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Bidonnage des données : la Cour des Comptes enfonce le clou

Décidément… ça se voit un peu trop… Quoi ? Le bidonnage systématique, organisé des données relatives au couillonavirus, depuis mars 2020.

Cas, morts… et bien entendu les hospitalisations, sans oublier les fameuses “réanimations” (“soins critiques” en réalité, ce simple jeu sémantique fut le premier bidonnage, lire ici).

La presse en avait parlé ici ou là. On comprenait bien qu’avec les sales gueules de Salomon et Olivier Variant… le truc ne pouvait pas être clair.

La Cour des Comptes avait déjà balancé un missile (lire article ici). Elle récidive avec un deuxième rapport, publié le 22 septembre (accessible ici).

Parmi celles-ci, la cour pointe à la page 58 du rapport que le chiffre de «taux d’occupation des réanimations» présenté par les autorités publiques est «opaque», et ce à trois égards : d’abord, «il ne s’agit pas de réanimations mais de l’ensemble des soins critiques», ensuite, «il s’agit des lits occupés par des patients Covid, à l’exclusion des autres patients». On ne sait, dès lors, si la référence est celle des «capacités en soins critiques (ou en réanimation ?) d’avant crise». Enfin, toujours selon la Cour des comptes, «le nombre de lits de réanimation effectivement autorisés et armés n’est jamais publié». (source RT France)

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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Angleterre, hospitalisés Covid : énième bidonnage des chiffres

La spécialité britannique : le silly walk chiffré.

Cela devient un running gag. Un mauvais.

Toutes les données -importantes- relatives à la crise couillonavirale sont bidonnées.

Ou si vous préférez, en langage moins fleuri, délibérement exagérées, dans une optique politicienne : la prolongation de la covidémence.

C’est une partie du fameux “quoi qu’il en coûte” du gland aussi psychotique qu’ingénu qui squatte le palais de l’Elysée.

Le Royaume-Uni reconnaît ainsi périodiquement des bidonnages… (lire ici, , encore ici, encore , ici et même ) mais plusieurs mois après, une fois le mal fait, une fois les objectifs politiques atteints.

Dernier exemple en date : un quart des “hospitalisés Covid”… n’ont en fait rien à voir avec le… fameux virus.

Ce n’est pas une surprise, nous le savions déjà et sous de nombreuses latitudes. Mais c’est encore plus goûtu lorsque l’admission est officielle.

Data shows 6,146 NHS beds taken up by Covid positive patients on Sept 14, latest health service data shows
But just 4,721 patients (77%) were primarily being treated for coronavirus, with rest possibly ‘incidental’ cases (source DailyMail)

Cette petite plaisanterie dure depuis au moins la mi-juin (lire article Lockdown Sceptics).

Le nombre des hospitalisés est une des données essentielles (avec les “cas”, les lits en réanimation, et les décès).

Cet indicateur est utilisé par les gouvernements pour justifier le caractère exceptionnel de la crise, et donc des mesures prises, par les médias (pour entretenir la pétoche) et plus largement par tous les glands covidéments.

Ainsi, en Angleterre, on a bourré le mou au public pendant tout l’été avece ce slogan :  “5 000 hospitalisés Covid”.

Alors qu’en réalité, il aurait fallu dire : 3 750.

Les mêmes manipulations ont lieu en France (en particulier sur les lits de réanimation, lire ici).

Enfin, notons que toutes ces “erreurs”, ces algorithmes faux, ces “estimations“, ces “problèmes“, etc… vont systématiquement dans le même sens.

Celui du grossissement de la menace, jamais l’inverse.

Jamais.

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Chiffres Saloperie et sida mental

Données par tranche d’âge : les fonctionnaires toujours en vacances

“Je suis au service de l’état, c’est-à-dire de moi, avec votre pognon, et je vous emmerde.”

La semaine 26 (début juillet) fut la dernière où l’agence Santé Publique France publia des données d’hospitalisations et de réanimations couillonavirales par tranche d’âge.

Ses points épidémiologiques hebdomadaires faisaient régulièrement 35 pages… ils sont subitement passés à… 6.

Lire mon article ici : https://covidemence.com/2021/07/25/reanimations-les-donnees-disparaissent/

On me rétorqua que c’était parfaitement normal, les fonctionnaires épuisés par “la guerre contre le Covid” étaient tous partis en vacances, partouzer aux Baléares, et que donc, prout, pour les rapports hebdos complets… on pouvait s’assoir dessus (au sens propre et figuré).

Il faudrait donc attendre leur retour, le teint bronzé, la bedaine rebondie et les couilles vidées (avec notre pognon).

D’accord.

Connaissant ces crapules, je savais bien entendu que ce n’était pas le sujet… 😉

Nous sommes mi-septembre et Santé Publique France… se moque toujours de nous en publiant ses rapports rikikis, lui permettant de dissimuler des données importantes.

Vous pouvez le constater avec le dernier rapport publié (semaine 35) :

https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/373773/3154180

Avant ce tableau, facilement accesssible, était très parlant. Depuis début juillet, il a disparu.

Ces données gênaient le gouvernement, car elles ridiculisaient le scénario officiel selon lequel le variant indien attaquait des personnes plus jeunes…

Or ce leitmotiv fut répété à partir de juin. Il s’agissait de plomber l’été et d’entretenir la peur.