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A la recherche de la grippe perdue

Olivier Véran croit avoir trouvé le virus de la grippe, au fond d’une cave. “Bon sang, c’est quoi ? C’est la grippe ou pas ? Ou alors c’est le Covid ?”

Le couillonavirus a réussi au moins une chose (en plus de tuer des gens quasi déjà morts) : nous débarrasser de la grippe.

Si, si.

Ce fléau qui empoisonne l’humanité, de manière endémique, depuis… depuis la nuit des temps… A disparu.

Alors que ce virus tue chaque année entre 300 000 et 600 000 personnes (OMS), rend patraque un paquet de millions d’autres, et provoque même des flambées épidémiques graves, comme par exemple celle dite de “Hong-Kong” durant l’hiver 68/69.

Témoignage de l’époque (en France) :

On n’avait pas le temps de sortir les morts. On les entassait dans une salle au fond du service de réanimation. Et on les évacuait quand on pouvait, dans la journée, le soir. Les gens arrivaient en brancard, dans un état catastrophique. Ils mouraient d’hémorragie pulmonaire, les lèvres cyanosées, tout gris.

Et inutile d’évoquer la terrible grippe “espagnole” de 1918…

Donc cette année, dans l’hémisphère sud (durant notre été), l’OMS dit que la grippe a carrément disparu.

In Australia, just 14 positive flu cases were recorded in April, compared with 367 during the same month in 2019 – a 96 per cent drop.

By June, usually the peak of its flu season, there were none. In fact, Australia has not reported a positive case to the WHO since July.

In Chile, just 12 cases of flu were detected between April and October. There were nearly 7,000 during the same period in 2019. (DailyMail)

Et quid de l’Europe ? La saison vient juste de commencer… Et pourtant là aussi, on la cherche…

In the UK, our flu season is only just beginning. But since Covid-19 began spreading in March, just 767 cases have been reported to the WHO compared with nearly 7,000 from March to October last year.

Plusieurs théories s’affrontent.

D’abord celle des neuneus, pardon des scientifiques-fonctionnaires tendance Véran-Salomon canal historique. Pour eux, c’est simple, ils ont vu la lumière : “toutes les mesures anti-Covid, masque, confinement, l’interdiction de la vente des produits non essentiels dans les supermarchés, la fermeture des bars à 21h, la distanciation sociale, manger à table mais pas se lever pour aller payer au bar… ont fonctionné et empêché la progression de la grippe. CQFD”.

Sauf que dans le même temps, tout cet infâme bordelo qui ne repose sur aucune donnée scientifique sérieuse… ne fonctionne pas pour le couillonavirus puisque ce dernier flambe, nous dit-on.

C’est fâcheux.

Donc le masque bloquerait le virus de la grippe mais pas celui du Covid ? Ce serait ballot.

Un peu comme les enzymes dans la lessive : il y a ceux qui sont gloutons et ceux qui le sont un peu moins. Ou un peu plus.

Il y a une seconde hypothèse façon Rasoir d’Ockam : la grippe est toujours là, bien sage, fidèle au rendez-vous annuel… mais on ne veut pas la voir.

Car on la cherche avec des lunettes “Covid”.

Concrètement tous les états grippaux sont étiquetés par le système sanitaire… “Covid”. Car c’est ce que le système veut voir.

C’est la pure covidémence en action.

Marcel reviens ! Ils sont devenus covidéments.

A partir du moment où le système de santé publique de la cinquième puissance économique mondiale, dotée de l’arme nucléaire (et même équipée de l’Intraitable, redoutable arme expérimentale) est capable d’affirmer qu’un homme qui s’ouvre le crâne chez lui, en chutant… est “mort du Covid… tout est possible !

D’autres dans le monde sont capables de dire qu’un homme qui s’explose la gueule dans un accident de moto… est “mort du Covid “… Alors oui comme vous le voyez… tout est possible. 😉

La grippe est là. On a simplement jeté une couverture “Covid” dessus…

PS : à propos de la grippe, je signale cet article qui fait grincer les neurones : Covidécès : lien avec la mollesse des épidémies de grippe précédentes ?

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Vrac

Culte du cargo : la nasse se referme

Le papou c’est toi. Tu es prisonnier. Les avions ne viendront plus.

Retour vers le futur ? Ou vers le passé ? Et si nous étions sur le point de redécouvrir le Culte du Cargo ?

Pour les esprits lettrés, c’est d’abord une sublime chanson de Serge Gainsbourg…

Je sais moi des sorciers qui invoquent les jets
Dans la jungle de Nouvelle-Guinée
Ils scrutent le zénith convoitant les guinées
Que leur rapporterait le pillage du fret

 

Et comme leur totem n’a jamais pu abattre
A leurs pieds ni Boeing ni même DC quatre
Ils rêvent de hijacks et d’accidents d’oiseaux

Pour les historiens, ce fut quelque chose de bien réel durant la première moitié du 20ème siècle dans le Pacifique…

Et si ces “créatures non dénuées de raison, ces papous” comme écrit Gainsbourg… c’étaient nous, mais sans la plage de sable blanc, le ciel bleu du Pacifique-Sud, ni les noix de coco ?

