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Saloperie et sida mental

Ken Le Rouge : confinement immédiat et perpétuel

Soit Ken Livingstone… Il fut maire du Grand Londres… labour… et profondément gauchiste.

D’où son surnom de Ken Le Rouge.

Ce politicien détestable est âgé de 76 ans… On pourrait penser qu’il jouerait au golf, ou aux fléchettes, qu’il picolerait, baiserait de la jeune étudiante LGBT++ migrante (avec du Viagra… made in Pfizer forcément), bref qu’il profiterait de ses dernières années avant de crever du Covid (ou avec) dans d’atroces douleurs et en faisant caca dans sa couche…

Mais non.

Ken veut montrer qu’il est toujours vivant, toujours bien rouge,  toujours constructiviste.

Ainsi cette interview, surréaliste.

“Would you keep the country in a perpetual cycle of lockdowns?”

Livingstone: “Absolutely…”

“So we should be locked down now?”

Livingstone: “Absolutely.”

La vieillesse est un naufrage.

Surtout quand elle est de gauche.

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Saloperie et sida mental

La science : 75 ans pour publier les données de Pfizer

Ayez confiance ! Et surtout ayez confiance dans la science.

La FDA américaine réclame désormais… 75 ans pour rendre publiques les données fournies par Pfizer, lors de sa demande d’autorisation pour son produit ARNm.

Hein ?

Ce n’est pas une blague.

La Food and Drug Administration réclame ce délai à un juge car elle affirme qu’elle peut publier uniquement 500 pages par mois… et comme il y a 59 000 pages supplémentaires par rapport à la précédente estimation… cela renverrait à 2096 pour la fin du processus, soit dans 75 ans (source ZeroHedge).

Encore plus fort que les archives sur l’assassinat de Kennedy !

Eh oui, l’unique photocopieur de la FDA est encore tombé en panne. La tuile.

Comme le résume très justement un commentateur américain :

“If you find what you are reading difficult to believe – that is because it is dystopian for the government to give Pfizer billions, mandate Americans to take its product, prohibit Americans from suing for harms, but yet refuse to let Americans see the data underlying its licensure,” Siri said.

Rappelons qu’il n’a fallu à la FDA que 108 jours pour évaluer les données fournies par Pfizer (les fameuses dizaines de milliers de pages)… avant d’autoriser son produit.

Résumons la problématique :

108 jours d’un côté pour étudier avec soin des dizaines de milliers de pages… c’est la “science“, le bien, le beau, le progrès.

75 années de l’autre pour publier les mêmes dizaines de milliers de pages.. c’est aussi la “science“, ainsi que “l’état de droit “, la démocratie, la liberté, les saucisses et les cheeseburgers, tout ça.

A ce stade, cet énorme gag devrait suffire à disqualifier le produit de Pifzer… pour l’éternité. Ou en tout cas pour 75 ans…

Et à ce stade, toute personne qui accepte encore de se faire injecter ce “vaccin” ne devrait pas se préoccuper du Covid, ni de la possibilité d’être écrasée par une voiture le matin en allant pointer à Pôle Emploi, ni même de glisser sur une peau de banane et de s’empaler sur le buttplug de la place Vendôme

Non, il lui faudrait plutôt se préoccuper de sa santé mentale.

Et de son QI.

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Médicament

Deux molécules banales assomment le couillonavirus

“Alors les gueux ! N’oubliez pas votre 3ème dose de merde génétique expérimentale étrange et dangereuse ! Nous, ça va, on se soigne avec des médicaments sans ordonnance. Plus du pinard”.

La liste des molécules actives contre le couillonavirus devient longue comme le bras.

A tel point que ça en devient… embarrassant

Une équipe de chercheurs en Floride a identifié un couple de molécules qui démolit le couillonavirus, lorsque elles sont utilisés en conjonction.

Il s’agit d’un antihistaminique (contre les allergies, les rhumes)… le Diphénhydramine (en France, c’est le fameux Nautamine par exemple, contre le mal des transports, ou encore Actifed, contre les rhumes).

Et de la Lactoferrine (une protéine présente dans le lait maternel, vendue comme complément alimentaire).

Bref, deux molécules vendues sans ordonnance… dont il sera difficile de dire qu’elles sont subitement très dangereuses. 😉

Mais on ne sait jamais ! Dans ce domaine, l’imagination d’Olivier Variant et de ses complices est dé-bor-dan-te.

In lab tests on human and monkey cells, the combination was particularly potent: Individually, the two compounds each inhibited SARS-CoV-2 virus replication by about 30%. Together, they reduced virus replication by 99% (source).

Karine Labombe va encore nous faire une jaunisse et changer de mari.

La pauvre.

Data from the experiments show that a highly specific sigma receptor binding drug candidate (with pain relieving properties), and formulated combinations of over-the-counter products (such as diphenhydramine and lactoferrin) have the potential to inhibit virus infection and decrease recovery time from COVID-19, the researchers concluded.

Quelques liens :

The Prospect of Lactoferrin Use as Adjunctive Agent in Management of SARS-CoV-2 Patients: A Randomized Pilot Study

Protective Effects of Lactoferrin against SARS-CoV-2 Infection In Vitro

The Biology of Lactoferrin, an Iron-Binding Protein That Can Help Defend Against Viruses and Bacteria