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Saloperie et sida mental

Césarienne du Conseil de l’ordre des sages-femmes

Désolé de vous décevoir les gars, mais elle ne s’appelle pas Roger. Elle n’a pas de barbe. C’est une femme. Et une femme enceinte, donc biologiquement et culturellement, sacrée. Sans elle, vous ne pourriez pas boire du pinard, tirer des coups, jouer au poker, fumer des joints, construire des sous-marins  nucléaires, ni mater des films de cul. Alors, respect. Reprennez vos esprits et remballez vos pseudos vaccins géniques de merde.

Une fois n’est pas coutume, je publie un article envoyé par un lecteur  qui se heurte au terrible anti-spam gardant les portes de mon site (et sur lequel, hélas, je n’ai que peu de maîtrise).

Il s’agit d’un angle rarement vu : celui du Conseil de l’ordre des… sages-femmes.

Vous allez me dire : c’est pointu. 😉

Justement.

On connaissait les terribles actions collabos, fanatiques même, du Conseil de l’ordre des médecins.

Il est intéressant de voir que la covidémence touche même quelque chose de sacré, qui devrait le rester du moins, un principe vital même au sens ontologique : les femmes enceintes.

J’ai envie de rappeler au passage que, oui, ce sont les femmes qui portent la vie, grâce à des organes appropriés (utérus) qu’elles possèdent, et seulement elles. Pas des LGBT++– transgenrés, cinglés qui font chier la terre entière alors qu’ils ne sont qu’une infime minorité totalement dégénérés.

Et que les choses soient claires : il ne s’agit pas de sexe ici, ni de préférences sexuelles (je n’attaque donc pas les gays ou autres). Chacun et chacune est libre dans ce domaine, entre adultes consentants.

Je parle des tarés furieux qui tentent de redéfinir, recréer la nature en affirmant que le genre n’existe pas, que les principes masculin et féminin ne sont que des constructions culturelles/sociales, et qu’en conséquence un homme peut avoir… des règles.

Ou un utérus.

Vous allez me dire : on s’en tape, aucun lien avec la choucroute couillonavirale !

Si justement. Le lien est direct, évident.

C’est le même constructivisme pathologique qui détruit par pans entiers la civilisation occidentale : genre, ethnies, culture, covidémence… Le fil conducteur est constant, cohérent et n’est pas le fruit du hasard.

Mais, j’arrête, je vais encore m’énerver, c’est mauvais pour ma fonction cardiaque.

Pour en revenir au texte, c’est une preuve supplémentaire -et quelle preuve- de la corruption covidémentielle totale… qui a infecté toutes nos institutions médicales et scientifiques.

C’est gravissime.

L’idée d’injecter des produits géniques, aux effets long terme totalement inconnus à des femmes enceintes est encore plus violente que l’idée d’injecter des enfants.

C’est la même abjection mais un cran au-dessus : le foetus et sa mère.

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Je vous partage quelques extraits des newsletters envoyées par le Conseil National de l’Ordre des Sages-Femmes.

Âmes sensibles, s’abstenir. Et allez-y mollo sur les BN, sous peine de vomir votre quatre heures.

On commence par le 11/08 (ces gens ne s’arrêtent jamais). Après les sommations d’usage sur les suspensions en cas de non vaccination, on tombe sur ceci :

“VACCINATION DES FEMMES ENCEINTES

Désormais depuis le 12 juillet, les femmes enceintes peuvent se faire vacciner contre la COVID-19 dès le premier trimestre de la grossesse.

La vaccination des femmes enceintes est aujourd’hui fortement recommandée par l’ensemble des sociétés savantes.

L’état des connaissances sur les vaccins à ARN messager, utilisés auprès des femmes enceintes, révèle que la tolérance vaccinale des femmes enceintes est identique à celles de femmes non enceintes.

D’autre part, la balance bénéfices-risques est très largement favorable à la vaccination des femmes enceintes dès le premier trimestre de grossesse.”

Vous la sentez monter la nausée ?

Allez, on enchaîne avec des extraits de la newsletter du 14/09 et sa petite introduction de ‘bienvenue’ :

“Mesdames, Messieurs, chers confrères,

L’obligation vaccinale des professionnelles de santé entre en vigueur le 15 septembre. Cette disposition légale a malheureusement soulevé des contestations, y compris dans nos rangs. Pourtant, se vacciner est un devoir déontologique pour les professionnels de santé : il nous incombe de protéger les patients vulnérables.

Par ailleurs, une frange minoritaire de professionnels de santé met en doute le bien-fondé de la vaccination contre le COVID en dépit de l’unanimité des études scientifiques.

Aujourd’hui, il n’y a aucune hésitation à avoir sur la vaccination, notamment auprès des femmes enceintes. La balance bénéfice-risque est sans le moindre doute en faveur de la vaccination. En tant que professionnel de santé, nous ne pouvons pas contester les bénéfices de cette vaccination.

Aussi, notre profession doit impérativement participer aux politiques vaccinales car les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables en cas de COVID.

Enfin, je souhaite dire à celles qui hésiteraient encore à se faire vacciner de se renseigner auprès de sources fiables, de se tourner vers la science et d’adopter l’attitude responsable qui nous incombe en tant que professionnels de santé. Il en va également de notre crédibilité professionnelle.

Je compte sur votre engagement,

Anne-Marie Curat”

Responsabilité, science, source fiable : c’est beau comme du Karine Lacombe ! Message bien reçu, faut pas dire du mal des vaccins. C’est tout ?

Oh no, wait !