Et si nous étions devenus prisonniers, sur notre île, “en soufflant vers l’azur et les aéoroplanes” ?

L’instrument de la liberté que nous avons toujours connu, l’avion… disparu… un souvenir… en bois désormais…. le culte du cargo…

Cet exploit qu’aucun gouvernement, politicien constructiviste dément n’aurait pu rêver d’accomplir… le couillonavirus l’a provoqué. Sans fracas. Sans protestation. Le plus naturellement du monde.

Ici, il convient de remonter le temps.

Le Mur de Berlin, Checkpoint Charlie et derrière la “DDR” (Deutsche Demokratische Republik, ou RDA), un camp d’internement à l’échelle d’un pays, gardé par la Stasi… Des gens contraints de fuir, de s’échapper, de franchir le mur…  60 ans à peine.

Et avant, France juin 1940… Frontières fermées. Pas d’avion. La seule fuite possible c’était sur les routes (avec des millions d’autres gens)… L’exode. A pieds.

Où je veux en venir  ?

A un changement de paradigme.

Pendant plusieurs décennies, en Occident, nous pouvions changer de continent, et donc pourquoi pas de vie, par la grâce d’un simple billet d’avion.

On pense de prime abord au tourisme lointain, aux plages, soleil, p’tites pépés et cocktails exotiques…

Mais c’était au fond surtout un “ausweis”, un “laissez-passer”. Un puissant outil de liberté.

Tu me casses les couilles avec ta rapine fiscale ? Tes obsessions idéologiques ? Ton gouvernement mafieux  ? Ton invasion migratoire ? Ton suicide civilisationnel ?

Je me barre ! Adieu ! Je vote avec mes pieds et surtout avec mes turbofans Rolls-Royce Trent 900 et mes Pratt & Whitney PW4000.

Avec 10 000 km et plusieurs mers et océans entre toi et moi… échec et mat.

L’avion était aussi un bulletin de vote, aussi une arme défensive.

Pour les uns, c’était une réalité. Pour les autres un simple désir, un projet voire juste une idée. Mais possible, techniquement.

Puis, le couillonavirus s’est abattu –artificiellement– sur notre monde.

Observez la situation, neuf mois après… Les vols long courrier existent toujours… Mais sur une base considérablement plus réduite, alourdie par une cascade de procédures (pour se rendre vers la Thaïlande par exemple… des mois d’attente, de négociations avec l’ambassade locale, des papiers, des justificatifs, tests, quarantaine, etc.).

On s’agite au sujet des compagnies aériennes, de leurs employés, des subventions étatiques, des négociations avec les syndicacas d’Air France ou autres, on discute doctement de l’avenir de Boeing et d’Airbus… Mais… c’est de l’écume.

Et si ce qui semble être une maheureuse conséquence aussi négative que temporaire… était en realité, un objectif, une fonction conçue pour durer ?

Le Réel, brutal, est que vous ne POUVEZ PLUS VOUS DEPLACER LIBREMENT.

Ajoutons un autre point : le durcissement des visas, des flux, des frontières était une réalité partout dans le monde bien AVANT l’offensive couillonavirale (une seule exception, notable : l’Europe de l’Ouest)… preuve que nous sommes bien dans une continuité historique, pas un accident.

Synthétisons la situation :

-les gouvernements se durcissent

-les flics vous collent des amendes ou vous tabassent

-la justice peut vous embastiller pour un oui ou pour non (délit d’opinion, ou simple thoughtcrime).

-et vous ne pouvez plus sortir…. vous échapper de votre pays

… Pas besoin d’avoir une grande culture historique pour comprendre que ce n’est pas une situation très saine ni très favorable… 😉

La nasse se referme.

Vous êtes prisonniers.

“Je ne suis pas un numéro ! Je suis un homme libre !”… Désolé, ça c’est dans les films… Va falloir s’entraîner à la marche à pied… Ou prendre littéralement le maquis…
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Saloperie et sida mental Vrac

“J’ai vu le futur” : voici ce qui va se produire…

Je sais, c’est difficile à croire. Et pourtant ! Je suis blanc et marabou africain EN MEME TEMPS. 😉 (ici avec mon habit préféré et mes colifichets magiques)

Avant de devenir un médecin d’extrême-droite, misogyne et franchement islamophobe, j’étais marabou africain. Si, si.

Retour de l’être aimé, bien entendu, combinaison gagnante du Quinté+ parfois, et conspiration couillonavirale démontée à coups de pioche, toujours.

