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Covipox Saloperie et sida mental

Covipox : alors ça mute ou ça mute pas ?

Mutant Covipox : “Quoi ? Qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?”

Exactement comme je l’avais prévu… c’est le bordel.

L’équipe portugaise qui a analysé (en premier) le génome du Covipox, affirme qu’il a muté.

Dr Joana Isidro and colleagues analysed nine genome sequences of monkeypox, gathered from patients infected with the virus during the latest outbreak.

The researchers calculated the virus is closely related to the same West African strain that was exported from Nigeria to Britain, Israel and Singapore in 2018 and 2019.

However, each virus had 50 extra mutations, on average, compared to the cases detected in previous outbreaks, the pre-print states.

This is ‘far more than one would expect‘ based on the number of changes expected for orthopox viruses, a family of viruses that also includes smallpox but not chickenpox. (source DailyMail)

La saleté est liée à la souche ouest-africaine de 2018… Mais… il y a des muations. Et ces mutations sont beaucoup plus nombreuses que ce qu’on pouvait imaginer… (ces virus mutent très lentement contrairement aux coronavirus).

Their findings, which suggest the cases all stem from a ‘single origin‘, have yet to be examined by other scientists.

Cela renforce donc l’hypothèse… de “l’origine unique“.

Aïe.

En clair, une barbouze ou un terroriste a d’abord modifié en labo la saloperie, avant de lâcher le contenu de sa fiole au milieu d’une partouze d’homos en furie dans les Canaries (pendant le festival LGBT plume dans le cul), et zou roulez jeunesse… le truc a bien été étalé

Là dessus, une autre scientifique ramène sa fraise et confirme :

Dr Emilia Skirmuntt, a virologist at Oxford University, said some sequences contain multiple mutations and deletions. She noted that experts previously believed these could increase human-to-human transmission of the virus.

Dr Skirmuntt said, however, ‘despite the possible higher than expected transmission rate‘ it is ‘still not even close’ to the speed at which Covid spread.

Des suppressions et des ajouts ? Mais encore ?

Encore une belle gourde car la comparaison avec le couillonavirus n’a AUCUN SENS puisque ce sont 2 familles totalement différents.

Bref.

On résume les vraies questions :

  • le Covipox a t-il muté oui ou non ?
  • si oui, ces mutations peuvent-elles expliquer le comportement différent du virus ?
  • et enfin ces mutations sont-elles naturelles ou artificielles ?

Il est urgent que Raoult et ses équipes séquencent cette saleté et nous donnent des INFORMATIONS PRECISES.

C’est pourtant pas compliqué, merde ! 😉

DIDIER ! S’il te plaît, fais les analyses qui vont bien, et donne les résultats au public, comme tu fais d’habitude, c’est-à-dire clairement et sans censure.

Car pour le moment, le silence des scientifiques est étonnant. Il y a plus de 200 cas dans 19 pays (la Slovénie a rejoint le bal)… Largement de quoi séquencer, classer, comparer.

Et les souches “originales” (celles qui circulent en Afrique de l’ouest) sont déjà enregistrées, étiquetés, et les génomes sont déjà décodés depuis belle lurette.

Alors ?

Et en plus les séquenceurs… sont encore chauds des travaux menés sur le couillonavirus (et l’IHU de Marseille, dans ce domaine, a carburé à fond les ballons).

Qu’attendent donc les scientifiques du monde entier pour se lancer ?

POST-SCRIPTUM

A ce jour, officiellement, 4 travaux sur le génome du Covipox ont été effectués… et publiés : l’équipe portugaise (citée plus haut) et l’équipe belge (lire ici), une autre équipe belge, et une équipe allemande.

Mais ce sont les données brutes (illisibles).

Un nouveau papier cependant vient poser des mots à peu près compréhensibles sur ce souk.

Lien : Multi-country outbreak of Monkeypox virus: genetic divergence and first signs of microevolution

Je cite :

  • single origin,
  • evolutionary jump
  • leading to a hypermutated virus

Ca pique.

Bref… le Covipox semble bel et bien confirmé.

