Cela fait plusieurs semaines que l’on voit des news ici ou là (dès avril)… Des femmes souffrent de problèmes de menstruation juste après avoir reçu l’ostie couillonavirale.
Des retards de règles ou des règles abondantes ou douloureuses cela n’a rien d’exceptionnel… alors ?
Quand il s’agit de femmes qui n’avaient jamais eu aucun soucis de ce type, il faut bien établir un parallèle “avant/après” avec l’injection du vaccin.
En clair une relation de cause à effet.
Le système de pharmacovigilance britannique totalise plus de 4 000 de ces cas (aussi bien pour AstraZeneca que Pfizer) (source The Times).
Il est évident que de nombreuses autres femmes n’ont certainement pas fait la démarche d’en parler à leur médecin… conduisant ainsi à une sous-évaluation du problème (ce biais est valable pour tous les effets secondaires répertoriés dans ces bases de données).
Ajoutez les caillots sanguins, les myorcadites et jusqu’à des décès… le tableau vaccinal contre le couillonavirus commence à devenir très sombre.
Et nous n’avons que cinq mois de recul… !
Et pendant ce temps, chaque jour, des millions de neuneus absolument pas concernés par le couillonavirus continuent de se faire injecter des produits nouveaux, développés à la va-vite, sans aucun recul, par des autorités totalement corrompues.
Ca va forcément bien se passer.