Ce fut le sketch de l’été.
Nous sommes passés à l’heure d’hiver. Pouf, ça devient donc le gag de l’hiver.
La vague.
La première.
La deuxième.
Et puis bien entendu, la troisième qui pointe le bout de son nez et de ses rouleaux.
Les vagues du grand déferlement se sont retirées et sur la mer calmée se forment des cercles sur lesquels voguent les diplomates qui s’imaginent être les auteurs de l’accalmie.
Eh oui les mecs, c’est du Léon Tolstoï. Allez placer cela sur un blog en 2020 !
Certains covidéments avaient pris de l’avance (on pense à des Australiens, et même à… la Mayenne, si, si !) et parlaient déjà de troisième vague en… octobre (lire mon article décoiffant ici).
C’est bientôt Noël, alors c’est le petit Gabriel Attal, gentil porte-parole neuneu du gouvernement, qui désormais s’y colle.
A sa décharge, il a vraiment un boulot à la con puisque le gouvernement est une brochette d’individus qui ont cette particularité physique de rapprocher le plafond du sol (Véran, Castex etc.).
«Il y a un risque de troisième vague. C’est déjà le cas aux États-Unis et dans certains pays asiatiques. (…) Ce risque existe et je pense que les Français l’ont parfaitement intégré», a-t-il déclaré (source Le Figaro).
Une déclaration forte, risquée et si délicieusement numérale (eh oui après le deux, il y a le trois, puis le quatre, le cinq, le six, etc. Bravo Gabriel ! )
Aucune importance si ce qu’il raconte est un condensé d’extrait de jus de merde. Il n’y a aucune “troisième vague” aux USA ou en Asie… A part dans le cerveau malade des ministres, des fonctionnaires et des médias complices de la covidémence.
Il y a simplement un ou des virus qui sont saisonniers.
En été, dans l’hémisphère nord, ils font la “sieste” et se réveillent avec l’arrivée de l’hiver.
Quelle découverte. Il y a davantage de gens malades en hiver qu’au mois d’août.
Pas besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre cela.
Mais parler de “vague” permet de terroriser les populations…. comme les “vagues” d’assaut, comme les vagues de soldats chinois déferlant sur le nord de la Corée en 1950, ou les “vagues” des grandes offensives de la guerre de 14-18, etc.