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Le modèle chinois appliqué en Thaïlande : les conséquences

La Thaïlande a fermé, hermétiquement, ses frontières le 3 avril 2020.

Et a mis en place courant juin un système d’isolation obligatoire (15 nuits dans un hôtel, payant, plus 2 tests PCR etc.) pour toute personne arrivant dans le pays (citoyens thais et étrangers).

Doublé d’un système de “visée” pré-départ. En clair, chaque personne souhaitant se rendre au Siam doit montrer patte blanche (visa, papiers, assurance médicale, test PCR, certifical médical, etc.).

De fait, seuls les étrangers ayant des liens familiaux, des liens de travail, et des retraités sont acceptés.

Quels touristes accepteraient de rester confinés 15 nuits dans un hôtel, avant de pouvoir profiter de leurs vacances au soleil ? 😉

Conséquences pratiques de l’application de ce modèle chinois ?

78 328 étrangers sont arrivés en Thaïlande entre le 9 juillet 2020 et le 6 février 2021. En sept mois (source)

En 2019, 40 millions d’entrées avaient été enregistrées… Ce qui signifie qu’en sept mois de Covid… il y a eu moins d’arrivées… que durant un seul jour moyen en 2019 !

On mesure donc le désastre économique.

L’industrie touristique qui était bien développée (Bangkok, Phuket, Pattaya, Koh Samui, Chiang Mai etc.)… a été littéralement annihilée (la clientèle domestique ne pouvant pas se substituer aux touristes étrangers).

La question que tout le monde se pose est : okay, mais combien de temps cela va durer ?

Et là le trouble se renforce. Il n’y a aucun début d’embryon de réponse officielle. Rien.

Le Grand Silence.

Aucun objectif, aucune “target”, aucune idée, même pas une simple déclaration de la part d’un ministre déjanté ou d’un fonctionnaire bas de plafond… Rien. La stase. On attend.

Quoi ? Personne ne semble savoir. Personne ne semble vouloir savoir…

Chaque jour quelques “cas positifs” (bidons, c’est à dire asymptomatiques) sont chopés parmi les quarantinés. Et quelques dizaines de cas locaux dans le reste du pays (hier par exemple 179)

15 000 cas ont été enregistrés depuis le début de leur “seconde vague”  le 15 décembre (expression impropre puisqu’il n’y a jamais eu de première vague).

Autre donnée pour fixer les ordres de grandeur : 6 645 tests PCR ont été effectués hier à Bangkok (une ville de plus de 10 millions d’habitants).

Bref, on parle d’un truc…. inexistant, d’un point de vue épidémiologique. Une pantalonnade. Inutile de rappeler le bilan des décès (80 en un an pour un pays de 69 millions d’habitants…).

Une farce donc et pourtant mise en scène avec le plus grand sérieux par les gouvernements locaux… Et sur la durée (1 an), à l’ombre du grand patron du Nord….

Je rappelle la théorie la plus pertinente pour expliquer ces incroyables différences entre Asie et le reste du monde (lire impérativement cet article).

POST-SCRIPTUM

La fermeture des frontières ne détruit pas uniquement le tourisme. Les investissements étrangers également. Ainsi, le BOI (Board of Investment) vient de publier les chiffres pour 2020.

Chute de 54 % de ces FDI ! A 231 milliards de THB (source Bangkok Post). Ce pognon est très important car chaque dollar investi en Thaïlande produit des emplois (directs et en sous-traitance).

Les 3 plus gros investisseurs : Japon, Chine, USA. Si vous voulez créer une usine en Thaïlande et qu’on impose 15 jours d’isolation forcée à chacun des gars que vous envoyez là-bas… il est évident qu’il y a de quoi refroidir les ardeurs les plus vives…

Vous ne le savez peut-être pas, mais l’industrie automobile en Thaïlande est très développée (grâce aux Japonais). Le pays exporte massivement des pickups.

Bref, avec le sourire (mais niais), la Thaïlande a mis un fustil automatique sur sa tempe et tire en permanence.

En mode rafale.

