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Tennis et Monfils : “petit pépin de santé”

Pas jeu, pas set et pas match. Le tennis en version ARNm.

J’en parle car Gaël Monfils est français. Donc ça résonne davantage selon les bonnes vieilles “lois de proximité ” journalistico-branlatoires.

Car sinon un sportif de haut niveau abîmé par les produits couillonavirants… c’est d’une banalité

Après avoir bien commencé l’année 2022 avec un bon parcours à l’Open d’Australie et sa victoire à l’ATP Adelaïde, Gaël Monfils ne va pas pouvoir enchaîner tout de suite.[…]

J’ai subi un petit pépin de santé (probablement suite à ma troisième dose de vaccin). Sur les conseils de mon médecin, j’ai décidé de prendre du temps pour me reposer. Je ne pourrai donc malheureusement pas jouer la Coupe Davis la semaine prochaine.” (source BFM)

Quel dommage. Une nouvelle preuve que l’odieux complotiste, terroriste, mangeur d’enfants, l’ignoble Novak Djokovic… avait vu juste.

Il a refusé les injections. Il a dit non. Il protège sa santé et sa carrière.

Monfils a été trompé et/ou est lâche. Mais au moins il a l’honnêteté de faire le lien avec sa 3ème dose… C’est dejà ça.

Il aurait pu continuer dans le déni en parlant d’un excès de saucisses, de bière noire, d’une réactions allergiques à la nouvelle marque de lessive utilisée par sa femme, voire à l’air suisse (puisque il est bien entendu résident fiscal… suisse, une manie chez de nombreux joueurs de tennis français).

Je reformule : quand on est assez intelligent pour se mettre hors de portée des griffes du fisc fou furieux français, alors on devrait également refuser les injonctions absurdes, démentes d’injections.

Ca devrait faire partie du package. 😉

Deux questions se posent à présent :

-le “petit pépin de santé “… est-il temporaire ou définitif ?

-et est-ce que Monfils acceptera le jour venu une… quatrième dose ? 😉

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Asie Chiffres Vaccinocircus

Pharmacovigilance : la méthode Coué en Thaïlande

Les autorités thaïes ont réglé le problème, délicat, ennuyeux, des effets secondaires des vaccins : la méthode Coué saupoudrée de patamathématiques et de patascience.

D’abord les données de base : 120 millions de doses ont été injectées depuis le début de la campagne.

Dans le détail :

26.4 million Sinovac, 46.8 million AstraZeneca, 14.7 million Sinopharm, 27.6 million Pfizer and 4.3 million Moderna doses, Dr Chawetsan said. (source Bangkok Post)

Et voici les effets secondaires officiellement reconnus :

  • 79 individus avec allergies (dont… 11 pour Pfizer)
  • 31 cas de péricardite (dont 29… pour Pfizer)
  • 6 thromboses (5 pour AstraZeneca, 1 pour Pfizer)

On pouffe…

Mais par ailleurs :

Sur les 2 081 plaintes reçues pour des décès causés par les vaccins… seuls 4 cas ont été confirmés ! 😉

Conclusion lapidaire des autorités sanitaires :

Vaccine side effects very rare

Premier bug : les décès ne sont au fond pas vraiment considérés comme des… “effets négatifs“.

😉

Mais là où on touche au sublime, c’est que dans le même temps le gouvernement de Bangkok a mis la main au portefeuille !

Extrait de mon article de janvier :

2 264 décès ou blessures graves (handicaps à vie) ont donc été reconnus par les autorités comme causés par les vaccins…

Ces familles ont reçu chacune 10 000 euros…

Et par ailleurs :

7 287 personnes supplémentaires ont été blessées, mais moins gravement.

Et ont donc reçu une compensation financière moins élevée…

On résume :  à ce jour 9 551 personnes (2 264 + 7 287) ont été compensées financièrement pour décès ou blessures à cause des vaccins.

Mais seulement 120 cas (décès ou effets secondaires négatifs) sont officiellement liés aux vaccins !

9 551 deviennent 120… Il suffisait d’y penser ! 😉

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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Certificat Covid européen : extension… un an de plus ?

“Alors les gueux ! Vous ne le saviez pas ? La terrible pandémie va se poursuivre en Europe jusqu’en juin 2023 ! Un an de plus ! Allez, faites pas la tête !”

La Commission européenne propose aujourd’hui de prolonger d’un an, soit jusqu’au 30 juin 2023, le certificat COVID numérique de l’UE.  (source Commission européenne)

Hein ?

Vous pouvez répéter la question ?

Le virus de la COVID-19 reste largement répandu en Europe et il est impossible, à ce stade, de déterminer l’incidence d’une augmentation possible des infections au second semestre de 2022 ou de l’apparition de nouveaux variants. La prorogation du règlement permettra aux voyageurs de continuer à utiliser leur certificat COVID numérique de l’UE pour leurs déplacements dans l’Union lorsque les États membres maintiennent certaines mesures de santé publique.

Nous y voilà…

La sodomie avec gel s’effectue en trois temps :

PREMISSE 1

Le virus est toujours là (et il le sera encore dans 1 000 ans, c’est bête, hein ?), par définition le futur est incertain, les nouveaux variants tout ça… après-demain vous pourriez mourir, la science est formelle !

PREMISSE 2

Certains états vont conserver certaines covirestrictions…

CONCLUSION

Donc pour assurer la liberté (ah ah ah ah) de se déplacer en Europe, il est nécessaire de conserver le certificat Covid électronique jusqu’en juin 2023 !

Vous voyez le processus circulaire et enculatoire basé sur des prémisses à la con conduisant à une conclusion faussement logique ?

Cela s’appelle un syllogisme ! Socrate peut aller se rhabiller chez les Turcs.

Les Bruxellois ne déçoivent jamais.

Plus fort encore, la Commission propose de modifier le dispositif…

  • une carotte : l’inclusion des tests antigéniques
  • l’inclusion du nombre précis de doses (plutôt que d’avoir simplement le certificat national… stipulant “pleine vaccination“)… Ce mécanisme est la preuve que le nombre de doses ne fera qu’augmenter.
  • l’inclusion des gogos, pardon des cobayes participant… aux essais cliniques de nouveaux vaccins !

Bref… de l’or en barre.

Alors, vous connaissez la musique. La Commission propose, euh… et ensuite… les députés européens disposent. 😉

En réalité, c’est une évidence, cette décision sera entérinée et vous en reprendrez… jusqu’en 2023.

Voilà pourquoi, si vous croyez aux histoires de passe sanitaires “suspendus ou annulés”… alors vous croyez au Père Noël.

Cette décision bruxelloise prouve que des états de l’UE vont :

  • conserver l’injection de produits couillonavirants
  • conserver des mesures “anti Covid”

… Jusqu’en juin 2023.

Et si dans un an et demi, le Covid-19 a disparu, on trouvera bien un nouveau virus qui traîne pour jouer les remplaçants.

L’outil a été créé.

Il continuera à être utilisé.