Ce n’est plus totalement le virus de la variole du singe qui se balade en Afrique de l’Ouest, depuis des années.

Il est nouveau.

Et voilà pourquoi, il se comporte différemment.

C’est un virus “hypermuté” ou “hypermutant”. 😉

A présent, la question primordiale : ce “saut évolutif” est-il… naturel… ou alors a t-il été créé en labo ?

Mutations naturelles ou… “gains de fonctions” (rendues fameuses… avec le couillonavirus et les travaux menés au labo de Wuhan) ?

Toutes les coïncidences, le calendrier invraisemblable (y compris le méga trollage de la simulation faite il y a un an, annonçant une pandémie de variole du singe d’origine terroriste ! … en mai 2022 ! lire mon article) sans oublier l’environnement géopolitique tendu comme un string… il est rationnel de faire pencher la balance vers l’hypothèse artificielle, et de la dissémination volontaire.

Préparez les réserves de pinard…

POST-SCRIPTUM BIS

Est-il besoin de rappeler que la piste… Covipox = effet secondaire des produits ARNm… ne peut pas être écartée !

Car : des données génomiques… ça se trafique. Et ça s’efface même dans les bases de données (les Américains l’ont fait, avec des coronavirus, à la demande des Chinois… idem à Wuhan… on se demande bien pourquoi). (eh oui, si vous ne savez pas… article ici).

-Et donc entre admettre que vous avez empoisonné des centaines de millions de personnes qui seront désormais sensibles à n’importe virus alors qu’elles étaient protégées avant .

-Et affirmer qu’il s’agit bien de la variole du singe, si, si on vous jure, mais pas de bol, la souche a considérablement muté… C’est la faute à Mère Nature… Désolé.

Entre les 2 propositions… le choix semble facile à faire. 😉

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Vaccinocide

Hépatites mystérieuses : opération pour achever AstraZeneca ?

Ces salopards de bambins avaient l’outrecuidance d’être totalement insensibles au couillonavirus ! Heureusement, maintenant ils peuvent se choper des hépatites bien dégueulasses. Bien fait pour eux !

Vous avez entendu parler de la mystérieuse épidémie d’hépatites aiguës qui touche des jeunes enfants dans plusieurs pays (520 cas dans 21 pays, dont 180 cas maintenant aux Etats-Unis, dans… 36 états).

Les virus classiques provoquant des hépatites (A, B, C, D, E) ont tous été mis hors de cause.

Il suffit de voir la réaction de l’OMS pour sentir… le délicat fumet d’une énième pysop rehaussé d’un léger foutage de gueule (lire mon article).

On a d’abord accusé… le Covid. Ca coûte pas cher. C’est pratique. C’est à la mode. 😉

Sauf que pas de bol, très peu d’enfants atteints étaient positifs au terrible couillonavirus.

Zut.

Ensuite, les Anglais ont osé nous faire le coup… des chiens (lire ici) ! Les pauvres bêtes auraient refilé un nouveau virus aux gentils enfants…

Aussi ridicule, aussi infantile que le coup du pangolin qui partouzait avec une chauve-souris sur un certain marché à… Wuhan…

Bref.

Une nouvelle hypothèse est aujourd’hui mise en avant.

Medicine Regulators believe attenuated viruses in AstraZeneca & Janssen COVID Vaccines are to blame for rise in deadly Hepatitis among Children (lire ici).

Le CDC explore aussi -comme par hasard- cette voie (source NBC News)…

Eh oui, les “vaccins” (interdit de rire !) d’AstraZeneca et de Johnson&Johnson sont basés sur un…. adénovirus atténué.

Ce dernier aurait pu s’échapper et se recombiner avec d’autres adénovirus dans la nature.

Provoquant ensuite une infection dommageable chez des jeunes enfants dont le système immunitaire n’était pas encore totalement blindé (en particulier depuis 2 ans, à cause des confinements, des écoles fermées, empêchant les bambins de s’échanger leurs miasmes).

