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Saloperie et sida mental

Comme prévu : Marseille, Bordeaux passent à la casserole covidémente

“Bal tragique à Bordeaux : un mort”

C’était annoncé. Prévu. Téléphoné même. Et ça a bel et bien commencé (lire mon article qui dévoile le futur).

Ainsi, de nouvelles mesures coercitives et restrictives ont été annoncées pour Bordeaux et Marseille (et d’autres communes).

La raison ?

La situation n‘est pas alarmante mais inquiétante“, nous dit-on à Bordeaux. 😉

Ce qui rappelle furieusement la déclaration du Petit Olivier :”le virus circule moins vite… mais circule plus rapidement“. 😉

-fermeture des bars de minuit 30 à 6h.

-port masque obligatoire de 6h à 2h partout dans 27 communes

-Ehpad : 1 visite par jour

-Partout à Marseille, la vente d’alcool est interdite après 20 heures ainsi que la musique sur la voie publique

-Les fêtes étudiantes sont interdites et les sorties scolaires suspendues.

-Les rassemblements statiques de plus 10 personnes, notamment sur les plages, sont prohibés.

etc. (source).

C’est un catalogue à la Prévert de la cinglerie factorisée par la bêtise de la fonction publique et la mauvaise foi gouvernementale, chaque mesure plus covidémente les unes que les autres.

Et les autorités insistent : en cas d’infraction, pouf, crac, la fermeture administrative pourra se faire en moins de 24h. Des flics et CRS ont d’ailleurs été envoyés en renfort. Le message est clair : toute dissension sera réprimée.

Vous étiez gilet jaune, un oeil en moins ? Vous serez bientôt couillonaviré, matraqué et embastillé !

L’ordre viral doit régner.

Et tout cela pour quoi au juste ?

A Bordeaux, là où la situation est “inquiétante“… les médecins vendent la mèche.

Oui il y a des patients en réanimation. Incroyable. Et l’un de ces 21 patients est même… décédé. Si. Ah zut. La tuile. La terrible pandémie fait décidément beaucoup de mal.

Et fait totalement ébouriffant… ces patients ont le “même profil que durant la première vague”, note (avec malice ou ingénuité ?) le patron du CHU de Bordeaux !

68 patients se trouvent dans ses services, dont 21 en réanimation. »L’un d’eux est décédé », précise Didier Guson, chef de service de la réanimation. Leur profil reste « similaire à celui de la première vague » note le médecin » ils sont âgés de 50 à 75 ans, et présentent d’autres pathologies qui les fragilisent ». (source)

Donc il n’y a rien de nouveau. Rien de spécial. Ces personnes âgées, déjà malades, ont une espérance de vie limitée. Certaines vont décéder avec le Covid, mais pas du Covid.

Bref, entre les dizaines de milliers de “nouveaux cas” asymptomatiques, tous jeunes, sains, pas malades, pas contagieux et même pas morts (ah les salopards ! quelle mauvaise volonté !)… et les “réanimations” qui accueillent toujours, systématiquement, les mêmes profils (vieux et bourrés de pathologies sévères)… où est le problème ?

Nulle part, à part dans le cerveau malade des covidéments et des zélotes.

Le gouvernement poursuit son story telling, déroule les séquences de communication et restreint nos libertés petit à petit.

Il est évident qu’après Bordeaux et Marseille… Paris, Lille etc. suivront à leur tour (vous pensez bien qu’une gourde comme Hidalgo en crève d’impatience… de prouver sa vertu couillonavirale au monde, sans parler de la vieille peau “Martine-35-heures” du Nord… Martine et Anne, un couple d’enfer, un couple d’avenir).

Cela fait partie du scénario que l’on a pu constater cet été. Un préfet (souvent une femme d’ailleurs) fait le premier pas. Il est suivi par des maires terrifiés et bas de plafond… Ensuite on élargit.

Rincez, répétez. Effet de sidération garanti.

Dans le même temps, Macron et son gang font profil bas, lâchent ici et là quelques déclarations. Mais pilotent, téléguident tout ce bordel.

Répétons la vérité qui fait mal : les mois passent, et les autorités non seulement poursuivent mais intensifient la covidémence...

La dissonance cognitive par rapport à la réalité épidémiologique ou même simplement biologique de la “terrible pandémie” devient béante, obscène.

Mais rien ne doit entraver le scénario.

Même et surtout pas la science, y compris la simple arithmétique.