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Vaccinocircus

Femmes vaccinées et déréglées

Cela fait plusieurs semaines que l’on voit des news ici ou là (dès avril)… Des femmes souffrent de problèmes de menstruation juste après avoir reçu l’ostie couillonavirale.

Des retards de règles ou des règles abondantes ou douloureuses cela n’a rien d’exceptionnel… alors ?

Quand il s’agit de femmes qui n’avaient jamais eu aucun soucis de ce type, il faut bien établir un parallèle “avant/après” avec l’injection du vaccin.

En clair une relation de cause à effet.

Le système de pharmacovigilance britannique totalise plus de 4 000 de ces cas (aussi bien pour AstraZeneca que Pfizer) (source The Times).

Il est évident que de nombreuses autres femmes n’ont certainement pas fait la démarche d’en parler à leur médecin… conduisant ainsi à une sous-évaluation du problème (ce biais est valable pour tous les effets secondaires répertoriés dans ces bases de données).

Ajoutez les caillots sanguins, les myorcadites et jusqu’à des décès… le tableau vaccinal contre le couillonavirus commence à devenir très sombre.

Et nous n’avons que cinq mois de recul… !

Et pendant ce temps, chaque jour, des millions de neuneus absolument pas concernés par le couillonavirus continuent de se faire injecter des produits nouveaux, développés à la va-vite, sans aucun recul, par des autorités totalement corrompues.

Ca va forcément bien se passer.

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Vrac

Savoyarde ou bourguignonne ? Le virus ferait fondre le cerveau

Un couillonaviré devenu crétin des Alpes. Cerveau fondu. Mieux que la fondue savoyarde.

Aïe. Idiocracie n’avait pas besoin en plus d’un couillonavirus…

Et pourtant, une étude (non revue) affirme que le virus réduit la taille de la matière grise ! (source Medisite).

Oui, oui, le truc qui abrite les neurones dans votre cerveau.

La tuile.

L’étude est britannique et s’intitule UK Biobank. Le principe est simple : ils suivent une cohorte de 40 000 individus… avec des examens d’imagerie de type IRM (depuis 2006).

Sur 782 volontaires, 394 ont été testés positifs au Covid-19 entre leurs deux examens. Or, sur les résultats des personnes testées positives, une perte de matière grise a été observée. Les volontaires testés positifs à la Covid-19 ne présentaient que des symptômes légers ou modérés. Certains étaient même asymptomatiques. En revanche, après analyse de leurs IRM, les chercheurs ont observé une perte de matière grise entourant le système olfactif et gustatif. Plus inquiétant, les mêmes IRM montraient également des pertes de tissus cérébraux dans les régions liées à la mémoire.

Alors faut-il commencer à sérieusement mouiller son slip ? Ou est-ce un énième coup de scientifiques covidéments au bout du rouleau  cherchant à vous convaincre de recevoir l’ostie vaccinale ?

Car après tout, si on peut vivre avec un morceau de poumon en moins… devenir physiquement crétin, avec le cerveau qui fond, ça la fout plutôt mal. 😉

Je suis tenté de faire la même réponse de Normand que celle de l’OMS vis-à-vis de l’ivermectine : il faut davantage d’études. 😉

On se revoit dans 15 ans (si vous n’êtes pas encore crevé, le cerveau fondu).

Mais on peut déjà critiquer cette étude… l’âge moyen (62 ans lors du deuxième examen) par exemple.

Le fait que la réduction ne soit pas quantifiée (est-ce beaucoup sur un petit nombre, ou un peu sur tout l’échantillon ?). Quels sont les pourcentages ?

Le fait qu’il n’y a pas de données quant à la fameuse “anosmie”. Ces individus se plaignaient-ils de perte odorat/goût ?

Et enfin comme d’habitude la définition par essence foireuse : c’est quoi un “cas” Covid “léger” ? Un simple test PCR ?

Les auteurs le disent d’ailleurs eux-mêmes : 60 sur les 394 n’ont eu aucun diagnostic clinique… mais un simple test “maison”.

Et seules 15 personnes de l’échantillon ont été hospitalisées.

Le pauvre couillonavirus n’y est peut-être pour rien… Si on faisait des IRM avant/après vers 62 ans dans un échantillon de la population, on pourrait peut-être détecter le même phénomène : à savoir les premiers signes de l’apparition… d’un Alzheimer !

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Saloperie et sida mental

23 janvier 2020 : la Chine lève le rideau

“Bon Raoul, en place, tu ne bouges plus hein. Le petit oiseau va sortir”

… Et le spectacle commence !

J’ai souvent parlé des vidéos grotesques provenant de Chine début 2020, et montrant des personnes comme “foudroyées”, dans la rue, ou allongées à l’intérieur de bâtiment, les bras bien alignés (lire ici et ).

Toutes soit disant tuées par le couillonavirus.

Des images qui inondèrent les réseaux sociaux occidentaux entre la mi janvier et février 2020.

De telles scènes ne se reproduisirent jamais ailleurs sur la planète, alors même que le virus était désormais une pandémie, touchant tous les pays et infectant des millions de personnes.

Il faut sans cesse y revenir, et si possible avec les articles de presse de l’époque, reprenant ces fameuses vidéos.

Ainsi celui-ci publié dans le DailyMail, le 24 janvier 2020, après le confinement surprise et hard de Wuhan.

Le 24 janvier 2020, le bilan officiel en Chine était de 830 cas et 25 morts. Il y avait 2 cas au Japon, en Corée du sud ou encore au Vietnam. Et 4 en Thaïlande. 😉

Lien : https://www.dailymail.co.uk/news/article-7923981/Coronavirus-Disturbing-videos-claim-people-collapsing-Wuhan.html

Faites une pause… revenez en pensée un an et demi en arrière… Et imaginez comment Madame Michu a bien pu réagir en lisant de tels articles, en regardant ces vidéos et ces photos ?

L’effet psychologique considérable

Rétrospectivement, ces vidéos et images “volées” démontrent la psyop, la gigantesque manipulation montée par Pékin.

Il s’agit d’une preuve irréfutable.

Car la Chine n’a jamais tenté de démentir ces scènes, ces vidéos. Elle aurait pu pourtant, afin d’aider le monde.

Elle aurait pu expliquer la situation réelle pour calmer la panique.

Or la Chine a fait tout le contraire… elle a tout fait pour effrayer le monde, en grossissant la réalité de la menace (autre exemple : la construction d’un hôpital à Wuhan… en 10 jours… et autres hôpitaux de campagne, ils furent en réalité très peu utilisés et vite démontés).

Pourquoi ? C’est la seule question qui demeure ouverte (j’ai exploré plusieurs pistes).

Mais l’intention mortifère, destructrice et inamicale est là, devant nos yeux, brûlante.