“Que risquent les sages-femmes qui participent à des actions de désinformation ou qui dissuadent leurs patientes de se faire vacciner ?

Les autorités qui en seraient avisées peuvent porter plainte contre celles-ci pour mise en danger de la vie d’autrui tandis que le conseil départemental peut porter plainte pour manquements déontologiques.”

Ah, OK, menaces, plaintes, toussa. C’est tout ?

Oh no, wait !

“ACTIONS A L’ENCONTRE DES PROFESSIONNELS PARTICIPANT A DES ACTIONS DE DESINFORMATION

Plusieurs conseils départementaux et sages-femmes ont informé le Conseil national de la diffusion par des membres de la profession de fausses informations relatives à la vaccination.
La circulation de telles informations constituant des infractions aux règles déontologiques et pouvant porter atteinte à la santé des patientes, des actions judiciaires et disciplinaires ont été prises.
Le Conseil national a décidé d’une part de signaler ces faits aux procureurs et aux ARS concernées en raison de la mise en danger de la vie d’autrui. D’autre part, le Conseil a décidé de porter plainte contre les sages-femmes identifiées devant la chambre disciplinaire.”

Ah oui, il manquait la délation ! Histoire de finir de remplir le sac à vomi.

La prophétie :

“L’obligation vaccinale s’arrêtera-t-elle à la date prévue pour la fin de l’application du passe sanitaire (15 novembre 2021) ?

L’obligation vaccinale pour les soignants restera en vigueur même si le passe sanitaire prend fin. Les personnes concernées qui ne satisferont pas cette obligation et qui ne disposent pas d’un certificat de contre-indication seront interdites d’exercice.”

Une éternité de bonheur qui s’annonce !

La communion pour tous :

“Une sage-femme ne désirant pas se faire vacciner peut-elle exercer uniquement en téléconsultation ?

Les sages-femmes sont tenues de se faire vacciner, quel que soit le cadre de leur exercice.”

Je rends hommage à notre hôte pour avoir parlé d’hostie vaccinale. Il a bien perçu les prémices de cette nouvelles religion qui brûle les athées et torture les mécréants. Tout en prônant la communion à la même seringue pour la bonne santé de l’humanité entière …

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Saloperie et sida mental

Jean-Pierre Rousseau qualifié chez les écolos

“Alors les gueux ! Vous saviez que Sandrine était radicale ?”

Joie. Jean-Pierre Rousseau se qualifie pour le second tour des primaires des écolos déments (source le Figaro).

Fidèles à leurs habitudes, les électeurs écologistes ont, une fois encore, créé la surprise [120 000]. À l’issue du premier tour de leur primaire, dimanche, le favori, Yannick Jadot, a bien terminé en tête avec 27,7% des voix. Mais sa future rivale au second tour, Sandrine Rousseau, a, elle, déjoué les pronostics. L’ex-porte-parole est en effet parvenue à se hisser à la deuxième position. Deuxième surprise : son score, 25,14% des suffrages, est très proche de celui de l’eurodéputé. En clair, rien n’est joué. Tout est ouvert pour le second tour, qui se déroulera entre le 25 et le 28 septembre prochain.

Que cette Sandrine, totalement déjantée et si “radicale” puisse être vice-présidente d’une université (!!!) ainsi que canditate virtuelle à l’élection présidentielle… ça interpelle au niveau des vingt culs, ça fait pouet pouet sous la coiffe, et cela illustre parfaitement la plongée de l’Occident dans un bain d’acide.

Les droitistes anars avaient appelé à voter pour Jean-Pierre Rousseau. Un acte à la fois quasi situationniste mais aussi politiquement très raisonnable.

Si Sandrine remporte la primaire… non seulement l’humiliation du crétin prétentieux Jadot sera totale (et le bonhomme mérite une grosse punition), le spectacle permanent sera assuré (Sandrine c’est la Folle du Poitou Ségolène, mais sous amphet’s, elle balance une hénaurme connerie par jour), mais en plus cela dynamitera ce pathétique parti “politique”.

Bref, votez Jean-Pierre ! Pardon Sandrine !*

(si vous n’avez pas capté la blague, sachez que Jean-Pierre, pardon Sandrine, a écrit un tweet pour rendre hommage à la carrière de… “Jean-Pierre Belmondo”).

Vous n’y croyez pas ? Lisez ici.

Quand on vous disait qu’elle dominait la compétition !!!

“Jean-Pierre Rousseau arme son pied. Yannick est saisi par la terreur. Il va se faire exploser le crâne par une femme. Enfin, Jean-Pierre”.
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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Bébés : le désir humide de Pfizer bientôt exaucé ?

Pour vomir, c’est la première porte à gauche avec le logo “Pfizer” dessus.

Pfizer prévoit de demander en novembre aux Etats-Unis… le “go” pour injecter les bébés dès l’âge… de 6 mois  !

L’administration Biden étant totalement woke, covidémente et vendue, un refus est difficilement envisageable…

Pfizer’s Covid vaccine could be rolled out to babies as young as six months in the US this winter, under plans being drawn up by the pharmaceutical giant.

The timeline will depend on the findings of in-house trials looking into whether the vaccines are safe and effective in youngsters aged six months to five years.

Pfizer was already planning to seek approval from the Food and Drug Administration (FDA) for the jabs to be given in children aged five to 11 by October.

But the latest comments confirm the firm’s intention to work its way down much younger age groups. They will be given a lower dose than adults. (source DailyMail)

Un tel jusqu’au-boutisme “vaccinal”, un tel fanatisme même, devra bien se payer un jour.

Forcément.

Au prix fort.