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Chiffres Pognon Tests PCR

Coût des tests PCR foireux et inutiles : 350 millions d’euros par mois

Le “pognon de dingue” devient encore plus dingue !

Les millions de tests PCR effectués en France, afin d’obtenir une hausse des “cas positifs” et terroriser la population, coûtaient… 250 millions d’euros par mois (lire ici).

Nous sommes désormais sur un rythme mensuel de 350 millions d’euros (source BFM) !

Ce pognon n’est pas perdu pour tout le monde, comme d’habitude. Il est versé par la Sécu… aux laboratoires.

Une manne qui profitera surtout aux grand laboratoires. Si la France compte 4000 lieux de prélèvements, seules 190 sociétés ont l’agrément Covid. “Et ce sont six grosses sociétés très financiarisées qui représentent le gros de l’activité, précisent Frédéric Bizard.

Rappelons que ces tests PCR sont… fondamentalement foireux (lire ici) Et doublement inutiles puisque effectués sur des personnes jeunes, saines, pas malades, pas contagieuses… et pas mortes. 😉

Et figurez-vous que l’Allemagne… procède autrement et affiche un solide bon sens…

l’Allemagne plafonne le remboursement du test à 50,50 euros. Et surtout, il est soumis à conditions. Il faut présenter des symptômes, être un cas contact ou faire partie du personnel soignant ou d’un service public.

La folie française est donc délibérée, politique et n’a qu’un seul objectif : entretenir la peur, entretenir la fiction couillonavirale.

C’est un scandale majeur en terme de santé publique… Doublé d’un scandale financier. C’est un formidable casse, un hold-up.

Rappelons que le saint dans ce domaine est Saint-François-Le-Gland “C’est pas cher c’est l’état qui paye“.

Macron était proche de lui puisque au sécrétariat général de l’Elysée. L’élève dépasse ainsi le maître…

Toujours plus de pognon, pour toujours plus de conneries. Signé : le Gné.
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Chiffres Saloperie et sida mental

Bilan quotidien covidécès France : énième bidonnage couvert par l’administration

“Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Ils vont encore se foutre de ma gueule”

Caramba ! Encore raté !

Hier le Figaro et d’autres médias titraient :

Pour la première fois depuis la fin du confinement, il y a une augmentation du nombre de morts en France

Un bond des décès quotidien avait été annoncé (+120 !).

Catastrophe ! Effroi ! Sidération ! Consternation !

Enfin plutôt jubilation extrême au gouvernement. Le petit Olivier avait fait pipi sous lui tellement il était con-tent.

Et quelques heures après… la vraie catastrophe… le soufflé retombe… En faisant prout. Il s’agit en réalité d’un énième bidonnage couvert comme d’habitude par l’administration (et relayé par les médias zélotes).

 il s’agit d’un «rattrapage de données» concernant «237 dossiers d’admissions dont 76 décès» enregistrés… jusqu’à la 29e semaine de l’année, soit celle du 19 juillet !

Pépère. Un hôpital dans l’Essonne (pas au fin fond de la Lozère, hein !)… qui avait “oublié” des dossiers datant de plus de 2 mois… !

En 2020. Et en pleine “terrible pandémie“… Ben voyons.

Le Figaro -suprême ironie- est de fort mauvaise humeur d’avoir été ainsi baisé…

Et écrit furibard :

“Contacté par Le Figaro, l’entourage d’Olivier Véran n’a pas répondu à nos sollicitations.”

😉

Ben oui. Le petit Olivier avait piscine… Il s’est caché dans les vestiaires.

Bref on récapitule : il ne s’est rien passé hier…

Le nombre des covidécès (moins de 50 par jour, sur un total de 1 600 toutes causes confondues) et des hospitalisations est parfaitement normal par rapport aux jours précédents.

Il n’y a pas d'”explosion“, pas de hausse “exponentielle“.

Mais plutôt une énième preuve de la branlologie de tous ces fonctionnaires et politiciens cons comme des enclumes, qui prennent leurs désirs pour des réalités.

On relève ce parfum entêtant et si français d’amateurisme, de mauvaise foi, de veulerie et de foutage de gueule.

Notons enfin que toutes ces malencontreuses “erreurs“… vont systématiquement toujours dans le même sens : un grossissement de la menace couillonavirale (exemples ici, et ici, et , là encore, ou ici).

Monsieur Cyclopède n’en finit pas d’être étonné.

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Chiffres

Le virus est-il raciste ? Hélas oui ! Un peu. Désolé.

“Ce soir la France a peur”. Roger Gicquel est tout blanc ! De peur !

Depuis des mois, on a des données “terrain” qui démontrent que le couillonavirus a une affection particulière pour les “gens de couleur“.

Aïe. Le mot est lâché. Les flics de Fessebouc sont prévenus. La brigade des moeurs de Touiteur itou. On attend encore la Licra, la Dilcrah et le SGEG au banquet.

Et ceci dans plusieurs pays occidentaux.