10 replies on “Le modèle chinois appliqué en Thaïlande : les conséquences”

Baisse du PIB imposée mondialement.Soit un diktat écologique(je n’y crois pas),soit cacher le désastre financier derrière la crise économique provoquée(j’y crois plus fort).

Une tentative d’explication concernant la COVIDEMENCE, notamment de la chute drastique de l’industrie touristique via la fermeture des frontières et des hôtels: la diminution, en cours d’étude par l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) de la production de pétrole de 40%, toutes origines confondues, et comme le pétrole de schiste se casse la gueule, le pétrole conventionnel qui sert énormément à nos engins motorisés est le premier visé.
Devinez la suite. Par les confinements et masques, le troupeau sera bien gardé et nos gardiens disposeront de toute l’énergie nécessaire à leur petite administration mondiale.
Elle est pas belle la vie!
Tiré initialement du site LA CHUTE-LAPSUS, voici le lien initial:
http://www.picenergie.org/index.php/energies-fossiles/peak-oil/1142-energies-economie-petrole-et-peak-oil-revue-mondiale-fevrier-2020.html

C’est en effet l’explication de fond la plus saillante.

Nous serons rapidement fixés.

L’explication “délire collectif / dur de se dédire” est encore possible.

Mon juge de paix perso : s’ils relancent la covidémence à l’automne prochain (après pause festivale évidente)… alors là… les carottes, les navets, les patates et le riz… tout sera cuit ! Et il sera temps de paniquer.

Une explication par l’auteur de “ceci n’est pas un complot” Bernard Crutzen (je résume ce que j’en ai retiré) :

Les mass media ont vendu et survendu la covidémence pour capter l’attention de leurs auditoires. L’audimat paie.
La terreur n’en est que la conséquence la plus visible.

Les politiques, qui n’ont de pouvoir politique que celui de “coller” aux exigences des groupes de pression, restent à la “ramasse” avec en permanence un train de retard.

Précisions personnelles :
– les mass media sont propriétés des groupes de pression
– la presse décrit et oriente les politiques à mettre en oeuvre (planification temporale) à destination des citoyens (il faut les convaincre)
– Les programmes “politiques” ne sont pas le fait de nos politocards, mais d’un travail à “quatre” mains (on va dire “les groupes de pression”) ce qui rend l’adaptation à un nouveau paradigme social pour le moins “délicat” si l’on veut respecter la “démocratie”.

Politocard ? on pourrait dire “idiot utile” mais ce serait se moquer des idiots. Utile ? 😉

Permettez-moi de… ne pas être d’accord.

Il est faux d’affirmer que les politiciens sont à la ramasse, et seraient au fond des victimes…

Une preuve :
https://covidemence.com/2021/02/05/build-back-better-le-slogan-des-covidements/

Autre preuve :
Neil Ferguson, le cinglé anglais, qui est à l’origine (prétexte) de la politique adoptée par Boris Johnson.

Le nombre magique ? “Un demi million de morts”.

Okay. En mars dernier, Boris a très bien “croire” ce rapport.

L’erreur est humaine. Après tout il ne passe pas ses nuits comme l’autre taré à faire des modèles basés sur des règles de trois à la con.

Fair enough.

Mais… et c’est là où ça cloche : un an après Boris continue d’écouter le “scientifique” Neil Ferguson, ou plutôt continue de l’instrumentaliser. Ce dernier est toujours en poste. Il aurait dû être éliminé… Pas du tout.
Et le gvt anglais continue de prendre en compte ses rapports et ses prévisions, toutes plus foireuses les unes que les autres.

Qui se sert de qui ici ? Qui est le tapin, qui est le mac ?

La réponse est évidente. Neil est un idiot utile, et c’est l’appareil d’état anglais qui l’essore comme une vieille serpillère usagée (Neil étant con comme une enclume, il est ravi, et affiche un sourire béat. On rappelle qu’il se trompe systématiquement depuis… près de 20 ans… Eh oui le couillonavirus n’est pas son premier fait d’arme !).

