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Couillonavirus couteau-suisse : cause de la violence en France

Le Covid ça sert à tout ! Même les trucs les plus osés….

Il suffisait d’y penser ! Gérald Moussa Darmanin, dit “ministre de l’Intérieur”, a été touché par la grâce.

La grâce couillonavirale.

Si, si.

Comment expliquer l’ensauvagement de la société française ? L’explosion de violences, au quotidien ? Les multiples “faits divers”  quand ce ne sont pas des actes “terroristes” qui ensanglantent le pays ?

C’est la faute du virus !

Pardon, de la “crise sanitaire”.

Eh oui. Les pauvres musulmans, mineurs isolés et autres étrangers plus ou moins clandos… sont super énervés. En cause : les confinements, les restrictions de liberté, le couvre-feu, la fermeture des bistrots, l’interdiction d’aller visiter mamie dans son ehpad etc.

Ca leur tape sur le système.

Et donc… bien entendu, ils se déchaînent sur… des pauvres Français, pardon des pauvres blancs.

Jeux de couteaux, jeux de marteaux, défonçage de gueule à 10 contre 1, viols dans les rues, lynchages, meurtres de policiers, attaques de pompiers à répétition, etc. C’est vendredi tous les jours !

Tout est donc de la faute du couillonavirus. Sacré virus !

Le Figaro est absolument affirmatif :

Dans un télégramme envoyé le 4 juin, le ministre de l’Intérieur impute «le développement de faits extrêmement violents» aux «conséquences de la crise sanitaire».

Hein ? On a les yeux qui piquent.

Le journal enfonce le clou et le pieu :

La France flambe de toute part et Gérald Darmanin tire le signal d’alarme. Dans un télégramme adressé le 4 juin dernier aux préfets et que Le Figaro s’est procuré, le ministre de l’Intérieur est formel: «Depuis le début de l’année, nous assistons au développement de faits extrêmement violents » qui, assure-t-il, «sont vraisemblablement liés aux conséquences de la crise sanitaire dont notre pays est en train de sortir».

Voilà. C’est du lourd.

Inutile de commenter plus avant… 😉 Mais il y a un truc magique.

Quand la “crise sanitaire” sera passée, grâce aux gazillons de vaccins…. comment le petit Moussa fera… pour justifier la violence au quotidien ? Hein ?

Pardon… j’oubliais… Il n’aura pas besoin de se déjuger ou d’être humilié publiquement pour son bon gros sida mental… puisque la covidémence ne cessera jamais !

Moussa, un de plus, fait partie de ces politiciens qui voient le futur

Le Reich Couillonaviral de 1 000 ans.

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Inde : zut le génocide est fini

… Quel dommage.

C’est pas drôle ! Toutes les courbes baissent fortement (covicas en bleu, covimorts en rouge, source).

En plus ces sauvages utilisent de l’ivermectine. Beurk !

Alors qu’en avril, c’était la covidapocalypse. Les médias parlaient tous du terrible génocide couillonaviral et de son cheval galopant, le variant Delta indien…

Des cadavres brûlés (oui c’est l’Inde), des cadavres qui flottent dans le Gange (oui c’est l’Inde), un système hospitalier plus qu’aléatoire (oui c’est l’Inde), des pauvres très pauvres (oui c’est l’Inde), etc.

Bref, les médias covidéments découvraient avec gourmandise ce pays de 1,36 milliard d’habitants.

Et ça tombait bien, on commençait à s’ennuyer en Occident (Biden le président du Bien ronronnait en caressant les cheveux des petites filles) et il fallait motiver les petits blancs pour faire la queue au vaccinodrome.

L’Inde était ainsi le moyen idéal pour souffler sur les braises de la terreur.

Au passage, on notera que la prévision d’un médecin indien, grâce à l’ivermectine, était juste (lire ici). Quasiment au jour près…

Et en plus, ces sauvages affichent au compteur 251 morts par million d’habitants (source Worldometer), alors qu’en Fraônce démocratie développée, nous sommes à 1 682 à covidécédés par million. Ah ! C’est bien la preuve que nous sommes supérieurs !

Aujourd’hui, l’Inde ne sert plus le narratif. Alors on est passé à autre chose. Comme par exemple… le variant Delta indien chez nous !

Ainsi, cet article du Figaro, terrible.

31 cas avérés du variant indien repérés dans les Landes

Deux premiers cas de ce variant, désormais appelé «Delta» par l’OMS, avaient été repérés mercredi. L’ARS estime qu’il pourrait y en avoir actuellement une cinquantaine.

50 ? Oh la la. Tu parles d’un truc hyper contagieux.

Courage.

Bientôt on brûlera les cadavres sur la place de l’Hôtel de ville, sous les fenêtres de Annie Dingo, et on balancera les morts dans la Seine.

La tiers-mondisation est en marche

N’est-ce pas cela, aussi, “notre projet ” ?

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Les Australiens demeurent prisonniers de leur île

An Australian court on Tuesday rejected a challenge to the federal government’s draconian power to prevent most citizens from leaving the country so that they don’t bring COVID-19 home. (source ABC News).

Eh oui… qui aurait pu le penser ? Et pourtant l’Australie, pseudo démocratie occidentale… est devenue complètement dingue depuis le début de la terrible pandémie.

Ravages de l’idéologie du Zéro Covid. Fermeture des frontières. Des Australiens bloqués à l’étranger… ne pouvaient même pas rentrer. Et aucune aide fournie !

C’était : “Crève. En silence. Dehors.”

Même les Thaïlandais furent mieux traités par leur gouvernement, et furent autorisés à rentrer, y compris des étrangers (même si au compte-goutte au début)… La fermeture des frontières aériennes fut imposée le 3 avril 2020… trois mois plus tard, le système de quarantaine était monté.

Mais les Australiens ? X fois plus riches ? Fuck you.

L’autre versant de cette politique est que les Australiens… ne pouvaient pas et ne peuvent toujours pas… sortir de leur île-continent !

Il faut un “motif impérieux“… laissé à la discrétion bien entendu des crapules administratives.

Ainsi un couple de juifs orthodoxes habitant à Melbourne voulait se rendre au mariage de leur fils cadet dans l’état du New Jersey (USA).

Deux fois ils ont été envoyés sur les roses par des juges… qui en plus les ont condamnés -antisémites !- à rembourser les frais de justice… du gouvernement  ! 😉