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Vent mauvais : la Corée du Nord accuse le Sud

Les enfants sont prévenus : faut pas toucher les ballons qui viennent du sud.

Il y a à peine un mois, nous avions vu à l’oeuvre le vent mauvais.

Une ville frontalière chinoise accusait en effet la Corée du Nord voisine de lui envoyer… le couillonavirus via… le vent (lire ici) !

Scandale. Effroi.

Et une bonne tranche de poilade bien grasse. C’est l’un des avantages de la terrible pandémie… Tout ce qu’elle touche se transforme en farce.

La Corée du Nord était ainsi mortifiée. Humiliée.

Aussi, il n’est pas surprenant de voir le Royaume ermite se… venger !

Désormais, c’est la Corée du Nord qui accuse… les affreux capitalistes mangeurs d’enfants de la Corée du Sud… de lui envoyer le coronavirus  via des “objets étrangers” amenés par… le vent !

Pyongyang blames Covid on ‘alien things’ . First patients allegedly infected after touching balloons launched across border from South (source Bangkok Post)

Voyez, on y revient toujours : le vent mauvais.

En particulier… des ballons. 😉

C’est tout le charme de l’Asie : ajouter une dimension mystico-branlatoire à un truc qui est déjà en soi burlesque : la terrible pandémie couillonavirale.

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Chine : le vent mauvais souffle !

Kim Jong-Un envoie le vent mauvais vers la Chine.

Après l’écrasement confinatoire de Shanghaï et le viol psychique de plus de 20 millions d’habitants, la Chine sombre dans le burlesque.

Une ville de 2,9 millions d’âmes située près de la frontière avec la Corée du Nord ne comprend pas.

Malgré un confinement depuis fin avril… des “covicas” (défense de rire) continuent d’apparaître dans la localité !

“Roger, on a un problème, on a toujours des tests PCR positifs !”

Sapristi !

Mystère et boule de riz !

Que se passe-t-il donc dans ce modeste village (à l’échelle de la Chine) ?

Les fonctionnaires locaux bas de plafond ont trouvé le COUPABLE (car il en faut un pour les échelons supérieurs du PCC, sinon ils seraient envoyés au goulag vite fait bien fait).

Le vent.

Oui le vent.

Vous avez bien lu.

Description scientifique du phénomène :

Le vent souffle de l’autre côté de la frontière, c’est-à-dire en Corée du nord qui patauge dans le couillonavirus (comme chacun sait).

Le vent traverse le fleuve Yalu qui sépare les deux pays, il franchit donc la frontière avec ses petits bras et cet enfoiré ne présente même pas ses papiers à la douane !

Clando en plus.

Il poursuit sa trajectoire délétère et arrive dans la ville chinoise de Dandong, et là, sans sommation, il attaque sauvagement des pauvres innocents dans la rue… et leur refile la chtouille le couillonavirus !

Tout est clair ? 😉

Voilà pourquoi on conseille aux habitants… de fermer leurs fenêtres.

Pour vous fendre la poire, la version anglaise publiée par le Bangkok Post est bien aussi.

Et si vous avez deux minutes, vous pouvez réviser vos classiques à commencer par Paul Verlaine.

Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.

(Chanson d’automne).

Et voilà.

Le vent mauvais.

Il suffisait d’y penser.

Allez ! On finit en chanson !

POST-SCRIPTUM

En parlant de Chine et de vent (?), la ville de Pékin annonce… 8 cas pour mardi. Tandis que Shanghaï fait tapis pour voir avec… 15 cas pour la même journée.

23 covicas sur un total de 47 millions d’habitants… c’est très chaud ! Ils sont à deux doigts du génocide viral.

Ils vont de nouveau tous mourir.

Bref, la croisière chinoise n’en finit pas de s’amuser.

Et nous avec.

J’ai une suggestion à faire aux fonctionnaires chinois. Ils devraient commencer à utiliser des… nombres décimaux.

Ils pourraient ainsi annoncer 4,3 cas à Pékin par exemple. Puis 0,7 ou 0,4… Puis le fameux ZERO serait atteint.

Et là, autre idée de génie (c’est banal chez moi) : les nombres négatifs ! Ca aurait de la gueule.

“Aujourd’hui à Shanghaï nous avons dénombré -12 nouveaux cas ! Grâce à l’action décisive du Parti, le virus est vaincu, et continuera à l’être encore plus -vaincu- dans le futur grâce aux nombres négatifs de nouveaux cas quotidiens.”

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Même le Fisc s’enfile une plume dans le fondement

Plus dangereux que le couillonavirus… plus vicieux que la variole du singe : la Plume Dans Le Cul !

J’interromps le cours normal de mes émissions (virus, pinard, sexe et ultra-violence) pour relayer une information de toute première importance.

The Treasury = le Trésor public aux Etats-Unis.

Janet Yellen = la gourdasse qui a présidé à la FED (la banque centrale américaine) avec le succès que l’on sait….

L’imperium US s’effondre sous un tsunami de dettes, de dollars imprimés, de sida mental, de virus trafiqués, de politiciens verreux, corrompus jusqu’à la moëlle, de guerres illégales, d’hystérie racialo-neuneu-gauchisante…

Mais au milieu de tout ça… toujours… l’obligation de lever les couleurs LGBT++.

Même… au Trésor public  !!!

(c’est quoi un inspecteur du Fisc avec une plume dans le cul ? Un inspecteur du Fisc).

Bref, la chute de l’Occident tourne à la farce boursouflée. A un gag façon Au Théâtre Ce Soir : prout.

Une gigantesque flatulence… couleur arc-en-ciel.

Perso, j’en ai plein le cul, c’est le cas de le dire.

C’est décidé, je passe à l’Ennemi.

Je deviens chinois. Russe. Je prends ma carte du PCC, j’adhère au KGB. Et j’embrasse Poutine sur la bouche (à Rome fais comme les Romains).

Poste restante Moscou. Zob.

Et je laisse le mot de la fin à Marsault.