Après deux jours d’intenses négociations sanitaro-diplomatiques, l’OMS a pondu son petit étron : non, le Covipox n’est pas “à ce stade” une urgence de santé publique mondiale.
«Pour le moment, l’événement ne constitue pas une urgence de santé publique de portée internationale, qui est le niveau d’alerte le plus élevé de l’OMS», a déclaré le directeur général de cette agence de l’ONU, Tedros (source Le Figaro)
Les zélotes, les tatas hystériques et les covidéments sont en train de vomir sur Twitter et Fessebouc… Ils sont à la fois terrifiés, abattus et en colère. 😉
L’OMS pratique le fameux “en même temps”. Aussi s’empresse t-elle d’ajouter :
«Le comité d’urgence a partagé de profondes inquiétudes concernant l’échelle et la rapidité de propagation de l’épidémie actuelle», notant beaucoup d’inconnues sur le phénomène,
Bref il est nécessaire de décoder ce tsunami de conneries.
Cette fameuse liste d’urgences… contient 6 maladies uniquement (dont poliovirus, Ebola, Zyka, couillonavirus).
Il est clair que le Covipox ne peut pas (encore) rejoindre ce panthéon… Ce virus est -pour le moment- parfaitement bénin. Aucun traitement nécessaire.
Il suffit d’attendre quelques mois. A la rentrée, le produit sera mûr.
Avec le coup des “mutations” (car figurez-vous que le Covipox mute beaucoup et rapidement, contrairement à ce que la “science” nous disait des virus ADN… lire ici et là) on pourrait rapidement avoir une “version 2.0” beaucoup plus dangereuse.
La variole du singe qui avait le bon goût de rester bien sagement en Afrique de l’Ouest depuis 50 ans (à part 2 ou 3 excursions -vite avortées- aux USA, UK)… subitement se répanderait dans 40 pays ?
En un mois et demi ?
En 2022 ?
Juste après la terrible pandémie couillonavirale ?
Après deux ans de délires absolus et de guerre bactériologique menée par la Chine ?
Cela n’a AUCUN SENS.
C’est même totalement grotesque.
Voilà pourquoi, dès la mi-mai, j’ai immédiatement baptisé ce mystérieux virus voyageur… “Covipox” pour justement souligner la… continuité.
Il y a -j’en suis persuadé- une continuité (idéologique, utilitaire, systémique) entre le couillonavirus et ce nouveau virus (ou cette nouvelle version d’un vieux virus, peu importe).
Pour autant, il y a la réalité de cette maladie d’un côté (une simple MST qui se résorbe seule, sans traitement particulier et qui n’est absolument pas dangereuse)… et le spectacle, l’exploitation qu’on peut en faire.
Des lecteurs facétieux m’ont dit : “le Covipox ce n’est rien, quelques boutons, donc l’hypothèse d’une utilisation, d’une mise en scène ne tient pas, ça va faire pschiiit”.
Je ne suis pas tout à fait d’accord.
Car le Covipox a un avantage : il se voit. Des boutons. Des pustules. Cela renvoie à nos terreurs ancestrales.
Autre gros avantage : le sexe.
Le Covipox se transmet sexuellement.
Or le sexe est une fonction, un système de support si j’ose dire, essentiel dans notre espèce animale.
Et pas uniquement pour la reproduction. Fonction psychologique aussi (besoin de contacts via la peau, besoin de toucher et d’être touché en retour… un besoin évident dès la naissance).
Si un tel virus, même sans aucune gravité intrinsèque, pouvait être correctement mis en scène, alors un Système offensif et délétère pourrait casser ces relations essentielles entre les individus. Les isoler encore un peu plus…
Les séparer les uns des autres.
Je parle bien entendu en général.
Il est évident que si vous vivez en couple, fermé, alors vous pourrez continuer à vous envoyer en l’air comme des forcenés, le Covipox ne vous concernera en rien.
Je reformule : arme entre les mains d’un Système offensif et délétère, le Covipox pourrait avoir une grande utilité psychologique : maintenir la peur, séparer encore davantage les individus.
Le Covid a pu terrifier les vieillards ?
Le Covipox terrifiera les… jeunes !
C’est bien fait sur le papier, non ? 😉 Le “hasard “, forcément… Encore et toujours…
C’est pourquoi, à mon avis, on peut utiliser l’expression de “Sida light” pour décrire le potentiel disruptif, les effets psychologiques et sociaux de cette MST (pourtant parfaitement bénigne dans sa forme actuelle, répétons-le).
