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Résistance

Retour sur… les perquisitions contre les covidéments

“Ceci est un miroir”

Je sais. Vous avez déjà oublié

Le poisson rouge et sa fameuse mémoire ont tendance à muter en mollusque… 😉

Et pourtant, revenons sur ces fameuses perquisitions, menées il y a exactement une semaine chez les collabos de la covidémence (Buzyn, Véran, Salomon etc.)… avec cette interview de Fabrice Di Vizio, l’avocat à l’origine du dépôt des plaintes à la Cour de Justice de la République (au nom d’un collectif de soignants et d’une association de victimes du Covid).

D’un côté, il y a les avocats comme Régis de Castelnau, qui expliquent le timing de ces perquisitions :

La magistrature a d’abord passé les plats à Macron pendant 3 ans… mais avec Darmanin et Dupond-Morretti…le corps des magistrats s’est braqué et maintenant il présente la note.

Et puis Di Vizio qui défend une autre analyse. Il explique également sa démarche concernant les plaintes, suite aux “aveux” de Buzyn.

Et il disserte sur le gouvernement et l’administration. Cette dernière gère des flux… Mais c’est le gouvernement qui doit “décider“.

Di Vizio affirme : “Ce pays n’est pas gouverné. Il est administré“.

Et il lance quelques piques bien saignantes contre… Jérôme Salomon, le DG de la Santé… Mais qui a fait beaucoup… de politique, justement (Salomon avec Véran était le conseiller Santé pour le… candidat Macron, avant l’élection).

La question devient vite philosophique… Mais cela permet de mieux éclairer ce qui se passe, et surtout où la “gestion du risque pénal” pourrait nous conduire : la paralysie de la décision.

 

 

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Saloperie et sida mental

Du viral au social : oubliez la pandémie… voici la syndémie

Retenez bien ce visage, celui de Richard Horton. Cet homme est dangereux.

Le Lancet, c’est la fameuse revue médicale britannique qui publie sans vérifier des énormités (l’hydroxychloroquine serait dangereuse) écrites par des “pieds nickelés” (pour reprendre l’expression de D.Raoult)… avant de se rétracter une fois le mal fait…

Son rédacteur en chef, Richard Horton (depuis 1995), est donc un pion essentiel de la covidémence

Il a publié un édito fin septembre qui met en musique une terrifiante rhétorique et qui confirme sa position et son idéologie…

Son message ? Oubliez la “pandémie“… Nous sommes face à une “syndémie“.

D’abord la définition (classique) du mot :

Une syndémie caractérise un entrelacement de problèmes de santé pour une personne (physiques, et/ou psychiques) qui se renforcent mutuellement les uns les autres, et portent atteinte à la santé globale de la personne. Le terme a été développé par Merrill Singer dans le milieu des années 1990.

Voici ce que Horton écrit :

The most important consequence of seeing COVID-19 as a syndemic is to underline its social origins. The vulnerability of older citizens; Black, Asian, and minority ethnic communities; and key workers who are commonly poorly paid with fewer welfare protections points to a truth so far barely acknowledged—namely, that no matter how effective a treatment or protective a vaccine, the pursuit of a purely biomedical solution to COVID-19 will fail.

Unless governments devise policies and programmes to reverse profound disparities, our societies will never be truly COVID-19 secure. […]

Approaching COVID-19 as a syndemic will invite a larger vision, one encompassing education, employment, housing, food, and environment.(source The Lancet)

Il pervertit ainsi le concept de syndémie… en l’étendant… au social.

Et donc au politique.

Le couillonavirus qui était et est toujours un bête virus… devient ainsi dans l’esprit dérangé des covidéments… un outil de transformation sociale.

Rien de moins.

Et d’ailleurs, ils revendiquent cette idée haut et fort, depuis le début…. Souvenez-vous des délires autour du “monde d’avant ” et du “monde d’après“.

Cela ferme la boucle.

L’édito de Horton est donc une véritable feuille de route, celle des constructivistes, nos ennemis, les zélotes les plus fanatiques du couillonavirus.

Cette édito est la clé pour comprendre la covidémence, son fonctionnement, son déroulé dans le temps et ses enjeux.

Et ce discours, articulé autour du mot “syndémie“, est bien entendu repris par les grands médias.

Le Lancet a enfoncé le clou le 16 octobre en publiant une grosse étude : Global health: time for radical change? mais en focalisant sur les aspects sanitaires.

Les médias français ont immédiatement repris la balle au bond, en dérivant comme Horton sur la question “sociale”.

Libé : Covid-19 et maladies non transmissibles : «The Lancet» alerte sur la «syndémie» en cours

 

Ouest-France : Obésité, pollution, inégalités, Covid-19 : le cocktail pour une « tempête »

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Pays

L’Irelande bascule : confinement national

Complètement taré. Le premier ministre irlandais impose un confinement national jusqu’au 1er décembre.

Ce qui signifie :

“stay at home, except to exercise within 5 kilometres of your home.”

Et dans le détail :

Under the new measures it is understood schools and creches will remain open, and elite level sports will be able to continue. Public gatherings, except for small numbers at funerals and weddings, are banned and only essential shops are allowed to stay open. Construction will also be allowed, but most non-essential retail, hairdressers, barbers and salons will have to close. The public will be asked to work from home except for essential workers, and pubs, restaurants and cafes will only be able to provide takeaways and deliveries. (source DailyMail)

La situation doit être très grave

Le journal s’étonne toutefois :

no new Covid-19 deaths being recorded in the last 24 hours.

Cette situation très grave, la voici :

Nombre de morts par million d’habitants par jour, moyenne mobile 7 jours, du 1er mars au 19 octobre en Irelande (source)

Enfin, on rappellera qu’au total l’Irelande (population 4,9 millions) a enregistré 374 covimorts par million d’habitants, quand la France est à 515 et l’Allemagne à… 118 (source).

Et la Grèce 50.

Et le Japon… 13.

Tout va bien. 😉

Le premier ministre, compréhensif, a eu ce mot gentil pour le cheptel :

“I understand, and I feel very personally and profoundly, the sense of disappointment, the feelings of loneliness, perhaps even the despair that this announcement will bring for many.”