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La Corée du Sud rejoint l’offensive contre AstraZeneca

La Corée du Sud rejoint le groupe de pays ayant décidé de ne pas utiliser le vaccin d’AstraZeneca pour les plus de 65 ans (coupant ainsi le vaccin de sa cible prioritaire) (source Reuters).

Décision d’autant plus surprenante qu’elle avait autorisé le produit pour les plus de 65 ans… la semaine précédente.

Parmi les premiers assaillants, les pays européens : France, Allemagne, Suède, Suisse.

La situation est confuse. L’Angleterre vaccine massivement en utilisant ce produit y compris donc pour les personnes très âgées.

L’OMS n’a pas repris l’accusation des pays européens.

Et le labo anglais se défend comme un beau diable.

C’est une guerre commerciale, mais surtout géopolitique. Et il suffit de peu, en matière de santé, pour détruire un produit ou son fabricant.

On peut même imaginer une psyop de diversion. Après tout en parlant des problèmes d’AstraZeneca… on parle moins des effets secondaires du produit de Pfizer, qui lui est utilisé en Europe, USA, Israël…

La réaction des pays asiatiques va être intéressante à suivre. La décision coréenne constitue déjà un sérieux avertissement.

Il faut se souvenir que la Thaïlande par exemple a passé un marché avec AstraZeneca pour produire localement le vaccin… A la clé des profits importants pour une société liée au pouvoir… bien entendu.

D’un autre côté, la Corée jouit d’un très grand prestige en Thaïlande (modernité, industrie, musique KPop, films, canons de beauté, etc.)

La population thaïe sera t-elle influencée quant au vaccin ?

Comment les militaires thaïs (qui gouvernent le pays) vont-ils gérer cette mauvaise publicité ?

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Asie Pays Vaccinocircus

La question qui fâche : pourquoi la Chine vaccine si peu ?

Eh oui les gars. On l’oublie. On n’y pense plus : la Chine. Le pays responsable du virus qui nous pourrit la vie depuis un an.

Face à la course vaccinale démentielle qui s’est emparée de la planète… là encore, la Chine fait figure d’exception.

Voilà une méga puissance économique qui dispose :

  • de toutes les usines nécessaires
  • d’un voire de deux vaccins (Sinopharm déjà approuvé + 1 autre qui vient d’être approuvé, Coronavac de Sinovac)
  • du système de contrôle social pour imposer une telle vaccination aux récalcitrants (refus ? -300 points sur ton crédit social ! au gnouf !)
  • de la culture politique ad doc (le pays lance régulièrement des “campagnes” pour ceci, contre cela)
  • des moyens logistiques, humains et financiers pour organiser une telle opération de masse…

….eh bien malgré tout cela la Chine ne se dépêche pas pour vacciner sa population.

Mais attendez… on croyait que pandémie horrifique mondiale, seul espoir les vaccins, on va tous mourrir, urgence absolue, “guerre” (le premier à utiliser ce mot fut… Xi Jiping repris ensuite par le neuneu Macron), vaccination de masse nécessaire au niveau de la galaxie pour éradiquer le couillonavirus, et patati et patata ?

Que se passe-t-il ?

Au 9 février, la Chine est à moins de 3 doses injectées pour 100 personnes. Soit 24 millions de personnes (sur plus de 1,3 milliard d’individus…), malgré un objectif officiel de… 50 millions.

Même les guignols français font mieux !

Bloomberg note :

China has pushed back a target to inoculate 50 million people against Covid-19 by almost two months amid concerns over supply and hesitancy among the population around vaccines, according to people familiar with the matter.

C’est quoi ce gag absolu ? Depuis quand le PCC respecte les sentiments, les états d’âme des populations ?

Reformulons donc au regard de ces ordres de grandeur : la Chine ne vaccine pas, alors qu’elle pourrait le faire, alors qu’elle pourrait en faire une énième démonstration de force politique (“regardez ces crétins d’étrangers comme les Français qui n’arrivent à rien”), et ce alors  qu’elle continue à avoir quelques cas (ici et là, mais ces clusters comme en Thaïlande par exemple ne flambent JAMAIS, malgré le climat, la densité de population etc.)

Bref, la conclusion me paraît évidente : la Chine continue de se moquer de nous.

Et l’Occident continue de se suicider… sur ordre de la Chine.

Qui a donné le “LA” de la crise ? Qui a donné au monde le “modèle chinois”, le bien nommé ?

La Chine.

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Asie Pays Saloperie et sida mental

La Chine continue de mentir

En mandarin, 去他妈的你自己 signifie : “allez vous faire voir chez les Grecs, les Babyloniens et les Romains, je vous pisse à la raie” (traduction libre fournie par mon stagiaire chinois dont je subodore la sournoiserie)

Comme prévu, le petit voyage touristique des pieds nicklés de l’OMS en Chine (il aura fallu un an pour organiser ce voyage cette enquête !)… s’est terminé en eau de boudin.

Sur place, l’équipe avait tellement la trouille qu’ils ont fait plaisir à leurs handlers chinois en affirmant après une simple réunion de 3 heures avec le staff du labo de Wuhan : “l’hypothèse d’une fuite du labo est extrêmement improbable“.

Comme disait notre national Serge July : “j’crois’ qu’c’est clair !”.

On notera toutefois la preuve de bonne volonté des Chinois : ils ont autorisé les boyscouts de l’OMS à prendre des selfies devant la porte d’entrée du labo P4 à Wuhan. Trop sympa.

Trois jours plus tard, une fois l’équipe en sécurité à l’étranger, là l’OMS n’était plus certaine des conneries que ses “scientifiques” avaient osé déclamer en Chine.

Son patron, pourtant grand copain du panda, déclarant :

The head of WHO on Friday insisted that the theory Covid-19 emerged in a laboratory in Wuhan has not been dismissed following a controversial fact-finding mission to China (New York Post)

Et 4 jours plus tard, la pantalonnade apparaissait au grand jour : la Chine continue de mentir et de dissimuler des données pourtant essentielles.

China ‘refused to give WHO scientists raw data on the first 174 Covid cases identified in Wuhan, hampering probe into origins of the pandemic’ (source Wall Street Journal et aussi DailyMail)

Les Chinois ont fourni aux enquêtes de l’OMS un “résumé” (une feuille A4 triple interligne corps 48) mais refusent toujours obstinément, un an après, de révéler les données brutes concernant ces fameux 174 premiers cas.

Pourquoi ?

De plus, l’équipe de l’OMS affirme maintenant :

WHO scientist who led Wuhan Covid probe reveals disease ‘was circulating widely’ and had mutated at least 13 times before Beijing reported it to the world (DailyMail)

On savait que la timeline officielle fournie par la Chine était totalement bidonnée.

L’OMS ne livre donc aucun scoop. Juste des confirmations.

Le nombre de mutations tend à démontrer qu’en réalité le couillonavirus avait commencé à se propager à Wuhan bien avant décembre, ce que nous savions déjà par ailleurs (les Français revenant malades après avoir participé aux Jeux mondiaux militaires à Wuhan en octobre, sans oublier le trafic routier autour des hôpitaux, mais oui…)