Voici le futur que les salopards sont en train de vous cuisiner pour l’automne et le début de l’hiver.

-la période est très importante : après la rentrée scolaire, à l’orée de l’automne, et de ses premiers frimats et de sa cohorte de virus et germes…

-politiquement, on ne le répètera jamais assez : l’élection américaine du 3 novembre constitue un “peak”. Indépassable. Et surtout prégnant.

En outre, n’oubliez pas : l’élection ne sera pas bouclée le 3 au soir… Le scénario Bush/Al Gore 2000 va se reproduire. Des armées d’avocats sont déjà sur le pied de guerre… Sans oublier l’arnaque du compte manuel des bulletins de vote… envoyés par la poste. Le plus vraisemblable : on est parti pour la Cour Suprême qui devra choisir en décembre (sachant que le serment et la prise de fonctions c’est janvier). Les menaces de “violences“, montées en épingle bien entendu par tous les médias, ne sont que les copeaux de chocolat sur le gâteau couillonaviral.

Quand quelques antifas dégénérés auront été allumés à l’arme automatique par des citoyens vigilants et droits dans leurs bottes… ça les calmera vite faite.

C’est le problème ontologique que posent les Etats-Unis aux constructivistes et aux mondialistes : un état franchement policier, avec des racailles importées qui gambadent à l’air libre comme chez nous… c’est tout bonnement impossible… Car les citoyens sont tous surarmés… Et pas avec du fusil de chasse à la grand-papa…

Il faut autre chose, de beaucoup plus fin et complexe, pour détruire ce pays de l’intérieur…

En attendant, le coeur du réacteur : c’est le virus. Rien d’autre.

-cette élection va marquer, façonner c’est une certitude, la covidémence, jusqu’à la fin de l’année, et dans tout l’Occident. Impossible d’y échapper. Ergo : impossible de faire baisser la pression avant et juste après.

-concernant la France spécifiquement (valable aussi pour Espagne, Belgique, Italie, etc.) : le scénario est cousu de fil blanc. Comme d’habitude, selon la technique du “pas de deux“. Macron et son gang sont lâches. Ils n’osent jamais prendre les choses et les gens de front.

-Ainsi… on paye d’abord quelques scientifiques neuneus en mal de frisson pour publier une tribune réclamant de “siffler la fin de la récréation” (!) et d'”éviter les rassemblements privés” ! (source Le Figaro).

-dans le même temps le Conseil scientifique, ce gang de tchékistes séniles, lui aussi rue dans les brancards en accusant… tous les Français, via la presse et réclame des “décisions difficiles” (Le Monde). Ben voyons. Bande de sinistres connards.

“Rien à ajouter”.

-Macron et son merlan frit Castex-Les-Ciseaux-de-Plomb endossent ensuite le beau rôle en affirmant… qu’ils ne veulent pas suivre de telles recommandations… Pour le moment… Ils jouent leurs vierges effarouchées, se faisant désirer (article du JDD). Et pour désirer un type comme Castex faut être aveugle, cancéreux stade terminal, voire profondément pervers.

-Car, en me lisant, vous savez que les Anglais… viennent précisément de faire cela : interdire les rassemblements privés de plus de 6 personnes…  ! Donc le réveillon de noël avec famille élargie et des amis… c’est mort. Macron en parlait même dès le 8 septembre lors d’un déplacement à Clermont-Ferrand. La préparation psychologique du cheptel est évidente.

-parallèlement, le gouvernement fait tout pour faire monter la sauce : explosion des “nouveaux cas” (avec un tsunami de tests PCR bidonnés), des départements qui passent… en “rouge“… selon une mécanique parfaitement huilée. Tous les mots-clés sont utilisés et répétés jusqu’à en vomir : “exponentiel”, “situation préoccupante”, etc (mon article).

-tout cela va donc mener à de nouvelles restrictions de vos libertés : interdiction des rassemblements “privés” + reconfinements locaux + couvre-feu.

Et ce, jusqu’à la fin de l’année. Minimum.

-cette seconde phase de la covidémence sera alimentée au jour le jour… par les rhinovirus, la grippe… et la chiée de germes hivernaux. Panique, quarantaine, principe de précaution, hystérie dans les écoles, les entreprises publiques et privées, les Ephad, panique relayée avec zèle par tous les médias.

Voilà.

Ceci n’est pas un scénario possible... Mais bel et bien la vision, clairvoyante littéralement, de ce qui va se produire, de ce qui a été déjà décidé en terme de “séquences” médiatiques par les covidéments.

Le “pourquoi” demeure la question lancinante, la seule.  Je sais.

J’ai proposé une démarche raisonnée et des réponses (lire ici).

Démerdez-vous.

Vous êtes seul(e) ;-).