En premier lieu, dans les pays où les statistiques ethniques sont autorisées : Etats-Unis et Grande-Bretagne (jetez un oeil aux stats anglaises, on imagine la même chose en France… le gag).

Voici un exemple de ces débats dans la presse britannique :

UK scientists will get £4 million to find out why black and Asian people are more likely to die from coronavirus

Evidence suggests BAME people are nearly twice as likely to die than whites (source DailyMail ou encore ici sur la BBC)

(Rappel pour les malcomprenants : au UK, “Asian” désigne les Pakistanais, Indiens, Bangladais et pas l’Extrême-Orient “asiatique” comme chez nous, avec les Chinois, Vietnamiens, Coréens, Japonais etc.)

Mais même en France, via des réflexions indirectes. Exemple le IHU à Marseille, où le professeur Raoult évoquait la forte représentation des… Comoriens parmi les malades du Covid dans son hosto, ou des témoignages d’autres médecins (lire ici)… Il faut préciser au passage que Marseille est la -véritable- capitale des Comores. 😉

A l’époque du “pic” on a eu également des sous-entendus concernant le département de la Seine Saint-Denis (exemple dans cet article qui pointe la surmortalité).

Très tôt, des recherches couillonavirales ont évoqué le rôle de certains “récepteurs” dans le corps humain, et de leurs variations parmi les différents groupes ethniques.

Dernière étude en date, publiée ici, porte un titre non équivoque : “Racial/Ethnic Variation in Nasal Gene Expression of Transmembrane Serine Protease 2 (TMPRSS2)“.

Le mot “race” va bien entendu donner des sueurs froides à tous les gauchistes racialisés bas de plafond de France et de Navarre… Et c’est tant mieux.

Avec un peu de chance, leur espérance de vie sera un peu réduite sous l’effet du stress (davantage que le couillonavirus, ça c’est une certitude). 😉

Conclusion de l’étude ?

TMPRSS2 expression was significantly higher in Black individuals compared with Asian, Latino, mixed race/ethnicity, and White individuals (all P < .001) based on linear regression (Figure and Table). There were no significant associations between TMPRSS2 expression and sex, age, or asthma.

Attention, il convient de répéter que le couillonavirus met en jeu de très nombreux facteurs.

Ainsi, en observant la situation en Afrique… on devrait s’attendre logiquement à une hécatombe (et d’ailleurs de nombreux experts avaient annoncé une telle catastrophe).

Or, il n’en a absolument rien été (lire mon article ici).

Il est évident que l’extrême jeunesse des Africains les protège, en masse, réduisant à néant (?) l’éventuelle sensibilité à tel ou tel récepteur que le virus pourrait avoir, parmi tel ou tel groupe ethnique.

Sans parler des comorbidités (l’obésité par exemple est plutôt une maladie occidentale…).

En clair : le risque devient palpable si vous êtes :

-diabétique

-obèse

-noir

-vieux

-vivant aux Etats-Unis

Là c’est le Quinté+ dans l’ordre…

En Angleterre, on a également mis en avant les modes de vie des communautés BAME (Black, Asian & Minority Ethnic) (repas pris en commun avec de larges groupes par exemple, ou encore fréquentation des mosquées, etc.) ou même le fait social (les BAME occupant des emplois manuels, durs, exposés, prenant les transports en commun régulièrement, etc.)

Bref, comme d’habitude de telles données constituent de la nourriture pour l’esprit, et tout honnête homme se doit de demeurer ouvert et aux aguets pour tenter de comprendre le Réel (au lieu de prétendre le travestir selon ses propres goûts ou modes du jour).

Et on ne gâchera pas notre plaisir… La cerise sur la forêt noire c’est bien entendu les réactions des hystériques. Un exemple représentatif : une dingue américaine, social warrior et féministe (je sais la double peine) qui a immédiatement réagi à la publication de cette étude.

C’est inacceptaaaaaaaaaaaaaable ! La race c’est DANS TA TETE ! C’est comme le genre ! C’est mon choix ! J’ai beau avoir un vagin et un utérus, nooooon, je ne suis pas une femme si je le décide ! Prout !”

Pauvre cocotte…. elle a été triggered, littéralement allumée, et elle se consumme instantanément. C’est magique. 😉

Chez nous, on se souviendra avec émotion du fameux “ah mais non monsieur, je ne suis pas un homme, qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un homme ? ” (séquence vidéo culte) proféré par un gland équipé d’un beau collier de barbe, l’air totalement ahuri voire psychotique, devant un Daniel Schneidermann hébété et pensant subitement à ses prochaines vacances sur une île déserte du Pacifique…

Autant d’instants… précieux. 😉

Chaque fois que l’on peut rappeler que la nature est injuste et qu’elle se moque des obsessions pseudo anti-racistes des uns ou des autres… c’est bon à prendre.

Dans le cas présent, on combine covidémence et l’obsession anti-raciste… Deux faces de la même maladie mentale.

Et donc comme au scrabble, ça compte double.

En ajoutant un Véran au milieu, paf, je peux avoir 144 points. Facile.