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Saloperie et sida mental

Devinette : entre un bar et un quartier en flammes, où vont les flics ?

Gueux : on touche. Emeutiers d’origine immigrée : on ne touche pas. Quand la covidémence s’accouple avec la lâcheté et… le cynisme.

Paul Joseph Watson, pourtant si terriblement anglais, synthétise parfaitement la covicouille française du jour.

Riot police storm paris bar over no social distancing… … while actual riots were taking place accross the rest of the city.

Eh oui.

Pendant que les futurs Molière les jeunes supporters déçus du PSG brûlaient des voitures et pillaient des magasins dans le quartier de la Rue François 1er… les flics restant soigneusement en retrait (trop dangereux hein)… les mêmes flics anti-émeutes, les BRAV-M, pénètraient en force à coups de matraque dans un bar parisien où des gueux ne respectaient pas la distanciâaaaaaaaaaation sociâaaaaaaaaaaaaale.

La vidéo est ici.

Et ce n’est pas un accident isolé. J’ai rappelé ici les précédents actes de covidémence des forces de sécurité (des gendarmes allant même jusqu’à verbaliser… des policiers pour non-port du masque !)

Et les vilaines “incivilités” des jeunes de banlieue ne pouvaient bien entendu pas du tout être anticipées. Ca ne fait jamais que… 39 ans que cela se produit régulièrement (émeutes des Minguettes, les Maghrébins déjà, 1981, eh oui ça passe vite).

Une chose à ne pas oublier. La covidémence s’accompagne souvent d’une odeur… très prononcée de foutage de gueule absolu.

Et c’est bien ce qui la rend insupportable.

Et pendant que les autres Européens manifestent contre la covidémence et le viol de leurs libertés, les Français eux… sont à la plage. Pardon.

On a les priorités qu’on peut.

Au fond, le mougeon la mérite bien.
Quoi ? La matraque dans sa gueule.
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Chiffres Saloperie et sida mental

Je pleure, tu pleures… il devrait fermer sa gueule

“The horror…. The horror… J’aime l’odeur du napalm sur les médias au p’tit matin”

Le Figaro ment. Le Figaro est allemand.

Presque.

Jour après jour les médias (le mot “presse” ne correspond plus à aucune réalité tangible)… entretiennent la peur couillonavirale.

Chaque titre, chapo, article, reportage…. Tout est biaisé, tordu, grossi, orchestré, téléphoné.

Le Figaro est particulièrement zélé dans cette campagne.

Ainsi un article du jour : “la planète pleure plus de 800 000 morts“.

Là vache, il semble que celle ou celui qui a commis cette merde vienne de Jupiton.

Chaque année, 57 millions d’êtres humains meurent. De toutes les façons possibles et imaginables mais principalement de maladies bien entendu.

Voilà. Donc on vous dit de pleurer 800 000 covidécès (nombre totalement bidonné, lire ici et ici et et là encore)… alors je pose la question : on fait quoi pour les 56 autres millions ?

On se suicide ?

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Humour Saloperie et sida mental

On vous explique comment baiser : maintenant les clubs libertins

“Marcel, Claudine, Françoise, et moi tous ensemble… Je savais que ce ne serait pas une bonne idée. L’ARS vient de nous gauler… euh de nous baiser.”

Ma série “On vous explique comment baiser” est très populaire. 😉

Nous avions commencé très fort avec le CDC canadien qui faisait la promotion des glory hole dans le cadre de la covifolie (lire ici pour édification).

Le mot “série” devient approprié aujourd’hui, puisque les fonctionnaires bas de plafond de l’ARS Occitanie viennent de mettre leur nez dans des draps… pas très propres. Ou si vous préférez une absence totale de vêtements !

Jugez plutôt.

Alerte au Cap d’Agde (Hérault), célèbre village touristique naturiste, où la circulation du nouveau coronavirus est jugée “très préoccupante” par l’Agence régionale de santé (ARS). Selon notre correspondant local Guillaume Mollaret, les 18 clubs libertins de la plus grande station balnéaire d’Europe vont être fermés par mesure de sécurité. Un arrêté préfectoral devrait être pris dans les prochaines heures. Sur une seule journée, près de 30% de cas positifs ont en effet été enregistrés, a affirmé l’ARS Occitanie dans un communiqué dimanche. Ainsi, mercredi dernier, 57 nouveaux cas positifs ont été confirmés sur les 244 résultats validés.

(source Le Figaro)

Le 21 août, la situation couillonavirale en France était déclarée “préoccupante“.

Quelques jours après, chez les partouzards à poil, la situation est devenue “très préoccupante“.

Indubitablement, il y a un effet… Viagra !

Toutes les covicourbes importantes baissent (réanimations, morts), mais la “préoccupation” -elle- grimpe. Enfin, affiche une très forte érection.

Il y a donc une grosse covicouille dans la soupe aux fruits de mer.

En outre, les fonctionnaires de l’ARS ont découvert une corrélation de dessous les fagots… euh… des buissons (faggots, ça pourrait prêter à confusion…).

«Parmi les personnes volontaires pour ce dépistage, le taux de cas positifs chez les personnes ayant fréquenté le village naturiste est quatre fois plus élevé que celui des personnes ayant séjourné dans la ville d’Agde, mais n’ayant pas fréquenté ce village», souligne l’ARS.

C’est du lourd. C’est donc statistiquement prouvé : le cul ça infecte. CQFD.

Et du couillonavirus (le nom est décidément parfaitement trouvé) au Sida, hein… inutile de vous faire un dessin…

Toutefois… un détail surprend… “Parmi les personnes volontaires“… Vraiment ?

Donc, si il y a eu 4 fois plus de volontaires chez ceux ayant fréquenté les nudistes salaces que chez ceux ayant préféré l’abstinence, ça expliquerait éventuellement pourquoi il y a 4 fois plus d’infectés dans le premier groupe, non ?

Au final, le nombre d’infectés est peut-être strictement équivalent dans les 2 groupes… Voire même plus bas chez nos coquins de libertins que chez ceux qui vont se coucher à 21 heures (facteurs âge, classe sociale, ethnique, état de santé car les possédés de la fesse sont davantage suivis médicalement parlant, etc.).

Non ? Un petit peu ? Eventuellement ?

😉

C’est que pour bosser dans une ARS, faut en avoir sous la casquette, et surtout maintenant on le sait : dans le slip aussi !

Allez, on oublie cette petite manipulation erreur méthodologique.

“Je travaille à l’ARS Occitanie mais chut ne le dites surtout pas à mes parents. Ni à tata Henriette, ni à tonton François.”