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Asie Humour

Quand le Covid joue au volleyball

Le Covid -lui- sait où il faut envoyer le ballon !

Dix heures du matin, ma villa au bord de mer est inondée de lumière.

J’ouvre une bouteille de Crozes-Hermitage et je me pose sur le sofa.

Oui, je sais…

Avec ma compagne, nous suivons les 31èmes Jeux d’Asie du Sud-Est, organisés cette année au Vietnam.

Chouette, j’adore le Vietnam.

Un match de volleyball Thaïlande/Indonésie est retransmis en direct à la télévision.

Re-chouette.

J’adore le volleyball… mais féminin exclusivement.

Belles femmes longilignes, aux muscles fins et ciselés, en mini short très moulant et qui -avec une certaine espièglerie- se tapent sur les fesses à chaque point gagnant (ou pas d’ailleurs).

Mais je m’égare ! Ce n’est pas le sujet. 😉

A noter que les joueuses indonésiennes, en majorité, portent un foulard (noir) sur la tête et dissimulent leurs jambes sous un collant (noir).

Après une bouteille descendue, je remarque une chose bizarre. Les équipes ne changent pas de côté après chaque set.

Le vin du Rhône me jouerait-il des tours ?

Je me tourne alors vers ma compagne et lui lance :

Amour brûlant et phare de ma vie, ma poulette adorée, mon virus galant préféré, ma myocardite céleste, pourquoi les joueuses ne changent-elles pas de côté, nom d’une pipe ?

Elle écoute les présentateurs thaïs qui baragouinent dans le poste, expliquant le pourquoi du comment de cette étrangeté.

Puis elle sourit. Ses longs yeux de Siam s’illuminent. Elle sait d’avance qu’elle va me faire plaisir.

C’est à cause du… Covid. Pour réduire les risques de contamination.

A cet instant, je comprends subitement deux choses :

  • 1 elle est bien la femme de ma vie.
  • 2 la semaine couillonavirale commence très bien, je dois m’ouvrir une seconde bouteille de vin.
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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Soignants : toc, toc, toc c’est l’heure de la piqûre

Soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir exercer, les professionnels de santé vont devoir mettre à jour leur schéma vaccinal par l’injection d’une nouvelle dose. Faute d’injection, ils seront interdits d’exercer. (source France Info)

Voilà pourquoi les soignants virés, les dangereux terroristes zérovaxx, ne seront pas réintégrés !

Car le dosage obligatoire doit perdurer.

Et pourquoi cela ?

Car il s’agit du “ventre mou”.

Vacciner une infirmière est facilement justifiable (puisqu’elle s’occupe de malades, etc.).

Une infirmière, un médecin sont censés s’occuper également de leur propre santé… D’où le dosage pour eux-mêmes.

Pour le plus grand nombre, et par ce jeu d’association d’idées, les injections paraissent ainsi logiques.

Et donc à peu près acceptables.

Cela permet d’animer la covidémence, de l’incarner (car c’est quoi une terrible pandémie sans “vaccin” ?) mais surtout de faire accepter plus facilement les injections… parmi le reste de la population.

Car l’objectif -politique- n’a pas bougé d’un iota : injecter l’ensemble de la population, même les nourrissons, supprimer tout groupe contrôle.

(La FDA aux Etats-Unis travaille en ce moment sur les autorisations pour le dosage… des bébés !)

Seules les méthodes et les calendriers changent (les élections française mettant par exemple le processus forcément entre parenthèse, et plus largement la saison estivale en Europe).

Accepter la présence de zérovaxx dans les hôpitaux, en les réintégrant, casserait évidemment cette fragile mécanique.

C’est aussi simple que cela.

Nos condoléances à ces milliers de personnes.

Ce sont des otages.

Des victimes expiatoires.

Quant à ceux qui ont déjà accepté l’hostie couillonavirale (convaincus ou forcés) et qui vont devoir continuer… nos condoléances également.

Et même plus fortes… 😉

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Humour

Après le Covid ? Le Frigovid

(honteusement pompé quelque part sur l’Internet)