Je reformule : on vous a très facilement convaincus de rester enfermés chez vous pendant plusieurs semaines, d’applaudir les infirmières chaque soir aux fenêtres comme des crétins, de porter des masques partout, de respecter la “distanciation sociale”, de vous faire “vacciner” avec des produits parfaitement inconnus… pour une grippe qui ne concernait EN RIEN, qui ne menaçait EN RIEN la grande majorité de la population mondiale.
Voilà pourquoi… mettre en scène de simples boutons sur le pénis (et ailleurs) pour vous convaincre que vous allez une nouvelle fois mourir, que vous ne devez plus avoir AUCUNE relation physique avec autrui, que vous devez vous isoler totalement… est de l’ordre du possible.
J’ajouterais même : du probable.
Paranoïaque ? Moi ?
Probable aussi. 😉
Dans tous les cas, nous serons vite fixés (réunion de l’OMS jeudi).
Le fait même que l’OMS organise une réunion à propos d’un tel non-sujet en entretenant délibérement la confusion entre variole du singe (Afrique) et Covipox, prouve l’intention criminelle.
Du moins la complicité (l’OMS n’est qu’un outil, ce n’est pas elle qui décide).
Ils ont trouvé une séquence spéciale… à un endroit inhabituel.
This is by chance that we have discovered the presence of a 30-T long sequence in the middle of the USA2022 monkeypox genome, between the DNA-dependent RNA polymerase subunit rpo132 and the cowpox A-type inclusion protein, before a gene complement region that may become coding under circumstances that need to be specified by expert in the field
Le rôle de cette séquence n’est pas encore identifié.
The functional role of this pattern at the viral genome level is unknown to us.
Mais une chose est sûre selon eux : sa place est tout à fait inhabituelle.
While it long repeat are common finding at the terminaison of a genome, as for instance at the end of the monkey encephlitis virus, it is almost never encountered fully inside a sequence
Et enfin cette séquence “non orthodoxe”… se retrouverait (avec une faible probabilité de “hasard”) EN THEORIE .. euh… dans le bacille de la peste… le parasite qui provoque le palu… un champignon et une autre bactérie.
Sympa comme cousinage. 😉
search for this unorthodox protein sequence surprisingly retrieves a signal with an expectation value significantly beyond randomness (E≤0.001) for a match with an identical polypeptide reported as a hypothetical protein in Plasmodium falciparum, Yersinia pestis, Escherichia coli and Penicillium nordicum !
Attention, c’est du “pre-print”. Pas vérifié donc.
Cette séquence est peut-être totalement anodine. Sans fonction particulière.
Ou au contraire, elle est peut-être le “signe” que le génome de la variole du singe a bien été trafiqué en labo.
Le smoking-gun.
Ou alors Perez et Lounnas ont abusé du pinard ?
Bref, comme je l’avais écrit très tôt : c’est le bordel. Le Brouillard de la guerre. Et les scientifiques vont s’écharper pendant longtemps (comme pour le couillonavirus… 2 ans après toujours aucun consensus quant à son origine, l’arnaque chinoise du pangolin déclenchant l’hilarité).
Mais il y a une CERTITUDE ABSOLUE qu’il convient de répéter, sans cesse : la “variole du singe” à l’oeuvre depuis un mois dans une trentaine de pays est DIFFERENTE (et beaucoup plus “légère”) que la “variole du singe” endémique en Afrique.
Ce fait INCONTESTABLE n’est pas suffisamment répété dans les médias, et c’est déjà le signe d’une psyop, déjà le signe d’une narration trafiquée.
Pourquoi ?
Au final, deux explications principales subsistent :
virus muté naturellement
virus trafiqué en labo (gain of function)
Ajoutons dans la corbeille de la mariée :
hôtes modifiés (les Occidentaux queutards ont mangé trop de saucisses ou… se sont injectés trop de produits ARNm expérimentaux)
On peut aussi envisager un mix de tout cela.
Voilà. Rien d’autre. Ni les ondes 5G, ni la couleur du slip de Joe Biden (caca d’oie), ni le lifting de Poutine, ni le réchauffement climatique, ni les extraterrestres.
Ah si… Des rigolos commencent à dire… “et si le responsable était… le Covid ? “.