L’hypothèse est séduisante

Et -incroyable malchance- ce nouveau virus se serait répandu ultra rapidement… dans 21 pays, ainsi que 36 états aux Etats-Unis… 😉

Ben voyons…

Car l’idée que la recombinaison… se soit effectuée de la même manière quasi simultanément dans 21 pays… est bien entendu absurde… 😉

Zut.

Il faut donc toujours s’interroger : à qui profite le crime ?

Car enfin on parle à ce jour de 500 enfants touchés dont une dizaine de morts et une vingtaine ayant subi une transplantation… à l’échelle mondiale. Et l’OMS se saisit du dossier et montre un certain empressement ?

Le tout immédiatement relayé dans les médias ?

Les mêmes médias aux ordres qui nous jouent de la flute depuis 2 ans au sujet du couillonavirus ?

Et alors que les produits ARNm de Pfizer/Moderna tuent et blessent dans des proportions bien plus considérables depuis plus d’un an ?

Une fois de plus, on peut, on doit invoquer l’esprit Zemmourien : “ben voyons“. 😉

Il est vrai que le coup de la FDA limitant subitement aujourd’hui l’usage du Johnson&Johnson en invoquant un “risque rare” de caillot sanguin (alors que ce risque est identifié depuis un an !)… c’est en effet un timing curieux.

Mais on pourrait également voir dans cette opération à deux bandes… l’idée de tuer les derniers concurrent de Pfizer… afin de promouvoir encore et toujours les produits ARNm (une obsession occidentale maladive, fanatique depuis le début) et du même coup dissimuler leurs propres responsabilités.

Car avant d’accuser l’adénovirus atténué d’AstraZeneca (hypothèse qui ne doit bien sûr pas être écartée)… il faudrait d’abord étudier la question… du lait maternel.

Les enfants touchés sont majoritairement très, très jeunes. Il est donc clair qu’ils n’étaient pas eux-même injectés.

Mais étaient-ils allaités ?

Si oui, les mères étaient-elle dosées ?

Et dans l’affirmative, avec quel produit ?

Voilà des questions très simples et essentielles puisque même Pfizer reconnaît qu’aucune étude n’a été faite concernant le lait maternel et son produit ARNm.

On sait déjà que les protéines Spike se baladent dans de nombreux organes… Alors pourquoi pas dans le lait maternel, pouvant ensuite provoquer des dommages au foie (on sait que le “vaccin” peut provoquer des hépatites) ?

Et pour le moment, ces questions très simples n’ont pas été abordées, ce qui est hautement suspect (un mois après, toujours aucune trace d’investigation).

Bref, le mystère demeure entier… Mais il faut toujours mettre en question les “plats cuisinés” que les médias nous servent.

Ces hépatites mystérieuses pourraient servir de levier pour accuser les concurrents, les achever, tout en dissimulant la responsabilité des produits ARNm…

Si on pouvait prouver que tous ces enfants (moins de 5 ans) :

-n’étaient pas positifs au Covid

-qu’ils étaient tous allaités

-et que les mères étaient toutes dosées avec des produits ARNm…

… alors, tout l’édifice pourrait s’écrouler… en une seule nuit. Le scandale serait considérable.

Même les personnes sans enfants comprendraient que ces produits sont dangereux.

Pfizer cloué au pilori. Jeté sous le bus par les politiciens cherchant à sauver… leur peau.

La charge émotionnelle serait sans doute suffisante pour faire imploser la conspiration (mot ad hoc pour qualifier l’obsession… pathologique de promouvoir et imposer les produits ARNm, dépassant forcément ET DE LOIN de simples considérations pécunières).

Ah… j’entends une voix au fond… “Faut faire diversion ! Release le Krakenpox ! On accusera les homos, ça marche toujours !”

😉

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Asie Covipox Saloperie et sida mental

Covipox : c’est la Chiiiiiiiiiiiiiine !

“Les chauve-souris c’était tellement 2020… Alors on a décidé de s’intéresser aux singes. C’est bête hein ?”

[le titre est évidemment une plaisanterie, dans la lignée de celle au sujet de Poutine]

Vous n’allez pas le croire… Le labo de Wuhan a travaillé sur la variole du singe.