Autre preuve : les “400 000 morts” de Macron en novembre. Là aussi, pépère s’il n’était pas complice, aurait dû virer sur le champ le fanatique qui lui a communiqué ce nombre grotesque.

Et ?

Rien.

Autre preuve : l’Allemagne. Qui a commandé le rapport “1 million de morts” ? Merkel. A qui ? Des “scientifiques” neuneus.

Les “scientifiques” sont les idiots utiles du couillonavirus.

Ce sont les politiciens (et leurs alliés les hauts-fonctionnaires), qui sont les vrais criminels, car ils instrumentalisent les premiers.

Alors vous pourriez me dire : Boris, Manu et Angela sont des employés. Eux aussi.

C’est peut-être vrai.

Mais au bout, il y a bien un “patron”. Et lui ou eux ne font pas cela pour de l’argent (la thune dégoulinait bien avant le couillonavirus).

Les patrons, les vrais, font de la politique.

Le couillonavirus n’est pas sanitaire.

Il est politique.

Il n’est que politique.

Je reprécise Docteur :
la première partie de mon précédent post correspond à l’opinion formelle de l’auteur du film “ceci n’est pas un complot”.
La seconde partie colle à mon raisonnement que je complète ci-dessous.

Nous vivons dans un monde ou le pouvoir est exercé par des psychopathes qui s’entourent de “collaborateurs” plus vils qu’intelligents et dont l’ascension sociale a largement dépassé les limites de leurs compétences (A).

Dois-je énumérer les compétences, par ordre hiérarchique décroissant, des principaux membres de notre gouvernement pour démontrer que l’on touche très (très) rapidement les fonds abyssaux ? La véritable difficulté serait d’en trouver un seul qui sorte du lot et qui serait au service de nos concitoyens.

Ce choix est systémique. Celui qui dirige doit avoir un ascendant sur ses “subordonnés”. Les moyens utilisés sont la peur (les citoyens subissent au quotidien la covidémence), la corruption (d’élites sélectionnées selon le principe précédent (A)), la (ré)pression (exercée par exemple sur le GJ, sur le médecin de ville), la manipulation mentale (par une propagande médiatique coordonnée)…

Nous savons (largement démontré depuis des lustres) que le pouvoir politique exécute un programme définit avec ou sans lui.

Comme dans toute bonne enquête, il faut chercher à qui profite le crime. Comme souvent il s’agit de profits colossaux qui se chiffrent en milliards. Rien qu’en europe pour le vaccin c’est au bas mot 2,3 milliards par an, le remsedivir plus d’1 milliard dépensé en pures pertes.

Pour le fun l’échelle :
Un million de secondes = 11,6 jours
Un milliard de secondes = 31,69 années

Savez vous pourquoi les politiques adhèrent aux principes bidons de la loi économique du ruissellement ? simplement car elle ne s’applique qu’aux bons élèves méritants qu’ils veulent devenir.

Les changements évoqués pour des Boris, Manu et Angela ne sont que la conséquence la reprise en mains des donneurs d’ordre sur leurs subordonnés. Les “scientifiques” accrédités n’ont aucunes raisons de s’inquiéter, ils sont “dans le système”.

J’illustre par un petit exemple : souvenez vous des écoutes téléphoniques des principales chancelleries européennes. Muti avait “ronflé” le lundi. 3 jours plus tard, après s’être fait agripper les “corones” qu’elle n’a pas (pas besoin d’un cours d’anatomie), elle rentrait dans le rang. L’américain (le notre qui lui n’en n’a probablement pas) n’avait pas moufté.

“Les patrons, les vrais, font de la politique” certes mais comme pour les grandes entreprises nous avons toujours à faire à des hommes de paille.

Le postulat (principe d’incompétence) et le mobile (l’argent) sont communément partagés. Ils sont donc à écarter, l’affaire est plus délicate.

La solution délire collectif me paraît la plus probable, l’ autre demande des neurones dont les politiciens d’ un bout à l’ autre de la planète font tous les jours la preuve qu’ ils en sont dépourvus, comme disait Coluche “ils n’ en ont même pas un échantillon sur eux”… mais je peux me tromper…

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