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Pays Saloperie et sida mental

USA : Biden prêt au reconfinement

L’inspecteur Harry Callahan ne vote pas pour Biden. Il vote Smith & Wesson modèle 29 .44 Magnum.
Et surtout, surtout… il n’aime pas se faire con-finer.
“You’ve got to ask yourself one question. Do I feel lucky ? Well, do ya, punk?’”

Cette position de Biden, illustre parfaitement la farce politique qu’est la covidémence. Et le schisme bien réel : les gauchistes en général sont davantage atteints que les individus dits de “droite”.

Pourquoi ?

L’explication est adamantine : le constructivisme.

En permanence, l’homme de gauche veut modeler, définir, organiser la vie de son prochain. Lui ordonner quoi manger, que faire, que penser, comment s’habiller, comment travailler, etc. C’est plus fort que lui.

L’homme de droite peut verser dans ce travers, bien entendu, mais à un degré moindre.

Donc, Biden, le candidat démocrate qui sucre les fraises, n’hésite pas à déclarer à la télé US nationale :

‘I would shut it [America] down; I would listen to the scientists”

Interview ABC

Quand on sait que même Macron, pourtant complice, déclare qu’un reconfinement national… n’est plus envisageable.

Mais surtout, quand nous avons aujourd’hui toutes les données nécessaires à la compréhension de cette pseudo “pandémie” !

Biden aurait fait cette déclaration en mars dernier… on aurait pu à la limite le comprendre.

Mais en août ?

Biden ne fait que “filer” la covidémence, pour attaquer Trump en vu des élections du 3 novembre.

Et matière couillonavirale, comme les Fingers de Catbury, plus c’est long, plus c’est bon.

Et tout le camp démocrate, à tous les échelons (maires, gouverneurs), sans oublier les médias suivent rigoureusement le même script.

Ils n’ont rien à dire sur l’économie, la Chine, les emplois industriels détruits aux USA, l’immigration illégale, la sécurité intérieure… C’est uniquement “virus, virus, virus”.

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Pays Saloperie et sida mental

USA : et maintenant les cônes pour chien

Une nouvelle race de clébard dans les restaurants du Maine. Cauchemar ? Non, le “nouveau normal” envisagé par le cerveau malade d’un gouverneur.

Chaque jour, on pense avoir touché le fond.

Hélas, non.

La dernière nouvelle stupéfiante nous vient du Maine (Etats-Unis).

Madame la gouverneur, une démocrate cela va de soi, vient de déclarer en parfaite covidémente :

“front-of-house staff in restaurants who choose to wear face shields must now wear them upside down so that they are attached at the collar instead of the forehead, so that their breath is directed up, not down”

(source ZeroHedge)

Lorsque le personnel dans les restaurant porte un masque-visière celui-ci doit être inversé, et donc attaché par le cou, au lieu du front.

C’est donc la collerette ou “cône” (voire “carcan”) pour les clébards (lorsqu’ils subissent une opération chirurgicale pour éviter qu’ils se lèchent).

“Bonjour Madame, bonjour Monsieur. Ce midi nous avons une excellente blanquette de veau, accompagnée de son riz sauvage de Camargue. Je vous la recommande”.
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Saloperie et sida mental

“Ceci n’est pas un masque”

Anecdotique, certes.

Mais… “Quand même !“, comme s’exclamait Manolo Valls, le franco-catalan agité et ex-Premier ministre.

Voici une publicité de VistaPrint, grosse boîte néerlandaise de produits marketing (objets, impressions etc.).

A voir ici : https://www.youtube.com/watch?v=RGIF9Pj4vqM

Ce qui est frappant c’est la vitesse, la conviction avec laquelle toutes ces grandes sociétés embrassent, littéralement, toutes les conneries pourvu qu’elles soient à la mode, au nom du virtue signaling.

Et en y ajoutant, souvent, un fumet orwélien assez prononcé.

“ceci n’est pas un masque” = “la guerre c’est la paix”.

Si c’est bien un masque. Le mot approprié est “masque”.

Tu peux spiner le truc autant que tu veux… c’est un masque.

Après, quant à son usage ou sa signification, là il y a matière à discuter.

On notera au passage, une véritable obsession, le conditionnement à l’intérieur du conditionnement : deux plans montrent un masque coloré façon LGBT, et sur le museau d’un enfant, c’est encore plus fun (0:22 et 0:25).

Je reconnais qu’en parlant de cette campagne on fait de la réclame pour la marque.

Mais après tout, fuck it, comme on dit au Palais de l’Elysée.

C’était simplement pour l’édification des masses populaires : vous.