanatiques s’accrochent à lui, si désespérement, et souhaitent même le conserver… pour toujours.