Tout récemment !

Cette fine équipe a publié un article en février 2022 (mais rédigé… en août 2021) dans le journal Virologica Sinica.

Lien : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1995820X22000414

Son titre ?

Efficient assembly of a large fragment of monkeypox virus genome as a qPCR template using dual-selection based transformation-associated recombination

De quoi s’agit-il ?

Researchers appeared to identify a portion of the monkeypox virus genome, enabling PCR tests to identify the virus, in the paper: “Efficient Assembly of a Large Fragment of Monkeypox Virus Genome as a qPCR Template Using Dual-Selection Based Transformation-Associated Recombination.” (source)

En clair, les mecs ont bossé sur l’identification par PCR de la variole du singe.

Quand on sait que cette merde se répandra exactement 3 mois plus tard dans 15 pays, c’est vrai que bosser sur les tests PCR, c’est très utile. 😉

Et c’est surtout hautement clairvoyant. Les Chinois sont des putains de génie.

Et c’est même pire que cela, puisque l’article fut envoyé en août 2021… Donc l’équipe chinoise travaillait DEJA l’année dernière sur le Covipox, pardon la variole du singe…

Quel sens de l’anticipation !

Nous étions en pleine panique “Delta”, mais non ! La Chine avait déjà prévu pardon prédit la prochaine pestilence, et travaillait (alors que nous, comme des gros benêts on se faisait “vacciner” contre le couillonavirus).

(et leurs efforts ont payé si j’ose puisque… les sociétés chinoises se dépêchent de faire valider dans le monde… tous leurs tests PCR adaptés à la variole du singe… voir dans les commentaires plus bas. Donc déjà, certains profitent de la Covipox-mania…).

Since MPXV [monkeypox] infection has never been associated with an outbreak in China, the viral genomic material required for qPCR detection is unavailable. In this report, we employed dual-selective TAR to assemble a 55-kb MPXV genomic fragment that encompasses E9L and C3L, two valuable qPCR targets for detecting MPXV or other orthopoxviruses.”

Il n’y a pas de monkeypox en Chine… donc les chéris n’ont pas le matériel génétique nécessaire (et mon cul c’est du poulet de la viande de brousse).

La tuile.

Ils ont donc bidouillé et utilisé la méthode TAR (transformation-associated recombination) pour isoler/assembler/recréer des morceaux du génome de la bébête.

Ils reconnaissent que cette méthode….

“applied in virological research could also raise potential security concerns, especially when the assembled product contains a full set of genetic material that can be recovered into a contagious pathogen.”

En clair… pourrait être dangereuse. Non sans déconner ?

Quand on connaît les états de service impeccables du labo de Wuhan avec les coronavirus, on se sent tout de suite à l’aise… 😉

Tu recréés en labo un agent pathogène contagieux deux ans après avoir foutu le monde à feu et à sang en bidouillant des coronavirus de chauve-souris ?

Et tu crains des problèmes de sécurité ?

😉

Je crois que nous tenons là une nouvelle définition du mot trollage !

Bref, la farce-tragédie se poursuit. Les comédiens sont de plus en plus nombreux sur scène.

C’est un foutoir invraisemblable.

Le monde est devenu complètement dingue, avec tous ces docteurs Folamour qui jouent à Dieu dans leurs labos, qui manipulent des trucs ultra dangereux qui les dépassent complètement, avec à leur disposition des technologies sans limite (CRISPR par exemple).

Ils sont excités par la thune, par l’hubris, par la pression de leurs militaires (qui ne lâchent jamais le morceau en matière d’armes bactériologiques) sans oublier celle de politiciens complètement à la ramasse et au bout de leur vie (“vite il nous faut une guerre !”, “Vite il faut trouver un moyen de maquiller l’inflation, la baisse des ressources” etc.) et autres groupes privés agissant soit pour la thune soit par idéologie.

Le tout dans le cadre d’une lutte géopolitique à mort entre différents blocs.

On est vraiment mal barrés.

PS : la prochaine année du singe en Chine sera 2028. On est vraiment mal barrés. 😉